Ouvir o texto...

sexta-feira, 9 de janeiro de 2015

Fuck Yeah Renaissance History


Oxford Dictionary of National Biography podcast: John Blanke, a black trumpeter in Henry VIII’s court


His surname may have originated as a nickname, derived from the word blanc in French or blanco in Spanish, both meaning ‘white’. Blanke was part of a wider trend for European rulers to employ African musicians, dating from at least 1194, when turbaned black trumpeters heralded the entry of the Holy Roman emperor Henry VI into Palermo in Sicily. It has been suggested that Blanke arrived in England with Katherine of Aragon when she came to marry Arthur, prince of Wales, in 1501. Between 1507 and 1512 Blanke was one of eight royal trumpeters under the leadership of Peter de Casa Nova. The first payment to ‘John Blanke, the blacke Trumpet’ was made in early December 1507, when he was paid 20s. (8d. a day) for his services in the previous month

The story of John Blanke is one of over 200 episodes available from the Oxford Dictionary of National Biography’s podcast archive. New episodes are released every second Wednesday.

Image: Black trumpeter at Henry VIII’s tournament. Public domain via Wikimedia Commons.


medievalpoc:


Albrecht Dürer

A Turkish Family

Germany (c.1500)

Woodcut/Print

Harvard Art Museums


renaissancearta turkish familygermanyalbrecht durerhistory
September302014


fyeah-history:


Drawing of the trial of Mary, Queen of Scots, 14–15 October 1586


renaissancemary queen of scotsscotlandenglandhistorydrawingart
12PM


kayeberrie:


“In consequence of her marriage with the Dauphin, Mary ordered a new coinage to be struck at her royal mint in the Canongate, Edinburgh, with her regal cypher united with that of her consort, and surmounted with a crown supported with double crosslets, and the motto “Fecit utraque unum, 1558, R.” with the legend, “Franciscus et Mar. D.G. Scotor. R.R.”

- Agnes Strickland, The Life of Mary Queen of Scots, Volume I

The motto fecit utraque unum is taken from the Latin translation of Ephesians 2:14, which reads ipse est enim pax nostra qui fecit utraque unum:

For he is our peace, who have made both one.




mary queen of scotsscotlandrenaissancefrancehistorycoinage
September292014
“Then let us have our Libertie againe,
And challendge to your selves no Sov’raigntie;
You came not in the world without our paine,
Make that a barre against your crueltie;
Your fault beeing greater, why should you disdaine
Our beeing your equals, free from tyranny?
If one weake woman simply did offend,
This sinne of yours, hath no excuse, nor end.” Aemilia Lanyer, “Eve’s Apology” in “Salve Deus Rex Judaeorum” (via fuckyeahrenaissancewomen)


renaissanceliteratureaemilia lanyersalve deus rex judaeorumpoetryenglandhistory
12PM


renaissance-art:


Bronzino c. 1540

Young Woman and Her Little Boy (detail)

(via renaissance-art)


agnolo bronzinoyoung woman and her little boyarthistoryrenaissanceitaly
September282014


zsofihamori:


Fra Angelico - Annunciation (1434)


fra angelicoannunciationitalyrenaissancearthistory
September202014


medieval-women:


Queen Isabeau of Bavaria’s 1435 funeral cortege on the Seine.

15th century miniature from the chronicle of Martial d’Auvergne.

Wiki


renaissancehistoryartqueen isabeau of bavaria
September152014


lionofchaeronea:


Pygmalion and Galatea, Bronzino (Agnolo di Cosimo), 1529-30

(via antiqueart)


pygmalion and galateaangnolo bronzinoartrenaissancehistoryitaly12PM


Portrait of William Warham, Archbishop of Canterbury

~Hans Holbein, the Younger


1527
Oil on oak
82 x 67 cm

Musée du Louvre , Paris, Ile-de-France, France
(Source: fuckyeahrenaissanceart) fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti

Мемориал украинский - Парана - Бразилия

Мемориал украинский - Парана - Бразилия

В дополнение к большой зеленой зоне Tingüi парка, посетитель попадается, у входа, с порталом и, позднее, копия старой часовни святого Михаила, Сьерра-Тигра, г. Маллет-Pr, с золотым куполом построен из дерева, в византийском стиле, где есть постоянная выставка писанках (ручная роспись яйца), иконы и вышивка. Рядом с часовней находится колокольня, которая символизирует интеграцию в новую землю и важность религии в качестве спонсора культурного единства. В типичной украинской архитектуры работает сувенирный магазин, где они продаются изделия ручной работы.Мемориал имеет этап и гигантский pêssanka, размещено фотографом Хорхе Seratiuk. Фольклора и традиционных фестивалей этнической произойти при поддержке Фонда культуры Куритиба и украинской общины: Благословение пищи (в Великую Субботу), Национальная партия Украины (в августе), Праздник урожая (в октябре) иПраздник Святого Николая (в ноябре).



