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sexta-feira, 24 de outubro de 2014

The Museum für Asiatische Kunst (Asian Art Museum) presents its vast array of artworks created by successive generations of masters active in the Indo-Asian cultural region.

One cornerstone of the museum’s holdings is formed by its famous 'Turfan' collection. Its paintings and sculptures originate from Buddhist sacred sites in what is now northwest China and date from the 3rd to 13th century CE. The reconstruction of one such sacred site, a square temple, is adorned with the original wall paintings from Cave 123 in the Kucha oasis.



The photo shows a view into the permanent exhibition.

 A central room in the permanent exhibition is dedicated to Buddhist art created in China, Japan, and Korea. One particularly striking artefact that stands out from the hundreds of exquisite non-religious Chinese objects – bronzes, ceramics, porcelain, and lacquer objects – is an imperial throne from the 17th century made of rosewood, inlays of mother-of-pearl, lacquer, and gold.




The photo shows a view into the permanent exhibition.


 Indian religious art is presented in the form of thousand-year-old sculptures of stone, bronze, and terracotta. The round stupa and the rectangular temple on display give a vivid impression of Indian sacred architecture. Elaborate craftwork of metal, ceramic, ivory, wood, and jade reflect the influence of Islam on this region from the 12th century onwards.





The photo shows a view into the permanent exhibition.

 Among the museum’s highlights are the collection of Japanese painting and East-Asian lacquer objects bequeathed to the museum by the collector Klaus Friedrich Naumann, as well as the Berlin Yuegutang Collection, featuring Chinese ceramics ranging from the Neolithic period all the way up the 15th century. Due to the sensitive nature of the material (primarily paper and silk), examples of highly sophisticated East-Asian calligraphy and pictorial art cannot be placed on permanent display and are instead presented in a series of constantly rotating exhibitions, which makes each visit to the museum a whole new experience.



The photo shows a view into the permanent exhibition.

Zu den Höhepunkten zählen zudem die Kollektion japanischer Malerei und ostasiatischer Lackkunst des Sammlers Klaus Friedrich Naumann sowie die Berliner Sammlung Yuegutang mit chinesischer Keramik vom Neolithikum bis zum 15. Jahrhundert. Beispiele der hochentwickelten ostasiatischen Bild- und Schreibkunst werden wegen der Empfindlichkeit der verwendeten Materialien in wechselnden Ausstellungen gezeigt. 

The photo shows a view into the permanent exhibition.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.smb.museum/en/museums-and-institutions/museum-fuer-asiatische-kunst/home.html?tx_smb_pi1[filterMuseum]=21&cHash=0fe42e15fb6484daa7c24190afd85d75

Museu Santos Dumont (RJ) recebe turistas no Dia da Aviação



Data celebra os 108 anos do primeiro voo do inventor a bordo de um avião impulsionado por gasolina






Gustavo Henrique Braga

Em homenagem ao Dia da Aviação e do Aviador, o Museu Casa de Santos Dumont, um dos principais pontos turísticos de Petrópolis (RJ), recebeu gratuitamente todos os visitantes nesta quinta-feira (23). A comemoração marca os 108 anos do primeiro voo do inventor brasileiro a bordo de um avião impulsionado por um motor a gasolina.

A residência projetada e usada pelo pai da aviação como casa de verão ficou conhecida como “A Encantada”, devido ao charme e à elegância do chalé em estilo europeu, no alto da montanha. O museu conta com acervo de objetos, livros, cartas e mobiliário, bem como o engenhoso chuveiro usado por Santos Dumont.

Entre as atrações, destaca-se a escada de entrada, com degraus em forma de raquete, onde, devido à criatividade do projeto de Santos Dumont, só se pode dar o primeiro passo com o pé direito.

Impulso ao turismo
Desde a invenção de Santos Dumont, o avião encurtou distâncias e, hoje, é o meio de transporte preferido dos brasileiros. Pesquisa do Ministério do Turismo mostra que 58% dos turistas do país pretendem viajar de avião nos próximos seis meses, mais que o dobro do veículo particular, preferido por 25% dos viajantes.

Clique aqui para ouvir comentário do diretor do Departamento de Estudos e Pesquisas do MTur, José Francisco Lopes, sobre a preferência do brasileiro por viagens de avião.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.turismo.gov.br/turismo/noticias/todas_noticias/20141023_6.html   Crédito:Josi Braga

Donatien Alphonse François de Sade (1740-1814) a bouleversé l'histoire de la littérature comme celle des arts, de manière clandestine d'abord puis en devenant un véritable mythe.

   Sade. Attaquer le soleil







Franz von StuckJudith et Holopherne© Droits réservés


L'oeuvre du "Divin Marquis" remet en cause de manière radicale les questions de limite, proportion, débordement, les notions de beauté, de laideur, de sublime et l'image du corps. Il débarrasse de manière radicale le regard de tous ses présupposés religieux, idéologiques, moraux, sociaux.

Suivant l'analyse d'Annie Le Brun, spécialiste de Sade et commissaire invitée, l'exposition met en lumière la révolution de la représentation ouverte par les textes de l'écrivain. Seront abordés les thèmes de la férocité et de la singularité du désir, de l'écart, de l'extrême, du bizarre et du monstrueux, du désir comme principe d'excès et de recomposition imaginaire du monde, à travers des oeuvres de Goya, Géricault, Ingres, Rops, Rodin, Picasso…

Le caractère violent de certaines oeuvres et certains documents est susceptible de heurter la sensibilité des visiteurs.


CommissariatAnnie Le Brun
Laurence des Cars, conservateur générale, directrice du musée de l'Orangerie


Exposition réalisée avec le concours exceptionnel de la Bibliothèque nationale de France et le soutien du musée Ingres de Montauban.


Avec le soutien de Tollens pour l'apport en peinture




Publication Sade. Attaquer le soleil
Le Brun Annie
Musée d'Orsay / Gallimard
45 €


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.musee-orsay.fr/fr/evenements/expositions/au-musee-dorsay/presentation-generale/article/sade-41230.html?S=&print=1&no_cache=1&

Acheter le bâtiment Citroën Yser pour le transformer en musée ? Trends Tendances

Le ministre-président bruxellois Rudi Vervoort continue à défendre le projet d'acheter le bâtiment Citroën place de l'Yser pour y abriter, notamment, un musée d'art contemporain. "Mais le défi, ce sera la collection du musée", a-t-il expliqué vendredi après-midi au parlement bruxellois.



