Ouvir o texto...

terça-feira, 4 de novembro de 2014

Nuit du Conte en Suisse au Musée d’histoire naturelle, le vendredi 14 novembre 2014, de 17h15 à 21h

Le Muséum accueille en ses murs la Nuit du Conte en Suisse pour la 9e année consécutive sur le thème «Je joue, tu joues, jouons!». Des promenades contées à la lampe de poche, un kamishibaï, des contes pour jouer et des activités créatrices vous attendent!


© DR

Cet événement permet de réunir toutes les générations pour un moment particulier et magique autour des histoires et dans un site particulier et enchanteur.

Les contes émerveillent les enfants et sont très appréciés des adultes et des aînés. Ils représentent un moment de partage et rapprochent les individus par l'ambiance qu'ils créent dans les lieux qui les accueillent.

Avec les conteuses Hélène Badertscher, Monique Baré, Odette Bilard, Patricia Brice, Corinne Conrad, Yvette Court, Mady Llanos & Prisca Oester Muller.

Informations pratiques

  • Promenades contées limitées à 30 personnes
  • Gratuit, sans réservation, mais inscription sur place 15 minutes avant chaque départ (limité à 30 personnes)
  • Tout public, excepté la prestation de 20h15 intitulée «Jeux de séduction à poil… et à plumes» (pour ado-adultes).

Programme du Musée d'histoire naturelle

Les kamishibaïs en balade
17:15 et 18 :45

Quand le soleil a rendez-vous avec la lune!

17:30

Loup y es-tu?

18:00

Un, deux, trois...soleil!
18:15

Cache-cache à travers le temps
19:00

Jeux de séduction à poil ... et à plumes!
20:15 


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti  http://www.ville-geneve.ch/actualites/detail/article/1415008074-nuit-conte-suisse-musee-histoire-naturelle-vendredi-14-novembre-2014-17h15/

Balade à la Fondation Louis Vuitton : quand le bâtiment écrase le musée

C’est LA promenade du week-end : un tour au tout nouveau projet architectural parisien décoiffant, le musée de la Fondation Louis Vuitton, au cœur du bois de Boulogne, dans l’ouest de la capitale.



Le bâtiment de la Fondation Louis Vuitton au Bois de Boulogne, à Paris (DAVID SILPA/NEWSCOM/SIPA).






Pour inaugurer le bâtiment, une expo à la gloire... du bâtiment (Pierre Haski/Rue89)



La curiosité est au rendez-vous, tant le battage médiatique a été présent autour de l’inauguration, le 27 octobre par François Hollande et le maître des lieux, Bernard Arnault, du bâtiment à plus de 100 millions d’euros, signé par l’architecte américain Frank Gehry. 


Le hall de la Fondation Louis Vuitton vu d’un étage (Pierre Haski/Rue89)

Mais, comme c’est devenu une habitude depuis que le même Frank Gehry a construit le musée Guggenheim de Bilbao, en 1997, le bâtiment est l’attraction numéro un, bien plus que ce qu’il montre.

Et, comme à Bilbao, qui a connu une véritable renaissance économique et sociale depuis l’implantation du Guggenheim, le bâtiment de la Fondation Louis Vuitton attire le public pour ce qu’il est : une spectaculaire architecture de verre, d’acier et de bois implantée au cœur d’un espace idéal, boisé, à deux pas des tours de La Défense d’un côté, de la tour Eiffel et du vieux Paris de l’autre.


Le public déambule de salle en salle, grimpe les escaliers, traîne sur les magnifiques terrasses et, surtout, prend des photos, ou, le plus souvent SE prend en photo.

Tout, semble-t-il, a été conçu pour attirer l’œil du photographe amateur et de son smartphone, les courbes métalliques comme les jointures en bois, les angles de vision sur La Défense ou sur les arbres du bois de Boulogne. C’est un musée selfie par excellence... 