Memorial Ucraniano

 

Открыт 26 октября 1995 года, в честь столетия со дня прибытия иммигрантов, Мемориал украинской иммиграции, расположенный в Tingüi парка, является данью уважения к вкладу этих людей к культуре государства. Восемь семей украинцев прибыли в Парана в 1891 году, поселившись в колонии в Санта-Барбаре, между пальмами и Понта-Гросса, но он был только в 1895, что большие волны иммигрантов поселились на окраине города Куритиба, а затем в Прудентополис и маршал молотком. Считается, что к 1914 году около 45 000 украинских иммигрантов, которые приехали в Парана.Главный памятник мемориала копия украинской церкви Сан-Мигель, Сьерра-Тигра (г. Маллет), один из старейших в стране.



 Иконы, Pysanky и Rushnek

"Иконы, Pysanky и Rushnek" является постоянная выставка, которая проходит в Мемориале Украины иммиграции.

Адрес:
Rua Dr. Мба Ферранте, S / N, Tingui Park - Tingui

Контактная информация:
(41) 3240-1103
memoriais@fcc.curitiba.pr.gov.br

Часы работы:
С 10 до 18pm (с 3 по воскресенье)


font: @edisonmariotti @edisonmariotti - http://www.fundacaoculturaldecuritiba.com.br/espacos-culturais/memorial-ucraniano/

Le rêve américain du Musée départemental Arles antique




Un partenariat est validé avec la richissime Fondation Getty de Los Angeles


La BNF possède de superbes collections dont pourra profiter le musée bleu. Comme ces deux bronzes issus du trésor de Berthouville (Ier-IIe) : une Coupe aux Centaures () ou encore cette statuette "Mercure tenant le caducée" (). Ces pièces, rénovées grâce à la Villa Getty, pourraient être exposées à Arles. Photo Tahnee Cracchiola- Getty


Le musée départemental Arles antique a déjà signé une convention avec le musée du Louvre, qui a notamment permis le retour de la Vénus d'Arles dans sa ville à l'occasion de l'exposition Rodin, la lumière de l'antique, en 2013. C'est un partenariat du même genre qui devrait être signé avec la Bibliothèque nationale de France (BNF) et son cabinet des monnaies, médailles et antiques. "Ce sont eux qui gèrent les collections des Rois et des grands seigneurs tombés dans le patrimoine national à la Révolution", explique Claude Sintès, directeur du Musée bleu.

Les collections, vous l'aurez compris, sont assez exceptionnelles. Et quelques pièces pourraient bien atterrir à Arles, dans le cadre d'échanges d'expositions et de compétences. Ainsi, le trésor de Berthouville, "128 objets en argent absolument somptueux, trouvés au XIXe siècle par un paysan dans ce qui était un ancien sanctuaire romain", dixit le boss du Musée bleu, pourrait bien être exposé à Arles. "C'est une collection exceptionnelle, jamais vue, ajoute Claude Sintès. C'est vraiment spectaculaire, on a des dizaines de vases en argent avec des décors mythologiques de la plus grande qualité. C'est ce que l'artisanat romain faisait de mieux à l'époque !"

Mais pour voir ce trésor, il faudra vraisemblablement attendre 2017, car il est la pièce maîtresse d'une grande expo autour du luxe romain qui a débuté mi-novembre à la villa Getty, à Los Angeles. Normal que le musée américain ait la priorité : il a financé la restauration de ce fameux trésor en argent.