© BELGA

Rudi Vervoort continue à plaider pour l'achat du bâtiment Citroën. Le site se trouve dans la zone du Canal, vitrine du renouveau de Bruxelles. La Région va acheter l'ensemble du site. Une partie du bâtiment sera utilisée pour le musée, mais le reste fera partie d'une opération immobilière pour pouvoir concrétiser le musée. "On ne peut pas imaginer qu'un tel bâtiment tombe aux mains de promoteurs", a indiqué le chef de l'exécutif bruxellois.

Il a cependant reconnu que la collection du musée pose problème. Le gouvernement bruxellois comptait sur la collection fédérale, mais la N-VA a renvoyé vendredi, notamment par la bouche de la députée bruxelloise Cieltje Van Achter, à l'accord de gouvernement fédéral qui affirme que la collection fédérale d'art est une et indivisible. Rudi Vervoort a relevé qu'un musée fédéral présente aussi des collections bruxelloises provenant d'héritages.

Rudi Vervoort voit en ce dossier "un beau test pour la politique dans ce pays". "Ceux qui veulent toucher aux institutions biculturelles doivent d'abord dire que ces institutions n'ont plus d'avenir", a-t-il déclaré en réaction aux informations qui font état de mesures d'économies drastiques imposées par le gouvernement fédéral à une série d'institutions culturelles et scientifiques fédérales.

Une collection est "une et indivisible"

Deux députées régionales de la N-VA se sont opposées à la perspective de voir la collection fédérale d'art contemporain abritée dans un futur musée promu par le gouvernement bruxellois dans la zone du Canal. L'accord du gouvernement fédéral stipule clairement que cette collection est "une et indivisible", affirment les députées flamandes N-VA Cieltje Van Achter et Cathy Coudyser.

Plutôt que de lancer des projets d'infrastructures nouvelles, elles préfèrent entretenir ce qui existe. Elles soulignent qu'il y a déjà deux sites muséaux fédéraux à Bruxelles au Cinquantenaire et au Mont des Arts.

Cependant si l'accord de gouvernement fédéral mentionne bien que l'autonomisation des établissements scientifiques fédéraux doit faire en sorte que les collections "continuent à former un ensemble", il précise toutefois que pour mettre en valeur le patrimoine artistique, "la possibilité d'échange des collections d'arts entre l'état fédéral et les entités fédérées sera examinée et, le cas échéant, des protocoles de coopération nécessaires seront conclus".

Réactions

Pour la députée bruxelloise Yamila Idrissi (sp.a), l'une des initiatrices du projet "Musée au canal", cette prise de position de la N-VA constitue une "gifle" aux Bruxellois qui défendent la nécessité pour la capitale d'avoir son musée d'art moderne et contemporain à l'instar d'autres grandes villes. En outre, l'investissement créera de l'activité économique, souligne-t-elle.

"S'opposer à ce projet, c'est s'opposer à une coopération intra-belge dynamique et créatrice. S'opposer à ce projet, c'est s'opposer au rayonnement de Bruxelles, à la revitalisation de sa zone centrale, à la création d'emploi et au développement économique qu'un tel projet doit entraîner dans la capitale. C'est s'opposer enfin à la mise à disposition du public de toiles aujourd'hui invisibles, conservées dans des réserves", a souligné Rachid Madrane, ministre en charge de la promotion de Bruxelles de la Communauté française, dans un communiqué.

Selon le ministre PS, ce muséeest un projet ambitieux qui repose sur l'exploitation de collaborations rendues possibles par la 6e réforme de l'Etat. "Une infrastructure régionale abritant des collections fédérales, pour offrir à Bruxelles un musée d'art moderne et contemporain digne de son statut de capitale européenne", a ajouté M. Madrane.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://trends.levif.be/economie/immo/acheter-le-batiment-citroen-yser-pour-le-transformer-en-musee/article-normal-322305.html

A rainha Elizabeth II, aos 88 anos, escreveu nesta sexta-feira seu primeiro 'tweet' durante a inauguração de uma exposição dedicada à história da tecnologia no Science Museum, em Londres.

"É um prazer inaugurar a exposição "Information Age" (Era da Informação) no Science Museum e espero que as pessoas desfrutem a visita", tuitou, em inglês.

Essa foi a primeira mensagem feita pela própria monarca no Twitter. A inauguração da galeria, que mostra os avanços da tecnologia desde o telégrafo até o smartphone, contou com a presença de 600 pessoas.

O diretor do Science Museum, Ian Blatchford, lembrou que Elizabeth II presenciou vários avanços tecnológicos ao longo da vida.

"A senhora fez sua primeira transmissão televisiva no Natal, em 1957, e outro ato apreciado pelos historiadores aconteceu em 26 de março de 1976, quando se tornou a primeira monarca a enviar um e-mail. Se me permite, a convido agora para enviar seu primeiro tweet", disse o diretor do museu durante a apresentação.

Após o pedido, Elizabeth II tirou uma das luvas e enviou a mensagem pelo perfil @BritishMonarchy, pelo qual também foi divulgada uma fotografia do momento.

Na companhia do marido, o Duque de Edimburgo, a rainha fez um 'tour' pela exposição, que mostra a evolução da tecnologia da informação em 200 anos.

A visita foi finalizada diante de um monumento de seis metros de altura no centro da exposição, a estação de rádio "Rugby", de onde Elizabeth II escreveu o primeiro tweet de um monarca britânico. EFE

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti https://br.noticias.yahoo.com/cristina-fern%C3%A1ndez-apela-uni%C3%A3o-nacional-lembra-falecido-marido-022606391.html

125 anos de inspiração - Em 2015, Holanda sediará eventos e atrações em homenagem a Van Gogh

A Holanda homenageará em 2015 um de seus filhos mais ilustres: Vincent Van Vogh. Para lembrar o 125º aniversário do falecimento do pintor, eventos, exposições e inúmeras intervenções culturais estão sendo organizados por todo o País para contar sua história e legado.