 
Terrasse de la Fondation Louis Vuitton dimanche 2 novembre, par beau temps (Pierre Haski/Rue89)

Le bâtiment est tellement imposant que les œuvres en pâtissent. Qui peut résister au gigantisme de Frank Gehry ? Pas grand monde, pas même un géant de la peinture comme Gerhard Richter, ou un artiste conceptuel comme Bertrand Lavier.

Il n’y a guère que l’artiste français Pierre Huyghe qui tienne le choc, avec la présentation d’une vidéo sur écran géant, tournée dans l’Antarctique, et qui a la puissance et l’énergie nécessaires pour se confronter à cette architecture-choc. 


Le seul à pouvoir se confronter au bâtiment, Pierre Huyghe et son film sur l’Antarctique projeté sur écran géant (Pierre Haski/Rue89)
Sous les lettres clinquantes entrelacées L&V


Le bâtiment soulève assurément l’enthousiasme, quelles que soient les réserves initiales, et aussi toute l’ambiguïté d’entrer dans un musée en passant sous les lettres clinquantes entrelacées L&V, Louis Vuitton, symbole du mariage nouveau riche du luxe, de la finance, et de l’art...

Et sans doute faudra-t-il attendre que soit passée la phase de la découverte de l’architecture ; la phase, aussi, de l’autocélébration du bâtiment et de son talentueux architecte, pour voir ce que le musée aura à proposer. Pour l’heure, c’est une prouesse architecturale, bien plus qu’une proposition muséale, qui attire le public.

C’est exactement ce que souhaitait Bernard Arnault en faisant appel à l’une des mégastars de l’architecture mondiale.
 
 
fonte: @edisonmariotti #edisonbmariotti http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/11/03/balade-a-fondation-louis-vuitton-quand-batiment-ecrase-musee-255851

Alexander III of Macedon (20/21 July 356 – 10/11 June 323 BC), commonly known as Alexander the Great (Greek: Ἀλέξανδρος ὁ Μέγας), was a King of the Ancient Greek kingdom of Macedon, member of the Argead dynasty.

Alexander the Great 

Alexander (left) fighting an Asiatic lion with his?
friend Craterus (detail). 3rd century BC mosaic, Pella Museum.

Born in Pella in 356 BC, Alexander succeeded his father, Philip II, to the throne at the age of twenty. He spent most of his ruling years on an unprecedented military campaign through Asia and northeast Africa, until by the age of thirty he had created one of the largest empires of the ancient world, stretching from Greece to Egypt and into northwest ancient India. He was undefeated in battle and is considered one of history’s most successful military commanders.

Alexander the Great Founding Alexandria By Placido Costanzi (Italian, 1702-1759)

During his youth, Alexander was tutored by the philosopher Aristotle until the age of 16. When he succeeded his father to the throne in 336 BC, after Philip was assassinated, Alexander inherited a strong kingdom and an experienced army. He had been awarded the generalship of Greece and used this authority to launch his father’s military expansion plans. In 334 BC, he invaded the Achaemenid Empire, ruled Asia Minor, and began a series of campaigns that lasted ten years. Alexander broke the power of Persia in a series of decisive battles, most notably the battles of Issus and Gaugamela. He subsequently overthrew the Persian King Darius III and conquered the entirety of the First Persian Empire. At that point, his empire stretched from the Adriatic Sea to the Indus River.

Aristotle tutoring Alexander, by Jean Leon Gerome Ferris.

Seeking to reach the “ends of the world and the Great Outer Sea”, he invaded India in 326 BC, but was eventually forced to turn back at the demand of his troops. Alexander died in Babylon in 323 BC, the city he planned to establish as his capital, without executing a series of planned campaigns that would have begun with an invasion of Arabia. In the years following his death, a series of civil wars tore his empire apart, resulting in several states ruled by the Diadochi, Alexander’s surviving generals and heirs.