Arles devrait en avoir l'exclusivité en Europe, avant le retour dans les collections de la BNF, à Paris. D'où les contacts qui se sont noués avec le musée Getty et la Fondation, en plus du partenariat en Algérie (lire ci-dessous). "On récupérera l'expo aux États-Unis, mais dans le futur, le Getty est demandeur pour continuer des échanges, assure Claude Sintès. Si un jour, ils montent une exposition dont le thème pourrait permettre de présenter notre César, on pourrait le leur prêter, alors qu'on l'a refusé à de nombreuses institutions car on ne voulait pas se priver de cette pièce emblématique trop longtemps, mais étant donné nos relations avec le Getty... Et bien sûr, pourquoi pas un prêt dans l'autre sens, d'oeuvres emblématiques du musée Getty, ou d'expositions toutes faites. Tout ça est en gestation. Dans l'avenir, les liens pourront être intensifiés. César, on ne peut pas le prêter partout, mais pour des retours de pièces extraordinaires et mondialement connues en provenance des États-Unis, ça vaut le coup de s'en priver quelques mois. Au Getty, ils ont des bronzes dignes du musée d'Athènes !" Le rêve américain est en route pour le musée départemental Arles antique. Et il semble avoir toutes les chances de se concrétiser dans les mois ou les années à venir.
Un atelier de restauration installé par le Musée bleu

Le Getty Center, en plus de collections impressionnantes (Les Iris de Van Gogh peints au monastère de Saint-Paul-de-Mausole de Saint-Rémy, par exemple), dispose d'un atelier de restauration et de préservation du patrimoine pour travailler sur les collections qui lui appartiennent, ou pas. "C'est là qu'on trouve le fil avec Arles", explique Claude Sintès, directeur du Musée bleu, dont l'atelier de restauration et de conservation des mosaïques est très réputé.

À tel point que les Américains, financeurs du projet, ont sollicité le musée arlésien pour mettre en place avec les Algériens un laboratoire de restauration de mosaïques à Tipaza. "Il s'agit en quelque sorte de dupliquer notre atelier en Algérie, en formant le personnel à toutes les techniques, pour avoir in fine un atelier autonome, explique Claude Sintès. Nous sommes en quelque sorte des prestataires de service pour Getty. Pourquoi nous ? Parce qu'ils connaissent la qualité de notre travail et parce qu'ils souhaitaient faire intervenir des francophones pour faciliter les choses. Il y a eu quelques difficultés pour mettre tout ça en place, mais le voyage de Jean-Noël Guérini à Los Angeles, en novembre, a permis d'acter les principes de ce partenariat. Tout devrait démarrer au début de cette année 2015." Et pour le patron du Musée bleu, tout le monde est gagnant : "Faire un labo là-bas, c'est plus malin, dans l'esprit, on pourrait presque parler de transfert technologique."


C'est l'histoire d'un milliardaire américain, Jean Paul Getty, collectionneur forcené. Qui a amassé durant sa vie des oeuvres d'art "qu'on ne pourrait plus faire sortir des pays aujourd'hui, des choses tout à fait extraordinaires", souligne Claude Sintès, le directeur du musée départemental Arles antique. Dans les années 70, la villa Getty est bâtie à Los Angeles, sur le modèle de la villa des Papyrus à Herculanum (mais en bien plus grand) pour accueillir les pièces de la collection antique du richissime homme d'affaires. À sa mort, en 1976, la Fondation Getty devient indépendante et, pour son financement, encaisse les royalties des avoirs pétroliers du milliardaire. La somme est colossale, ce qui permet une acquisition d'oeuvres ambitieuse, puis la construction, en 1997 et toujours à Los Angeles, du Getty Center, pour les pièces du Moyen Âge jusqu'à la période contemporaine. Troisième entité, la Fondation Getty, qui offre des dotations spéciales pour des actions de préservation du patrimoine dans le monde.
 
fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.laprovence.com/article/edition-arles/3207769/le-reve-americain-du-musee-departemental-arles-antique.html

Morlanwelz: le Musée Royal de Mariemont est prêt pour le public en 2015

Mariemont est un musée de haut niveau avec de prestigieuses collections concernant l'Egypte, la Chine ou des livres précieux. C’est aussi un lieu magnifique en lisière de Morlanwelz avec un parc ouvert au public qui vaut, presque à lui tout seul, le déplacement.