Na província de Noord-Brabant, as comemorações já se iniciaram com uma ciclovia interativa. O projeto, criado pelo designer holandês Daan Roosegaarde, consiste em uma ciclovia composta por pedras fotossensíveis que acendem à noite e criam belos reflexos de luz quando as bicicletas passam. A pista é uma homenagem a Van Gogh, que viveu na região durante alguns anos de sua vida, em alusão ao seu famoso quadro A Noite Estrelada.

Os museus Van Gogh, em Amsterdam; Kröller-Müller, em Otterlo; e Noordbrabants Museum, em Den Bosch, que reúnem as maiores coleções do artista em todo mundo, homenagearão o pintor com exposições especiais em torno do tema Van Gogh – 125 anos de inspiração.

Nova Exposição no museu Van Gogh, a partir de 28 de novembro

O Museu Van Gogh, em Amsterdã, abriga e administra a maior coleção de Vincent Van Gogh do mundo. Com 200 telas, 500 desenhos e 750 documentos, o museu atrai cerca de 1,5 milhão de visitantes por ano. A nova exposição vai mostrar cerca de 1.100 produções, entre cartas e desenhos, que raramente são exibidas porque são muito sensíveis à luz.

Todos os aspectos da vida e obra do pintor – da orelha cortada ao suicídio – serão discutidos em detalhes. Pela primeira vez, o museu vai apresentar a história completa: o artista, o contexto, as suas ambições pessoais, suas emoções, os mitos e sua influência até os dias de hoje, mostrando o porquê Van Gogh é um artista universalmente reconhecido.

Em três instalações, crianças e adultos serão estimulados de forma lúdica a observarem atentamente às pinturas e objetos retratados na arte de Van Gogh. As obras estarão expostas em uma altura ideal para os pequenos, acompanhadas por objetos autênticos e explicações estimulantes.

Van Gogh no Parque Keukenhof, entre 20 de março e 17 de maio de 2015

Famoso por suas tulipas, o parque Keukenhof, localizado em Lisse a cerca de 30 quilômetros de Amsterdã, também homenageará o pintor. O destaque será um mosaico floral de 250 metros quadrados baseado em um autoretrato do artista, que será revestido por tulipas coloridas.

Sobre Van Gogh

Uma das mais importantes figuras da arte mundial, Van Gogh (1853-1890) nasceu em Groot-Zundert, no Sul da Holanda, e é até os dias de hoje motivo de orgulho para todo os holandeses. Em vida, ele vendeu apenas uma pintura, mas hoje sua obra é muito reconhecida.

Van Gogh experimentou a vida e o mundo apaixonadamente, ele queria expressar em sua arte os grandes temas da condição humana – a ansiedade, o sofrimento, o amor e a esperança. Com seu estilo único de pintura, usou a luz e as cores para expressar as emoções

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.dm.com.br/texto/195129-125-anos-de-inspiracao

Um ativista chinês em Alcatraz. A prisão virou galeria de arte

Ai Weiwei já esteve preso pelas ações de denúncia contra o governo chinês e agora decidiu fazer uma exposição... em Alcatraz.


 




 

















Para Ai Weiwei há uma barreira ténue entre arte e ativismo. A exposição @large é a junção dos dois e num sítio muito particular: a prisão de Alcatraz.

O ativista chinês, que já foi preso e que viu as autoridades chinesas destruírem o seu estúdio, expõe agora em Alcatraz um conjunto de obras que foram especificamente feitas para serem expostas em Alcatraz onde vão estar até Abril de 2016.

A exposição tem como objetivo aproveitar o ambiente de Alcatraz e o peso que tem para os americanos para debater a liberdade de expressão e direitos humanos.

A simbiose ente arte e ativismo é resumida pelo próprio numa frase: “O equívoco do totalitarismo é que pode prender a liberdade. Não é o caso. Quando se restringe a liberdade, a liberdade levanta voo e pousa no parapeito de uma janela”.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://observador.pt/2014/10/24/um-ativista-chines-em-alcatraz-prisao-virou-galeria-de-arte/

Museos de Australia - en MUSEOGRAFÍA, MUSEOLOGÍA, VIAJES. ·

Agendas Mundi LVI-



Parafraseando a Bill Bryson en su libro “Allá abajo”, comenzaremos diciendo que Australia es el país donde viven los bichos más mortíferos del mundo; nosotros añadimos que también es el país que disfruta del mayor número de tópicos del mundo para los que nunca han tenido la suerte de llegar hasta allí. Australia es un país que existe en gran escala, a lo bestia. Es el sexto país-isla más grande del mundo. Es la única isla que es también es continente y el único continente que es todo él también un país. Es el más seco, más plano, más caliente, más seco, yermo y climáticamente agresivo de todos los continentes habitados, y aun así está lleno de vida – una vida con una gran proporción bastante mortal como os decíamos. De hecho, Australia tiene más cosas que pueden matar de una manera muy desagradable que cualquier otro. Este es un país donde conchas marinas no sólo pican sino que a veces van a por ti. Si no te pican o te enfrentas a la muerte de alguna manera inesperada, es posible que fatalmente tiburones o cocodrilos te hagan picadillo, o fenezcas en el esfuerzo impotente de salir de corrientes marinas salvajes, o el coche te dejo tirado camino de Alice Springs, y finalmente cocinado al sol sin remedio en el solitario outback sartén.

Por eso es más que recomendable no salir de las grandes ciudades australianas: Darwin, Sydney, Melbourne, Camberra, Perth, etcétera. Son lugares increíblemente cosmopolitas y multiculturales donde hay de todo, también muchos museos. Y es ahí dónde nos queremos ver, visitando museos. En el país de los aussies hay muchísimos, por lo que vamos a hacer una selección de lo que consideramos lo más destacable que, como en muchas y variadas ocasiones, será de lo más discutible. Vamos allá comenzando nuestra odisea particular por el norte.