Alexander’s legacy includes the cultural diffusion his conquests engendered. He founded some twenty cities that bore his name, most notably Alexandria in Egypt. Alexander’s settlement of Greek colonists and the resulting spread of Greek culture in the east resulted in a new Hellenistic civilization, aspects of which were still evident in the traditions of the Byzantine Empire in the mid-15th century. Alexander became legendary as a classical hero in the mold of Achilles, and he features prominently in the history and myth of Greek and non-Greek cultures. He became the measure against which military leaders compared themselves, and military academies throughout the world still teach his tactics.

Adolescence and education

Basileus of Macedon, Hegemon of the Hellenic League, Shahanshah of Persia, Pharaoh of Egypt, Lord of Asia. “Alexander fighting king Darius III of Persia”, Alexander Mosaic, Naples National Archaeological Museum.

When Alexander was 13, Philip began to search for a tutor, and considered such academics as Isocrates and Speusippus, the latter offering to resign to take up the post. In the end, Philip chose Aristotle and provided the Temple of the Nymphs at Mieza as a classroom. In return for teaching Alexander, Philip agreed to rebuild Aristotle’s hometown of Stageira, which Philip had razed, and to repopulate it by buying and freeing the ex-citizens who were slaves, or pardoning those who were in exile.

Mieza was like a boarding school for Alexander and the children of Macedonian nobles, such as Ptolemy, Hephaistion, and Cassander. Many of these students would become his friends and future generals, and are often known as the ‘Companions’. Aristotle taught Alexander and his companions about medicine, philosophy, morals, religion, logic, and art. Under Aristotle’s tutelage, Alexander developed a passion for the works of Homer, and in particular the Iliad; Aristotle gave him an annotated copy, which Alexander later carried on his campaigns.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://athenspath.com/2014/11/02/alexander-the-great/

A Fundação de Cultura do governo de Mato Grosso do Sul abre nesta terça-feira (4 de novembro), às 19h30, no Museu de Arte Contemporânea (Marco) a exposição do Salão de Arte de Mato Grosso do Sul 2014.

Foram selecionadas obras dos artistas Ana Paula Nogueira (MS); Evandro Batista Prado (MS); Giovanni Ferreira de Souza (RJ); José Henrique Silveira Yura (MS); Karine Gomes Perez Vieira (RS); Luiz Fernando Ricardi (SP); Lucio Volpini (RJ); Maicon Medeiros da Silva (SP); Maiana Nussbacher (SP); Marcelo Buainain (RN); Monica Flávia Cardoso Carvalho (SE); Marilene Maria Zanchet (PR); Patrícia Gomes Helney (MS); Priscilla de Paula Pessoa (MS); Rodrigo Zini Mendes (PR); Sônia Costa Correa (MS); Telma Castro Cordeiro (MS); Vane Sanches Barini (SP); Vânia Paula Jucá Santos (MS); Venise Paschoal de Melo (MS).

Dos vinte selecionados, sete artistas serão premiados com R$ 6 mil cada e suas obras incorporadas ao acervo do Marco – Museu de Arte Contemporânea, da Fundação de Cultura. Os demais artistas (13 no total) receberão um prêmio no valor de R$ 1 mil.

Os artistas premiados são Giovanni Ferreira de Souza (RJ), José Henrique Silveira Yura (MS), Luiz Fernando Ricardi (SP), Lucio Volpini (RJ), Maiana Nussbacher (SP), Marcelo Buainain (RN) e Priscilla de Paula Pessoa (MS).

A Comissão de Seleção que avaliou a documentação e as imagens foi formada por Zilá Soares (artista plástica e professora especialista em Artes e História da Arte), Jonas Eduardo Martins de Santana (artista visual especialista em Artes Visuais, secretário do Conselho Municipal de Políticas Culturais e coordenador do curso técnico em Comunicação Visual do Centro de Educação Profissional Ezequiel Ferreira Lima) e Douglas Raldi Pereira (artista plástico, professor universitário e gestor cultural).