Marie-Cécile Bruwier est la directrice du musée et ne tarit pas d’éloges pour le site de Mariemont en commençant par son parc : " C’est un domaine de 45 hectares et un des plus beaux arboretums de Wallonie avec plus de 2 000 essences différentes : des arbres très anciens comme un cèdre du Liban qui a près de 200 ans. Il y a aussi des œuvres d’art comme un exemplaire des Bourgeois de Calais d’Auguste Rodin et des œuvres de Victor Rousseau, un sculpteur local. Nous avons aussi une statue japonaise d’un bouddha qui est une copie d’un bouddha nippon ancien. Nous avons aussi des ruines d’un château du 18e siècle, ce qui est assez particulier en Hainaut et en Wallonie. "

En ce qui concerne le musée en lui-même, Marie-Cécile Bruwier est encore plus convaincante : " Les collections sont multiples et variées : l’histoire de la Chine et les collections chinoises sont particulièrement bien représentées, nous avons des collections d’Extrême Orient, du bassin méditerranéen (Egypte, Grèce, Rome) et puis, aussi, une collection remarquable de porcelaine de Tournai. A cela, il faut ajouter des pièces d’archéologie régionale depuis la préhistoire jusqu’à l’époque mérovingienne en Hainaut. Enfin, nous possédons aussi des livres précieux et une bibliothèque. "

Parmi les collections du musée, il en est qu'il a fallu numériser pour pouvoir les montrer tant elles sont fragiles. Pour la directrice, c’est clair : " La numérisation des collections est très importante : c’est une mission fondamentale. Mais il y a aussi un aspect auquel on ne pense pas : nous avons près de 15 000 livres précieux et quelque 6 000 autographes dont ceux de Mozart, de Napoléon, de Champollion. Ce sont des documents qui ne peuvent pas être exposés en permanence parce que les matériaux organiques s’abîment très fort au contact de la lumière. Tout ceci a été numérisé et le public y a ainsi accès. Voilà pourquoi la numérisation est importante dans cette perspective-là puisque un musée est un musée si les pièces sont exposées. "

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.rtbf.be/info/regions/detail_morlanwelz-le-musee-royal-de-mariemont-est-pret-pour-le-public-en-2015?id=8729047

Inscrições para concurso de desenho e textos vão até 31 de março


Prorrogação da data
Objetivo do concurso é estimular pesquisa, produção intelectual e artística e despertar interesse de estudantes e professores



Divulgação/MEC
 

Participantes vão abordar temas como o sentimento nacional de Ary Barroso, o legado de Dorival Caymmi e uma visita de Ayrton Senna ao Museu da Imprensa


O prazo de inscrições do 17º Concurso Nacional Museu da Imprensa de Desenho, Redação e Artigo foi prorrogado para 31 de março próximo.

Reconhecidos dentro e fora do País, os compositores Dorival Caymmi [1914-2008] e Ary Barroso [1903-1964] e o piloto Ayrton Senna [1960-1994], tricampeão mundial de Fórmula 1, são os temas desta edição do concurso, promovido pela Imprensa Nacional.

O prêmio é um depósito em caderneta de poupança para o estudante e seu professor. No total, serão distribuídos R$ 30 mil.

O concurso é dirigido a estudantes de todas as etapas da educação básica e de graduação, pública e particular. Estimular a pesquisa, a produção intelectual e artística, despertar o interesse de estudantes e professores pela visita a museus e instituições históricas estão entre os objetivos do concurso.

Diferente da maior parte dos concursos, o da Imprensa Nacional terá a categoria desenho para crianças do primeiro ao quinto ano do ensino fundamental. Os alunos devem fazer um desenho tendo como tema Ayrton Senna Visita o Museu da Imprensa.

O prêmio será o depósito em caderneta de poupança de R$ 1,8 mil para o primeiro colocado, R$ 1,2 mil para o segundo e R$ 850 para o terceiro.

O Legado do Compositor e Cantor Baiano Dorival Caymmi é o tema da redação para alunos do sexto ao nono ano do ensino fundamental. Os vencedores receberão R$ 2,1 mil (primeiro lugar), R$ 1,3 mil (segundo) e R$ 950 (terceiro), depositados em conta poupança do estudante.

Para os três anos do ensino médio, o tema da redação é O Sentimento Nacional de Ary Barroso, compositor destacado da música popular brasileira. O primeiro colocado receberá R$ 2,8 mil; o segundo, R$ 1,7 mil; o terceiro, R$ 1 mil, também em depósitos de poupança.

Universitários de qualquer área da graduação concorrerão com um artigo sobre a importância dos museus na formação cultural do País. Nesta categoria, o prêmio será de R$ 6 mil para o primeiro colocado e de R$ 4 mil para o segundo.

Como incentivo, o professor de cada aluno premiado, exceto na categoria artigo, será contemplado com depósito de R$ 700 em caderneta de poupança.