Museo y Galería de Arte de los Territorios del Norte de Australia / Darwin



Situado en un jardín tropical en Bullocky Point en el puerto de Darwin, es la institución cultural más importante de los Territorios del Norte – el Museo y Galería de Arte del Territorio del Norte (MAGNT). Las colecciones MAGNT muestra el arte de la región, historia y cultura. Además, dispone de exposiciones permanentes sobre historia natural en un contexto australiano e internacional a través de la investigación, interpretación y desarrollo de la colección que se muestra. Estas colecciones abarcan el arte y la cultura material de los aborígenes, artes visuales, la artesanía, el arte y la cultura material del sudeste asiático y oceánico, la arqueología marítima, la historia del territorio aussie del norte y su contexto natural. El complejo MAGNT consta de cinco grandes salas permanentes, una galería itinerante, instalaciones educativas para grupos escolares, un teatro, la tienda del museo y la Cornucopia Museum Cafe. Todos contribuyen a proporcionar una experiencia entretenida, diversa y didáctica para la comunidad local y los visitantes a Darwin. (Fuente: Gobierno de Australia, Territorios del Norte).

Museo de Cairns / Cairns (Noreste Australia)



Ubicado entre las esquina de Shields y Lake Calles, el Museo de Cairns se encuentra en el histórico Old School de Arts Building. El museo exhibe una serie de colecciones de arte, y cuenta con una amplia gama de material que ilustra el desarrollo de la ciudad de Cairns como la ciudad cosmopolita que es ahora. Dispone de una tienda de regalos, con venta de una amplia selección de libros históricos y recuerdos, también se encuentra dentro del museo. Si vais a ir, hay que darse prisa porque lo van a rehabilitar durante el año que viene. (Fuente: Ayuntamiento de Cairns).

Museo Estatal del Trópico de Queensland / Townsville (Este de Australia)



La colección que muestra el Museo Estatal de Queensland se compone de objetos que son importantes para entender la historia de Queensland. La colección incluye una rica diversidad de bienes culturales, incluidas las colecciones importantes de los aborígenes e isleños del Estrecho de Torres, objetos de las Islas del Pacífico e importantes colecciones relacionadas con la historia social, el transporte y la tecnología. Estos objetos son cuidados y aportados por los habitantes de Queensland para que puedan ser disfrutados por generaciones futuras. Las colecciones etnográficas están a cargo de la Asociación de Cuidadores de la Colección del Museo de Queensland que apoya el uso de estos materiales en producciones audiovisuales pay para la investigación dentro de la organización a través de préstamos a otras instituciones. (Fuente: el propio museo).

Museo del Ferrocarril de Archer Park / Rockhampton (Este de Australia)



El museo abarca el desarrollo y la historia del transporte basado en el ferrocarril en la ciudad principal del centro de Queensland. Rockhampton ya ha llegado a los 100 años de edad, como la estación de ferrocarril Archer Park en Denison Street el lado sur de la ciudad. El museo cuenta la historia de la estación de Archer Park (construida en 1899) con el único tranvía Purrey vapor que circulaba por sus raíles. Nos podemos acercar a la historia de este territorio a través de fotografías, paisajes sonoros y exposiciones basadas ​​en objetos. (Fuente: el propio museo).

Museo de la Ciudad de Brisbane / Brisbane



El Museo de la Ciudad de Brisbane, que ha sido renovado recientemente, se encuentra en la parte superior de la recién restaurada Brisbane City Hall. Quiere partir de la celebración de un lugar significativo en los corazones de los residentes de Brisbane como el “Lugar del Pueblo”, que tiene el envidiable título de edificio patrimonial más importante de Brisbane. Como el símbolo icónico de corazón de la ciudad, es lógico que el Ayuntamiento siga proporcionando un lugar donde los residentes de la ciudad, además de un estado a otro, y a los visitantes internacionales, puedan descubrir y explorar las personas, los lugares y las historias de Brisbane. Arriba en el tejado del Ayuntamiento el museo ofrece un oasis en la ciudad, que alberga cinco galerías, un theatrette, y la Cúpula Lounge.

Museo de la Ciudad de Sydney / Sydney



Su principal propósito es enriquecer y revitalizar la vida de las personas con la historia viva de Sydney, y de la mano de los lugares más importantes de la ciudad y sus colecciones que se muestran principalmente para disfrute de las generaciones futuras. El museo cobra vida a través de un programa dinámico y diverso de exposiciones, investigación y eventos tales como son los paseos, charlas y visitas para que los visitantes pueden experimentar el pasado de Sydney como si lo hubieran vivido ellos mismos. El museo se inauguró en 1980 como Las casas históricas en fideicomiso de Nueva Gales del Sur, para gestionar, mantener e interpretar edificios y lugares de importancia histórica para la educación y el disfrute del público. En 2013 se lanzó la nueva identidad como Museos Vivos de Sydney, para actualizar y unificar la variada y diversa gama de propiedades y destacar el papel y relevancia de la ciudad en el estado para las generaciones actuales y futuras. (Fuente: propio museo).

Museo Nacional de Australia / Camberra



La colección del Museo Histórico Nacional es la base central del los contenidos del Museo Nacional de Australia. Incluye más de 200 mil objetos relacionados con la historia del país continente, la mayoría de los cuales están almacenados en Mitchell, un suburbio en las afueras de Canberra (?). El cuidado de la colección se apoya con el equipo de gestión de las colecciones del museo, que consta de las secciones de Registro y Conservación. Conservación y el trabajo de registro de cerca para asegurarse de que la colección está segura y se almacena de forma correcta y accesible para su estudio, colocación en la exposiciones e investigaciones. El equipo de gestión de las colecciones también trabaja con el equipo de instalaciones, que se encarga del mantenimiento del edificio, la seguridad y la gestión ambiental y de riesgos. (Fuente: el propio museo).