Proposta - O Salão de Arte de Mato Grosso do Sul tem como objetivo ampliar o diálogo com a produção atual das artes visuais e estimular a reflexão sobre a produção cultural brasileira, contribuindo com a promoção, difusão e expansão da diversidade da linguagem artística e cultural, além de possibilitar a compreensão das múltiplas expressões, não se limitando somente as de caráter local.

Esta será a sexta edição do Salão de Arte desde que foi recriado pelo governo do Estado após 14 anos sem ser realizado. Desde então premiou 80 artistas contemporâneos da área das artes plásticas. 
 
<br>


“A realização de um Salão como este possibilita o aparecimento de novos talentos na área, o intercâmbio de informações e o contato do público local com novas linguagens neste setor. Enfim, oxigena a produção das artes visuais no Estado”, analisa Américo Calheiros, presidente da Fundação de Cultura de Mato Grosso do Sul.

Serviço: Esclarecimentos e informações complementares sobre o Salão de Arte de Mato Grosso do Sul podem ser obtidos no Núcleo de Artes Visuais da Gerência de Desenvolvimento e Difusão de Programas Culturais da Fundação de Cultura, através dos telefones 3316-9170 (Núcleo de Artes Visuais, das 8h às 13h30) ou 3326-7449 (Marco, das 12h às 18 horas). O Museu de Arte Contemporânea está aberto à visitação de terça a sexta das 12h às 18 horas. Sábados, domingos e feriados a partir das 14 horas. A entrada como sempre é franca. Fica localizado na Rua Antônio Maria Coelho, nº 6000, no Parque das Nações Indígenas. O telefone é (67) 3326-7449.

fonte: @edisonmarirotti #edisonmariotti http://www.jornaldiadia.com.br/news/noticia.php?Id=45345#.VFjCE2fhW1s
Por: FCMS

Museu Oscar Niemeyer - Curitiba (PR) com a exposição Da Matéria do Mundo.

Em paralelo, a artista plástica Eliane Prolik lança seus mais recentes trabalhos em uma exposição pop-up na SIM Galeria. Com abertura marcada para o dia 05 de novembro, a mostra Eliane Prolik: Mira e Múltiplos apresenta a série inédita de esculturas de mesa intitulada Mira e dois múltiplos que trazem questões significativas da poética da artista.

Em metal, as obras de Eliane Prolik articulam elementos geométricos, urbanos e cotidianos. Suas esculturas constroem uma variedade de intensidades luminosas e ópticas, que capturam o dinamismo do corpo no espaço e na arquitetura. Também fazem parte da exposição os Tapumes (2013), elementos que criam uma espécie de labirinto para o espectador e que integram a exposição individual da artista no MON, além de Brise (2014), composta por esculturas suspensas que colocam o tempo em evidência.

A mostra ainda traz a obra Mira (2013/2014), exibida na feira ArtRio e adquirida para o acervo do Museu de Arte do Rio, o MAR. “É uma obra muito interessante, em que há um aspecto reflexivo. Nessa escultura, você busca o horizonte ao mesmo tempo em que se vê”, explica Guilherme Simões de Assis, diretor da SIM Galeria, que representa a artista com exclusividade. A exposição fica em cartaz até o dia 11 de novembro.

Serviço:
Eliane Prolik: Mira e Múltiplos
Abertura: 05/11 (quarta-feira), às 19h
Local: SIM Galeria – Alameda Presidente Taunay, 130 A – Batel – Curitiba (PR)
Período: De 06 a 11 de novembro. De segunda a sexta-feira, das 10h às 19h. Aos sábados, das 10h às 18h.