A data de entrega dos prêmios será marcada pela Imprensa Nacional. Mais informações sobre o concurso e a ficha de inscrição estão disponíveis na página da Imprensa Nacional na internet.

Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti Ministério da Educação

Receita notificará Ibram sobre bens culturais abandonados

A guarda e a administração de itens abandonados ou apreendidos poderão ser concedidas a museus federais, estaduais ou municipais.



A Secretaria da Receita Federal do Brasil (RFB) deverá notificar o Instituto Brasileiro de Museus (Ibram) sobre a disponibilidade de mercadoria abandonada, entregue à Fazenda Nacional ou objeto de pena de perdimento, quando houver indícios de que se trate de bem de valor cultural, artístico ou histórico.

Os procedimentos a serem adotados nestes casos foram dispostos em Portaria Interministerial, dos ministérios da Fazenda e da Cultura, publicada no Diário Oficial da União (DOU) no dia 19 dezembro.

Segundo a portaria, a RFB notificará o instituto sobre a existência do bem, permitindo o acesso de técnicos para fins de vistoria.

O Ibram deverá se manifestar quanto ao interesse na incorporação do bem no prazo de 45 dias, contados da data da notificação, prorrogável uma única vez por igual período.

A ausência de manifestação do Ibram no prazo de 45 dias ou, caso solicitada a prorrogação, configura-se desinteresse na destinação do bem, liberando a mercadoria para outra destinação.

As informações relativas às mercadorias objeto de notificação ficarão restritas aos envolvidos nos procedimentos de que trata a portaria, até a sua retirada do depósito. Confira o documento na íntegra.

Lei anterior

Em 2013, a presidenta Dilma Rousseff sancionou a Lei nº 12.840, que dispõe sobre a destinação de bens de valor cultural, artístico ou histórico apreendidos pela Receita Federal, cedidos à União como pagamento de dívidas ou que tenham sido abandonados, aos museus brasileiros.

A guarda e a administração de bens deste tipo poderão ser concedidas a museus federais, estaduais ou municipais – tendo as instituições museológicas federais preferência. O Conselho Consultivo do Patrimônio Museológico do Ibram será ouvido previamente sobre a conveniência de se destinar determinado bem a museus. Saiba mais.


Obras no MNBA

Em 2012, o Museu da Abolição, que integra a rede de museus Ibram em Recife (PE), recebeu pela primeira vez uma obra de arte apreendida pela Receita Federal em aeroporto de São Paulo: a escultura Samburu Dance I, da artista holandesa Marianne Houtkamp.

Outro resultado da parceria entre a Receita Federal e o Ibram poderá ser conferido gratuitamente pelo público a partir do dia 13, no Museu Nacional de Belas Artes/Ibram, no Rio, quando o museu vai receber oficialmente 20 obras apreendidas e que serão exibidas temporariamente na exposição Apreensões e Objetos do desejo: obras doadas pela Receita Federal ao MNBA.

O museu estava como fiel depositário das obras desde sua apreensão, em abril do ano passado, com o objetivo de mantê-las preservadas até o encerramento legal do processo de perdimento. O lote traz obras de artistas nacionais, como Beatriz Milhazes e Cildo Meireles, e estrangeiros, como Anish Kapoor e Antony Gormley.

Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti Instituto Brasileiro de Museus
 

Museos en Laos

Una vez hecha la pausa temática de la semana pasada, volvemos a nuestros recorrido mundial de país en país, de museo en museo. Hoy nos toca cruzar la frontera de Vietnam para llegar hasta Laos.

Laos finalmente ha minado la influencia marxista, se ha teñido de colores naturales y ha abierto los brazos al resto del mundo. Este es un país que rezuma autenticidad: arrozales esplendorosos, formaciones kársticas, monjes con túnicas de color azafrán, mansiones indochinas y una rica población étnica. En cuanto a alojamiento económico y aventura organizada, Laos ofrece innumerables opciones: senderismo en selvas perdidas, paseos en elefante, vertiginosas tirolinas, travesías en barca por ríos subterráneos o estancias en casas de diversos grupos étnicos. Cuando el cuerpo pida un respiro, siempre quedará la mítica Luang Prabang, con su elegancia indochina, módicos spas y una gastronomía increíblemente variada. Dentro de poco, un tren de alta velocidad (en construcción) conectará Beijing y Kunming con Vientián y Luang Prabang, respectivamente, quién sabe si para cambiar el país para siempre, así que ahora es el momento de visitarlo, y sobre todo sus museos.