Museo de la Ciudad de Melbourne / Melbourne



El Museo de la Ciudad de Melbourne explora la vida del estado de Victoria, de su medio ambiente natural de su cultura e historia. Situado en los Jardines Carlton, frente al histórico Palacio Real de Exposiciones, los galardonados casas Melbourne Museo una colección permanente en ocho galerías, incluyendo una sólo para niños. Los puntos culminantes incluyen un esqueleto completo de una ballena azul, el Centro Cultural Aborigen Bunjilaka, una selva viviente, el caballo de carreras Phar Lap y un teatro IMAX en el sitio. Las principales exposiciones internacionales se presentan en el Salón Touring. Una visita al Museo de Melbourne ofrece información muy valiosa ya menudo sorprendentes en la vida de Victoria. Bunjilaka Aboriginal Cultural Centre Bunjilaka es un espacio para indígenas y no indígenas para aprender acerca de Victoria Koorie (aborígenes del sudeste) personas. Las presentaciones incluyen obras de arte, artefactos, historias y actuaciones. (Fuente: propio museo).

Museo del Sur de Australia / Adelaida



El Museo de Australia del Sur se ha comprometido a hacer que el patrimonio natural y cultural de Australia sea accesible, atractivo y divertido en sus más de 150 años de historia. Es un lugar donde las familias pueden aprender y disfrutar juntos. Hoy en día el museo es uno de las instituciones más visitadas de Australia ya que posee colecciones de importancia nacional e internacional. Es un líder en la participación y congregación de la comunidad nacional y regional, al cuidado del patrimonio aborigen de Australia y de su investigación científica.

Museo del Oeste de Australia / Perth



El Museo de Australia Occidental es la organización cultural más importante del estado, albergando la colección científica y cultural de WA. Por más de 120 años, el Museo de Australia Occidental ha estado conservando el patrimonio natural y social del territorio del oeste, siendo accesible y atractivo a través de investigaciones, exposiciones y programas públicos. En una era digital donde la autenticidad es un bien escaso, las colecciones de historia natural, social y cultural del Museo de Australia Occidental nunca ha sido tan importantes como una vía para explorar el pasado, la determinación del lugar en el mundo que ocupa y mirando a su futuro. El museo comparte la cultura y la identidad de su comunidad y explora la diversidad y la creatividad de su mundo a través de las exposiciones del museo y su programa de exposiciones especiales temporales, eventos y actividades. El museo incluye el Centro de Descubrimiento, que ofrece la oportunidad de conocer de cerca las colecciones del museo y aprender acerca de WA – su medio ambiente y su gente. (Fuente: el propio museo).

Hoy hemos llegado hasta aquí. Como decíamos al comienzo de la entrada, es imposible que nos paremos en todos los museos que hay en este inmenso territorio. Finalmente hemos seguido el criterio de elegir los diez museos dedicados a la historia de cada lugar visitado en el sentido de las manecillas del reloj. Esperamos que en el futuro podamos volver y conocer otros tantos museos de los que hay cientos en el país de los bichos peligrosos.

BIBLIOGRAFÍA:

BRYSON, B.
En las antípodas
RBA Libros, 2010.
Resumen del libro: Australia es el sexto país más grande del mundo y la isla más extensa. Isla, país, continente. Seco, árido, yermo y climáticamente agresivo. Un país donde el gusano más peludo mata con su venenoso pinchazo, donde las conchas marinas no sólo pican sino que se persiguen, donde un tiburón puede zamparte o unas irresistibles ag uas arrastrarte mar adentro. Ignorando estas amenazas, Bill Bryson viajó a Australia y se enamoró del país. ¿Quién podría culparlo? La gente es alegre, ingeniosa y atenta; sus ciudades son seguras, limpias, casi siempre se sitúan cerca del agua; la cerveza está fría y el sol brilla con frecuencia. La vida no puede ser mucho mejor que esto.

ARTIGAS, T.
Aventura en Australia
Alba Editorial, 2005.
Resumen del libro: Luis, un joven de trece años, acompaña a sus padres en un viaje al continente australiano. Allí, visita Sydney y se maravilla de las costumbres, fauna y paisaje del país. El trabajo fotográfico del padre les llevará hasta Alice Springs, en el corazón de Australia, y les hará internarse en pleno desierto. Casualmente, la fam ilia se encuentra con unos amigos con los que deciden seguir el viaje. Juntos vivirán unos días de aventuras por las carreteras del Territorio del Norte. El grupo llega a un poblado aborigen, donde conocerá la vida y leyendas de los primeros pobladores de Australia, y sabrá de la lucha actual de sus descendientes por defender sus derechos y su cultura.

CARRION, J.
Australia, un viaje
Editorial Berenice, 2008
Resumen del libro: Tres mil kilómetros por la costa este de Australia y otros tres mil por la costa oeste. Ese es el itinerario seguido por Jorge Carrión para investigar la presencia y el rastro de emigrados españoles en las Antípodas. Desde Sydney hasta Cairns, en la costa oriental, Carrión entrevista a los cortadores de caña de azucar y vis ita los pueblos y las plantaciones donde vivieron los años más duros que recuerdan. De Darwin a Perth, en la costa occidental, viaja en la avioneta del correo hasta una remota misión y se aloja en un viejo monasterio benedictino para entrevistar a los últimos monjes españoles que quedan allí. Australia es una propuesta nueva y ambiciosa, y el primer estudio de conjunto que se publica sobre la emigración española a Oceanía. En lugar de seguir las formas habituales del ensayo divulgativo o del libro de viajes, su autor apuesta por un híbrido que experimenta con las posibilidades del lenguaje para dar cuenta de la percepción del espacio y del movimiento. El resultado son estas páginas que hablan fundamentalmente de un misterio: por qué los seres humanos sentimos desde siempre el impulso de emigrar.

JUNGMAN, A. y BLANCH, T.
El conde Drácula en Australia
Editorial Edebe, 2014
Resumen del libro: Cuando Stacey y su padre compran un ataúd para su tienda de antigüedades en Australia, no se imaginaran lo que contiene… ¡Un auténtico vampiro! Sin saberlo, lo embarcan rumbo a Australia. Pero, con la ayuda de Stacey y de unas sabrosas ideas, el vampiro descubre que la vida puede ser divertida.


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Chefe do museu Tate Modern é eleito o mais poderoso da arte contemporânea


Segundo a revista "ArtReview", a instituição londrina "tornou-se a epítome de quase todos os elementos do atual mundo ‘global' da arte"

Reuters
Tristan Fewings/Getty Images
Nicholar Serota, que administra a Tate Modern


O homem que administra a galeria londrina Tate Modern, uma antiga estação de energia que fica sob o rio Tâmisa, foi nomeado nesta quinta-feira (23) a figura mais poderosa no mundo da arte contemporânea.