Entrada gratuita

Sobre a SIM Galeria
Voltada para as manifestações contemporâneas de arte, a SIM Galeria, de Curitiba, é dirigida por Guilherme e Laura Simões de Assis. Há três anos no mercado, a galeria curitibana apresenta grande notoriedade, com 15 artistas nacionais e internacionais representados e presença em alguns dos principais eventos de arte do mundo, como ArtRio e SP-Arte.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.paranashop.com.br/colunas/colunas_n.php?op=lazer&id=251140

CAIXA Cultural expõe obras que contam a história do papel na arte brasileira - em Brasilia

Obras estarão expostas de 28 de outubro a 11 de janeiro de 2015 na Galeria Acervo, da CAIXA Cultural Brasília, na mostra Exposição Metamorfoses – O Papel no Acervo da CAIXA
Brasília, Cultura



Fabricado com base na celulose há quase dois mil anos, o papel se tornou uma das tecnologias mais duradouras e cruciais para o desenvolvimento do engenho humano, beneficiando a técnica do desenho e de outras linguagens como a gravura. No Brasil, as artes do papel ganharam pleno espaço no século 20. É o que mostra a exposição Metamorfoses – O Papel no Acervo da CAIXA, em cartaz do dia 28 de outubro a 11 de janeiro de 2015 na Galeria Acervo do espaço.

Serão exibidos ao público 60 trabalhos unidos pela similaridade do suporte papel. São desenhos e gravuras que contam a história e trajetória do uso do papel na arte, por meio da obra de artistas brasileiros como Tarsila do Amaral, Di Cavalcanti, Oswaldo Goeldi, Artur Barrio, Marcelo Gassmann, Djanira, Fayga Ostrower, Tomie Ohtake e Glênio Bianchetti.

“A exposição dá continuidade à política da CAIXA de disponibilizar acesso às obras de sua coleção, que constitui patrimônio público”, comenta Marcelo Moreira dos Santos, gerente de Filial da CAIXA Cultural Brasília. “Esta mostra propõe um contato direto com rico material de referência histórica, que tem o uso do papel como suporte expressivo para uma diversidade de artistas”, comenta o gestor.

Junto com os trabalhos de pinturas, a coleção de obras desenvolvidas sobre papel constitui um dos principais acervos da CAIXA. Só em Brasília existem mais 300 obras arquivadas. Como aconteceu na América Latina, não só a força da cultura nacional, com seus mitos, folclores e tradições populares, mas também as adversidades sociais e políticas do país influenciaram os trabalhos desses artistas a partir de uma investigação estética pertinente.

Para Allan de Lana Frutuoso, curador da exposição, o valor cultural, artístico e histórico do acervo é incalculável por refletir, em alguns momentos, a história do Brasil. “O Brasil sempre teve uma produção potente nessa área, cobrindo parte do modernismo da década de 20, passando pelas vanguardas das décadas de 50 e 60, cobrindo, inclusive, momentos de reclusão da arte em choque com o regime militar”, comenta Lana.

Data de 1945 a obra mais antiga do acervo que faz parte da exposição Metamorfoses – O Papel no Acervo da CAIXA. Trata-se do desenho desenvolvido em nanquim sobre o papel do artista modernista cearense Antônio Bandeira. Mas o curador Allan de Lana explica que alguns desses trabalhos fazem referências a obras dos anos 1920, como é o caso da gravura Estrada de Ferro Central do Brasil, da pintora Tarsila do Amaral. “É a versão em serigrafia de um óleo sobre tela de 1924”, revela.

Entre os trabalhos exibidos, merecem destaques duas gravuras realizadas em serigrafia pelo pintor Di Cavalcanti: Mulata, de 1965, e um registro de 1973, sem título. Obras expressivas de mestres como Tomie Ohtake, Wagner Hermusche e Fayga Ostrower, premiada com suas gravuras na Bienal de Veneza nos anos 1950, também fazem parte da mostra. Para facilitar a compreensão e entendimento por parte dos visitantes, as obras serão expostas com textos auxiliares com informações sobre as técnicas utilizadas pelos artistas. “Nesse sentido a exposição Metamorfoses é bem didática”, observa o curador.