Laos, oficialmente República Democrática Popular Lao, es un país sin salida al mar del sureste asiático. Limita con Birmania al noroeste; con China al norte; con Vietnam al este; con Camboya al sur y con Tailandia al oeste. El territorio actual de Laos perteneció al reino de Lan Xang (Tierra del millón de elefantes) entre los siglos XIV y XVIII. Tras el periodo colonial, en el que el país fue una colonia francesa, consiguió la independencia en 1949, a la que le siguió una guerra civil que culminó en 1975 con el ascenso al poder de los comunistas del Pathet Lao. La presencia de empresas privadas se ha incrementado desde mediados de los años 80. Laos está calificado como uno de los países con menor grado de libertad económica4 (ver al respecto economía de Laos). Pese a ello, la economía del país creció un 7,2% en 2006, el 35º país con un mayor crecimiento en el mundo. Un 80% de la población se dedica a la agricultura de subsistencia. El país tiene una gran variedad étnica, pero el 70% pertenece a la etnia lao. El término lao también es usado para referirse a la lengua dominante y oficial del país; también se habla francés.

Vamos con nuestros museos en un recorrido que hoy va a ser cortito, pero es lo que hay...

1. Museo Nacional de Laos (sin website) / Vientián



Desgraciadamente, este encantador edificio francés de la época colonial, flanqueado por los cerezos en flor y de magnolias, va a ser derribado y trasladado a las instalaciones nuevas. Si queréis aun tenéis tiempo para ver el original, pero no mucho. Anteriormente era conocido como el Museo Revolucionario Lao, una gran parte de su colección conserva unos visos revolucionarios inquebrantable. La planta baja está dedicada a la cultura Khmer en el sur, con exposición de herramientas y estatuas de Buda ; en la parte superior tiene pantallas de buen tamaño que cuentan la historia del Pathet Lao, con otra exposición salpicada de bustos de Lenin y Ho Chi Minh.

2. Museo Provincial Champasak (sin website) / Pakse



El Museo Provincial de la Herencia Histórica de Champasak es un museo local situado en la villa de Pakse. Mantiene la historia única de la provincia, con la exposición de todo tipo de objetos, artefactos y documentos de la crónica histórica de Champasak. El museo también tiene fotos históricas sobre eventos culturales de la comarca, reuniones de colonos extranjeros y fotos de Kaysone Phomvihane, Nouhak Phoumsavan y Khamtay Siphandone, todas tomadas en la zona sur de la comarca. Hay una muestra de instrumentos musicales, estelas con inscripciones Tham que datan del siglo XV al XVIII, una jarra de agua del siglo XI y cerámicadel siglo XII de toda la provincia, además de unas muestras cerámicas de Wat Phu. En el nivel superior, se muestra diferente ropa étnica, junto con colecciones de textiles y joyería.

3. Museo Templo Haw Phra Kaew (sin website) / Vientián



El Templo (museo) Haw Phra Kaew fue construido entre 1565 y 1556, por orden del rey Setthathirath. El templo albergaba la estatua del Buda de Esmeralda, que Setthathirath había traído de Chiang Mai, la capital de Lanna, en la comarca de Luang Prabang. Cuando la capital Vientiane, fue capturada por el ejército Siam (actual Tailandia) en 1778, la estatuilla se trasladó a Thonburi y el templo fue destruido. Después de que fue reconstruido por el rey Annouvong de Vientiane en el siglo XIX, fue destruido de nuevo por las fuerzas siameses cuando el rey Annouvong se rebeló contra Siam en un intento de recuperar la plena independencia. El Buda venerado ahora reside en Wat Phra Kaew, Bangkok. El templo fue reconstruido por tercera vez por los franceses entre 1936 y 1942, durante la colonización de la Indochina francesa.

4. Museo Provincial Luang Namtha (sin website) / Luang Namtha



El museo Namtha, también denominado Museo Provincial de Louang Namtha, se encuentra en Luang Namtha, como era de esperar. La instalación es en gran parte un museo antropológico, contiene numerosos objetos relacionados con la población local, como es la ropa étnica, tambores, bronces Khamu, textiles, cerámica, herramientas, utensilios domésticos, armas hechas a mano, y artículos relacionados con el budismo. También hay una serie de imágenes de Buda y la pantalla habitual con la crónica de la Revolución. No podemos decir nada más, es minúsculo.