Nicholas Serota esteve entre os 10 primeiros da lista dos “100 Poderosos” todos os anos desde que o ranking foi lançado pela revista ArtReview em 2002. Segundo a publicação, o museu “tornou-se a epítome de quase todos os elementos do atual mundo ‘global' da arte”.

“A Tate Modern permanece sendo o museu moderno e contemporâneo mais visitado do mundo, e a organização tem parcerias de Seul a Sidney, de Berlim a Omã”, disse a ArtReview.

Inaugurado em 2000 sob a liderança de Serota, a Tate Modern tornou-se uma grande atração turística da capital britânica.

No mês passado, o museu anunciou uma exibição de recortes de papel feita por Henri Matisse, que atraiu mais de 560 mil pessoas, tornando-se a exposição mais popular já feita no museu.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://ultimosegundo.ig.com.br/cultura/2014-10-23/chefe-do-museu-tate-modern-e-eleito-o-mais-poderoso-da-arte-contemporanea.html

What’s the right way to behave in a museum? This Tumblr takes a satirical look at how people view art


"The Future Looks Viral" is a weekly series where we profile the people behind an innovative, new online project, be it a parody Twitter account, web series or interesting Instagram profile. They all have one thing in common: the potential to go viral.

Usually the most interesting thing to see at a museum is what's on display. However, the people viewing the exhibits can sometimes be just as fascinating.

That's what Ed Rodley shows with his Tumblr People Behaving Appropriately in Art Museums. Rodley, who by day is the associate director of integrated media at the Peabody Essex Museum in Salem, Mass., takes a satirical look at how people view art by parodying the stereotypical stuffy and pretentious art critic. The Tumblr features photos Rodley finds online and some submissions of people looking at art in museums accompanied by a short critique of what is right or wrong about what they're doing. You should feel free to submit your own photos as well.

Rodley spoke with T-Lounge over the phone about People Behaving Appropriately in Art Museums, how selfies have impacted the art world and the museums he's dying to visit now. May it inspire your inner art critic.

Where did the idea for People Behaving Appropriately in Art Museums come from?

The whole idea of the Tumblr was started by just some snarky side remarks that I made. These remarks are the kind that art critics that write long op-ed pieces in The Times or The New Yorker make, lamenting about the state of the unwashed masses that go to art museums and do stupid things, like take photographs or selfies or don't behave in the quiet, appropriate manner. I thought I would channel some of that snark into People Behaving Appropriately in Art Museums. Ostensibly, it's a sort of a Colbert-esque attempt to poke fun at the idea that in order to correctly view an art museum, you have to be quiet. Or that it's better if you're by yourself, or if you're with somebody, you should ignore them, or pretend you're by yourself. That is certainly one way to experience art, but it is, I don't think by any means, the only way or the only valid way. So it is me poking fun at them a little bit and just having fun.

Your title is People Behaving Appropriately in Art Museums, but some of the photos are of people behaving, in your opinion, inappropriately. Why did you decide to include both on the blog?

The persona of the blog author that I'm trying to put across is this traditional, 20th-century art museum elite mindset that thinks there is a right way and a wrong way. And thinks that when people do things the wrong way, it's a good idea to mock them in print, preferably on Sunday in as big a paper as you can. The idea is basically to make that kind of position seem ridiculous by both kinds of examples. There's one black-and-white picture in there that I found from like the '50s of a bunch of women at an art museum, and it's classic mid-century America. All the women have hats, and they're wearing gloves. They're dressed in their going-out clothes, and they're sitting there very appropriately with their hands on their laps and their legs crossed. And there's some guy in a suit in the background obviously lecturing to some woman about art. You know, it sort of sums up the whole old establishment ideal of what it meant to go to a museum. This is the voice of authority. You come here to sit quietly and listen and be told what to think about art, preferably by a white male in a suit.

With all of those posts, I try to problematize that conception of museum-going, both in terms of the appropriate and the inappropriate models that I use. Like, do you really need to refrain from displaying any kind of motion, which seems to be one of those things that folks like Philip Kennicott or Judith Dobrzynski, or any of the established critics out there who write about these things, tend to get very pissed about. You know,"These people are being loud. These people are waving their arms around." Pretty much anything that's not standing still quietly is, to them, somehow less valid and, more importantly, part of the reason why Western civilization is crumbling. And you know, that's worth poking at a little.
This one. Note the cocked head, crossed arms. Good distance from the work. I smell a critic,
(Photo : NCinDC) This one. Note the cocked head, crossed arms. Good distance from the work. I smell a critic," Rodley wrote of this photo on People Behaving Appropriately in Art Museums.

How do you find the photos of these museums and decide what you want to put on the website?

In the course of writing posts for my regular blog, for my main blog, I'm always scouring Tumblr and Flickr Commons and other places for images of people in museums anyway. As a result of that, you will often find these hysterical images that scream, "Oh, look. Here is a classic example of someone 'doing it right.'" Those are the ones that I will dump in a folder and upload to Tumblr when I get a chance.

Do you think there is an appropriate way to behave in a museum?

Well, that's an interesting thing. I think it's one of the reasons why we're seeing this kind of debate all over the place. Selfies are a great example of that. The amount of ink and electrons that have been spilled worrying about whether or not selfies are ruining the museum, literally those are headlines from major newspapers, is kind of shocking. So I do think technology once again has gotten ahead of the social mores. Like we used to know how to behave, or there was a broadly shared unwritten understanding of how one behaved in public spaces. And I don't think we're at the point yet in Western society where we've renegotiated what the new one is. That would be an interesting conversation to have. ... You know, what is an appropriate way to behave in a 21st-century museum? I don't think we know. I think people using digital cameras to record their experience, personally I think it's a perfectly valid way of experiencing an art museum. Will some of them take silly pictures? Sure. They do that anyway. Banning photography is like saying some people don't know how to drive, so therefore, we shouldn't have cars. The better answer is, "Maybe we need to come up with some rules of the road." I hope museums will be able to have some interesting discussions with their audiences, like what does it mean to be appropriate?

Do you observe people looking at art in real life and have a similar sort of critique going on in your mind as you do on your Tumblr?

Um, no. Yes, I do spend all of my time looking at people in museums because that's what I do for a living. The Tumblr was really a place to let all the snark out that doesn't get to come out anywhere else. Like, you know, if you read my main blog, I try very hard to be a reasoned voice and basically not get into a lot of the snarky stuff that passes for debate nowadays. I try very hard to avoid that whenever possible, and it takes a toll on the body after a while, and I needed a place to let that out. Tumblr is a really great place to do that. You know, the audience is right for it. The content is right for it. You know, little, tiny doses of satire here and there, every now and again are just enough to help maintain sanity on a long, stressful week.

Other than the museum you currently work at of course, what is your favorite museum and why is it your favorite?

That's such a hard one when you live and breathe it. I can answer the question this way. There are two museums I am dying to visit. If you give me 1000 bucks right now, I would probably buy a plane ticket to go see these museums that I haven't seen. One of them is in Zagreb, Croatia called the Museum of Broken Relationships. It started out as an art project by this pair of artists that had been a couple and had recently broken up and decided to make a museum with some artifacts of this relationship with some texts by them. They solicited contributions, and now they actually have an entire museum full of people's artifacts commemorating dissolved relationships. And some of them are funny, some of them are heartbreaking, some of them are just weird, but it's all actual stuff that people have contributed, and it's all their stories as well. From everything I have read about it, you basically take a tour of all of these failed relationships, and it just seemed like it would be a really interesting museum experience.

The other one that I am dying to go see is in Istanbul, Turkey. You know, the author Orhan Pamuk wrote a book called The Museum of Innocence that's this chronicle of this relationship or this sort of relationship between two people covering many decades. And in the process of writing the book, he collected all of this stuff to help him write this story, because one of the characters in the book obsessively collects stuff that belongs to or is somehow associated with this woman he's fascinated with. And Pamuk gathered so much stuff that he basically put together a museum that's a completely fictional museum of the world of this book. So you can go and see an ashtray full of cigarette butts this woman smoked that still have lipstick on them. You know, it's a completely insane, sort of, artistic endeavor. Can you imagine like filling an entire museum with fictional objects having to do with fictional characters in a novel?

I'm dying to see these things. I hope they don't disappoint, but I'm willing to be disappointed if I get to go see them.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.techtimes.com/articles/18539/20141023/what-s-the-right-way-to-behave-in-a-museum-this-tumblr-takes-a-satirical-look-at-how-people-view-art.htm#ixzz3H40NUAqi

Censure au musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain?

L’installation Face au silence, en hommage à Mehdi Ben Barka, figurant dans l’exposition inaugurale du Musée Mohammed VI a mis 15 jours pour être mise en place. Censure ou problème d’organisation ?



Dans la dernière étape de 100 ans de création au Maroc, l’exposition inaugurale du Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain, figure Face au silence, une installation de l’artiste Mounir Fatmi, qui a mis pas moins de 15 jours pour être mise en place. Le souci ? « Nous n’avons pas pu trouver un lecteur Blu-Ray à temps », prétexte Abdelaziz Idrissi, directeur du musée. Sachant que des lecteurs Blu-Ray sont disponibles à la vente dans les grandes surfaces et les magasins spécialisés.

Inauguré le 7 octobre, le musée ne comportait pas l’installation de Mounir Fatmi ce jour-là. Composée d’une photographie de Hassan II et Mehdi Ben Barka et d’une vidéo hommage à ce dernier, elle a fini par être mise en place trois jours plus tard, soit le 10 octobre, mais dans une version incomplète. L’écran censé projeter la vidéo était simplement noir. Ce n’est qu’aujourd’hui, vers 11 heures, que la vidéo était disponible pour les visiteurs suite à un post Facebook publié par l’artiste où il réclamait des explications. Pour Abdelaziz Idrissi, la vidéo était disponible quelques jours après le vernissage. Déclaration qui contraste avec les faits, plusieurs visites de notre part et de visiteurs à des jours différents confirment que cette vidéo n’a jamais été projetée.


mounir fatmi


« Des problèmes techniques peuvent subvenir, mais 15 jours pour trouver un lecteur Blu-Ray, c’est un peu trop », se plaint Mounir Fatmi, contacté dans la soirée du 21 octobre par TelQuel. En effet, l’argumentaire selon lequel le musée, conçu selon des normes internationales, aurait eu des difficultés à acquérir un lecteur Blu-Ray, peine à convaincre.


Une exposition préparée depuis avril



L’administration du musée aura attendu que l’artiste contemporain poste un « coup de gueule » le 21 octobre sur Facebook pour enfin répondre à ses requêtes. Dans son écrit, Mounir Fatmi explique que « les collaborateurs du musée ont commencé à travailler sur cette installation depuis le mois d’avril en relation avec le commissaire Mohamed Rachdi. Ce dernier a été écarté quelques semaines avant l’ouverture sans que le musée ne nous informe de cette décision ni n’en explique les raisons ». Par la suite, aucune explication n’a été fournie à l’artiste.

Mercredi 22 octobre, nous nous sommes rendus sur les lieux pour vérifier si l’installation fonctionnait. Un écran noir accompagnait toujours la photo et un vigile était installé très près de l’installation pour éviter qu’elle ne puisse être photographiée par des visiteurs. Plus tard dans la journée, l’écran a été allumé pour la première fois pour enfin permettre aux visiteurs de découvrir cette œuvre. Sur Facebook, l’artiste réagit une dernière fois, après avoir reçu une photo confirmant que l’œuvre était désormais fonctionnelle de la part du directeur du musée. « Quelques amis ont proposé de ramener un lecteur Blu-Ray au musée afin que mon œuvre soit complétée », avoue-t-il sur Facebook.

fatmi


 fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://telquel.ma/2014/10/22/censure-au-musee-mohammed-vi-dart-moderne-contemporain_1420332

Le musée Soulages en tête d'affiche


Soulages ! Depuis de nombreux mois, c'est peut-être le nom le plus prononcé, le plus entendu donc, à Rodez et en Aveyron. On peut dire, sans se tromper, que depuis la naissance du projet jusqu'à son inauguration par le président de la République François Hollande, le 30 mai dernier, le musée aura fait couler beaucoup d'encre et de salive. Les «pour», les «contre» et les «faut voir» ont largement commenté l'opportunité d'avoir un tel équipement culturel à Rodez. Aujourd'hui, presque six mois après l'ouverture au public, le 31 mai, et quatre jours après la fermeture de la première exposition temporaire, «L'Outrenoir», à l'heure d'un premier bilan, force est de constater que le musée a été la locomotive du tourisme ruthénois et aveyronnais du printemps, de l'été et de l'automne (lire ci-dessous). Et ce n'est pas la posture de quelques «contres» historiques, qui continuent à dénigrer le musée, qui peut atténuer le succès de fréquentation : 170 000 visiteurs sont déjà venus en à peine six mois. Jean-Michel Cosson, vice-président en charge de la culture à la communauté d'agglomération du grand Rodez, qui se félicite de ce succès, avoue «avoir été surpris par ce flux auquel on ne s'attendait pas.

Tourisme - Rodez (12) - Tourisme

Jean-Michel Cosson, vice-président en charge de la culture à la communauté d agglomération du grand Rodez, peut avoir le sourire. Le musée Soulages connaît de bons débuts. Maintenant place à Picasso & Co./Photo DDM, J.-L.P.
Jean-Michel Cosson, vice-président en charge de la culture à la communauté d agglomération du grand Rodez, peut avoir le sourire. Le musée Soulages connaît de bons débuts. Maintenant place à Picasso & Co./Photo DDM, J.-L.P.


Avec le marketing qu'on avait mis en place bien en amont de l'ouverture, dont le nouvel office de tourisme, je pensais vraiment que du monde viendrait, mais là…».


Du coup, assez rapidement, les élus ont pris en compte les problèmes engendrés par un tel engouement et ont tenté d'y remédier. Au niveau personnel d'abord, où il a fallu embaucher des personnes pour renforcer l'accueil et la sécurité des œuvres de Soulages. La signalétique ensuite, notamment la signalétique intérieure, a dû être améliorée, des manques ayant été constatés. La signalétique extérieure a aussi été mise en place début septembre, avec des grands panneaux du musée sur l'A 75 et aux quatre entrées de Rodez. Les élus ont également obtenu de l'État qu'il installe, très bientôt, deux grands panneaux sur la RN 88, entre Tanus et La Mothe, un avec la cathédrale, un avec le musée (comme pour Albi). Si le succès est là, Jean-Michel Cosson est bien conscient que pour qu'il se pérennise, il faut être vigilant et à l'écoute des critiques. Ainsi, au début du mois d'octobre, il a réuni les restaurateurs et les hébergeurs du grand Rodez pour faire un bilan de la saison touristique. L'occasion d'entendre le positif et le négatif qu'avaient pu recueillir les professionnels de l'hôtellerie auprès de leurs clients. Le positif l'emporte largement. Autre satisfaction, et grâce à un accès commun avec un seul billet, l'augmentation de la fréquentation au musée Fenaille (multipliée par 3) et au musée Denys-Puech (multipliée par 2). Aujourd'hui, le musée est ouvert pour l'exposition permanente de Soulages. C'est le 14 novembre (jusqu'au 8 mars 2015) que l'on pourra découvrir la deuxième exposition temporaire «DePicasso à Jasper Johns, l'atelier d'Aldo Crommelynck».

Musée Denys-Puech : les vrais chiffres. et une réflexion à avoir



C'est rare, mais Jean-Michel Cosson peut être en colère. Et il l'est. Contre Jean-Philippe Keroslian, maire d'Onet-le -Château et vice-président de la communauté d'agglomération du grand Rodez. En colère car ce dernier a déclaré à la récente assemblée générale du club de rugby que «pour un seul match de championnat, le SRA fait plus d'entrées que le musée Denys-Puech toute l'année». «Faux, répond Jean-Michel Cosson, 2 500 personnes au stade pour un match, 12 000 entrées au musée Puech. Soit c'est une méconnaissance des chiffres, soit c'est de la manipulation. Surtout, je ne vois pas pourquoi on oppose systématiquement le sport (le rugby surtout) et la culture. Il y a de la place pour tout le monde. Quand il a fallu voter il y a 2 ans une subvention pour le SRA, je l'ai votée sans problème». Jean-Michel Cosson précise encore : «Le coût de fonctionnement du musée Puech, depuis la mutualisation des trois musées, est entre 65 000 et 70 000 € par an, le coût annuel des expositions ne dépasse pas 15 000 €». Par contre, Jean-Michel Cosson ne s'interdit pas de mener une réflexion sur l'avenir du musée Denys-Puech : «Elle aura lieu en 2015. Pas pour une fermeture mais peut-être avec de nouvelles orientations comme des ateliers pour les scolaires ou des résidences d'artistes. En tout cas, il faut que ce soit une réflexion menée au niveau de l'agglo et avec toutes les personnes concernées».
 
 
fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/23/1977591-le-musee-soulages-en-tete-d-affiche.html

Karl Friedrich Schinkel’s Altes Museum


Karl Friedrich Schinkel’s Altes Museum, completed in 1830, is one of the most important buildings of the Neoclassical era. The monumental arrangement of eighteen Ionic fluted columns, the expansive atrium and sweeping staircase that invites visitors to ascend to the top, the rotunda adorned with Antique sculptures on all sides as a place to collect one’s thoughts and an explicit reference to Rome’s Pantheon: such signs of architectural refinement had previously only ever been seen in buildings designed for royalty and the nobility. The inscription on the portico reads: ‘Friedrich Wilhelm III has dedicated this museum to the study of all antiquities and the free arts, 1828’. Today the museum houses the Antikensammlung, showcasing its permanent exhibition on the art and culture of the Greeks, Etruscans, and Romans. The Münzkabinett complements this sweeping overview of classical antiquity with its display of ancient coins. 
 
 

fonte: @edisonmariotti http://www.smb.museum/en/museums-and-institutions/altes-museum/home.html?tx_smb_pi1[filterMuseum]=9&cHash=62211a03b54348db99c0905461c6af85