Confira a galeria Exposição – Metamorfoses – O Papel no Acervo da CAIXA

Serviço
Exposição – Metamorfoses – O Papel no Acervo da CAIXA
Local: Galeria Acervo da CAIXA Cultural Brasília
Endereço: SBS, quadra 4, lotes 3/4 - Asa Sul, anexo à matriz da CAIXA
Abertura: Dia 28 de outubro, a partir das 9h
Visitação: De 28 de outubro de 2014 a 11 de janeiro de 2015, de terça-feira a domingo, das 9h às 21h
Ingressos: Entrada franca
Classificação Indicativa: Livre para todos os públicos

fonte: @edisonmariotti @edisonmariotti http://www20.caixa.gov.br/Paginas/Noticias/Noticia/Default.aspx?newsID=1555

Museos, Visitantes y Educación · en CULTURA, INSTITUCIONES, MUSEOGRAFÍA, MUSEOLOGÍA, OPINIÓN. ·


“La tarea del educador no es
talar bosques, sino regar desiertos”.
C.S. Lewis

La semana pasada volvimos a recordar de la mano de un comentario de Claudia, guía de museo para más señas, la importancia que tienen estos profesionales para que el visitante disfrute de una experiencia positiva en el museo. Que importante es que las personas tengamos una experiencia memorable en los museos. No importa edad, condición social, nivel cultural, da igual, todos somos grandes cuando cruzamos el umbral de un museo. 
 
No importa ese motivo o razón concreta para que hayamos tomado la decisión de visitar el museo, lo importante es que ahora estamos allí y es obligación de los profesionales que trabajan de cara al público – guías y personal de apoyo didáctico – que esos visitantes salgan con una buena experiencia del museo. Es de vital importancia para los museos y sobre todo para la sociedad. Y no nos vamos a meter en disquisiciones sobre si aquel visitante va de rebote, o el otro lleva a sus hijos que son unos salvajes, o el de más allá solo va a hacer fotos cuando esté permitido, o ese va al museo porque hay que ir cuando se visita una ciudad nueva, etcétera. Lo importante es que los profesionales de los museos sean profesionales y nos enseñen muchas cosas. Hay ocasiones en las que queremos aprender pero no nos damos cuenta.

 
Imagen: Txell Gràcia

Vamos a resumir aquellos principios que consideramos que son fundamentales en lo relacionado con el personal del museo y la didáctica. La didáctica es lo que une al profesional con el visitante, es ahí donde se establece una relación de complicidad que es muy importante. Allá vamos:

1. Los profesionales deben mostrar entusiasmo en lo que explican y comentan. El bostezo contagia bostezos. Las explicaciones desganadas producirán desgana. Contagiar ilusión en el conocimiento es muy difícil, lo sabemos, pero ese es el objetivo primordial. Lo que explicamos es una única y fascinante verdad que viene acompañada de una experiencia irrepetible.

 
Archivo EVE

2. Los visitantes deben sentirse cómodos en el museo. Un saludo, una sonrisa, una bienvenida, una señal de complicidad pueden bastar. Es muy importante preguntar al visitante que es lo que le ha gustado, si tienen alguna sugerencia o comentario. El visitante no sale con compras como si hubiera ido a un centro comercial; el museo es un servicio puramente didáctico donde las personas deben salir mejor personas que como han entrado, han debido aprender algo nuevo.

3. Los profesionales de los museos deben conocer al detalle aquello que explican. Este es uno de los principios elementales de la didáctica. No podemos enseñar aquello que desconocemos. Debemos saber mucho más de lo que estamos obligados a transmitir. Tampoco podemos ser loros de repetición, esos están en los zoos. No hay nada peor para la experiencia del visitante que el profesional parezca una cinta grabada en bucle.

4. Es muy importante conocer todas las novedades que afectan a la investigación para el conocimiento de los contenidos del museo que vayamos a explicar. Como en muchas otras profesiones, casi todas, estamos obligados a aprender, a documentarnos sobre el nuevo conocimiento en nuestra especialidad incorporando a nuestro discurso todo aquello que pueda ser de interés para el visitante, atendiendo a toda condición. Incluir guiños e incluso humor en la intervención, es muy importante también.

5. Deberíamos entregar a los visitantes un documento resumen de lo comentado. Si se entrega al principio el visitante se distrae y se olvida. Esto forma parte del “ABC” de cualquier presentación profesional en público, se debe cautivar con la palabra y luego se despliegan los materiales de apoyo, normalmente impresos, nunca antes.

 
Imagen:Magoz “Learn from others”

6. La experiencia del museo debe ser un espacio para el diálogo, no un discurso. Los discursos aburren, no retienen la atención de los visitantes. La mejor visita es la que está basada en el diálogo, en la conversación. En el diálogo el profesional del museo puede percibir el interés y el conocimiento del visitante y adaptar la experiencia en función de ese saber.



Imagen: Richard McVicar “Brief quotes to live by”

Estos son principios que pueden funcionar como un guión en el marco de la interpretación de patrimonio y museos. No pretende ser un recetario, sino de unos pautas de trabajo que el sentido común y la experiencia acaban por matizar. También es importante que los visitantes de los museos sepan que deben encontrarse y que no. No entramos en valoraciones sobre si la situación laboral actual de los profesionales de los museos no está para muchas fiestas. Si somos profesionales,lo somos en cualquier circunstancia, el visitante no tiene la culpa de la terrible coyuntura que nos está tocando vivir.

Imagen principal: Ruslan Khasanov



The Museum Europäischer Kulturen is dedicated to the study and presentation of lifeworlds and cultural contacts within Europe from the 18th century to the present day.

The current exhibition "Cultural Contact. Living In Europe" offers a cross-section of the museum’s extensive holdings while addressing contemporary issues such as social movements and national boundaries. The cultural exchange resulting from today’s increased immigration to and mobility within Europe fosters hybrid cultures, but also raises questions of belonging and identity for individuals as well as groups. 



The various objects on display in the exhibition demonstrate the decisive role of cultural intersections in Europe: A 1910 gondola from Venice, for example, can evoke topics as varied as trade, travel, early media, immigration, cultural sitings, and religiosity. Among the exhibition’s more unusual objects is a twelve-metre socalled Christmas Mountain from the Erzgebirge region in Eastern Germany, comprising 328 partially moveable figures that portray the life of Jesus Christ. This unique dramatisation from the 19th/20th centuries is also the result of cultural contacts within Europe.



In addition to the permanent exhibition, the Museum Europäischer Kulturen has a rotating study collection, open to the general public, which displays ensembles of objects from the museum’s extensive collection. The museum regularly organises special exhibitions with accompanying publications to deepen the audience’s appreciation of various topics in the permanent display. The "European Cultural Days", an annual series of events with an exhibition developed in conjunction with European partners, has the same purpose, educating audiences each year about a particular city, region, or country in Europe.







One of the museum’s special attractions is the recurring European Easter and Handicrafts Market, as well as Textile Day, at which textile artists present their works and teach their techniques. Aside from guided tours and holiday courses for children and youth, the museum also regularly offers artist 

workshops for adults.



Another important part of the museum’s external work involves creating exhibitions in conjunction with the Federal Programme of the Stiftung Preußischer Kulturbesitz (Prussian Cultural Heritage Foundation), which are then lent to museums within Germany or neighbouring countries. Additionally, the museum is actively involved in international cultural projects and museum networks.






For more information, please refer to the museum’s Mission Statement [Download PDF]

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.smb.museum/en/museums-and-institutions/museum-europaeischer-kulturen/home.html?tx_smb_pi1[filterMuseum]=20&cHash=47ec7ce4481988c681f94ef3110e88a9