5. Museo Palacio Real de Luang Prabang (sin website) / Luang Prabang



El Palacio Real fue construido en 1904 durante la época colonial francesa para el rey Sisavang Vong y su familia. El lugar para el palacio fue elegido para que los visitantes oficiales a Luang Prabang pudieran desembarcar desde el río directamente debajo del palacio para ser recibidos allí. Después de la muerte del rey Sisavang Vong, el príncipe heredero Savang Vatthana y su familia fueron los últimos en ocupar el palacio. En 1975, la monarquía fue derrocada por los comunistas y la familia real fue deportada a campos de reeducación. Poco tiempo después, el palacio fue convertido en un museo nacional. Los jardines contienen una serie de otros edificios, incluyendo una nueva sala de exposiciones y una capilla (Haw Prabang), y una estatua del rey Sisavangvong. Se pueden tomar excelentes fotos del paisaje siguiendo el camino del Monte Phousi que desciende hacia Thanon Sisavangvong.

Y desgraciadamente no hay más. Un país sin cultura museística apenas, pero tienen 5 instalaciones, países como Guinea Ecuatorial no tienen ninguno, siendo uno de los países más ricos de África. Por comparación tener cinco museos es todo un patrimonio para la nación.

La semana que viene continuaremos ruta hasta Myanmar, aunque ya avisamos que puede que nos ocurra lo mismo que con el país que abandonamos, poquitos museos que visitar en tierras fantásticas de ver, eso sí. Hasta entonces, os deseamos una semana muy feliz.

BIBLIOGRAFÍA:

VV.AA.
Canciones y nanas de los arrozales (Libro y CD)
Editorial Kokinos, 2009.
Resumen del libro: 29 nanas y canciones infantiles de Asia: Camboya, China, Corea, Japón, Laos, Tailandia, Vietnam, reunidas por primera vez en un disco-libro. Recogidas por Chantal Grosléziat, estas canciones delicadas, tiernas y alegres cautivan por su variedad y riqueza. Juegos de dedos, nanas, cantos de fiesta, testimonios de culturas sorprendentemente vivas. Todas las letras de las canciones se presentan en lengua original, transcritas a caracteres latinos y traducidas al español. Y en el anexo, una cumplida información sobre los orígenes, juegos gestuales e instrumentos musicales de cada canción infantil. En el CD, los arreglos de Jean-Christophe Hoarao dan protagonismo a instrumentos como pipas, kotos, khénes, khongs, yankins, erhus, shamisenes, flautas shakuhasi y otros instrumentos tradicionales de Asia. Junto a Mieko Miyazaki, Wang Weiping, Hao-Nhien Phan, Sanaé Rodière, Kim-Chin Nguyen, hay una veintena de músicos y cantores, plenos de emoción y sensibilidad.

MAM, S.
El silencio de la inocencia
Editorial Destino, 2006.
Resumen del libro: En Camboya, algunos padres venden a sus hijos a la edad de cinco o seis años por unos cientos de euros. En los burdeles, las jovencitas se prostituyen por quinientos rieles (quince céntimos de euro), una suma de dinero que va a parar íntegramente a las manos de los proxenetas o de la mama-san de turno, la madame. Somaly Mam, de treinta y cuatro años de edad nos ofrece un testimonio acerca de las torturas en los prostíbulos y cuenta con emoción el destino trágico de esas niñas.Para luchar contra este trafico humano, Somaly Mam, junto con su marido Pierre Legrós, creo en 1997 en Camboya la asociación Afesip (actuar en beneficio de las mujeres en situación de precariedad), una ONG con vocación internacional que se ha extendido en Tailandia, Vietnam y Laos y que tiene por objetivos el rescate y la reinserción social de las mujeres condenadas a la esclavitud sexual.
OWEN, S.
La cocina asiática clásica (Recomendación especial para Alacarta Menús)
Editor Javier Vergara, S.A., 1998.
Resumen del libro: Mas de 120 recetas deliciosas de Tailandia, India, China, Japón, Indonesia, Malasia, Vietnam, Sri Lanka, Birmania, Laos, Camboya, Filipinas, Corea y Singapur.Escrito por una experta en cocina asiática.
Foto principal y redes sociales:  Neil Herbert fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti