Ouvir o texto...

segunda-feira, 1 de junho de 2015

Cultura e cozinha brasileira: - Manaus com arte e culinária - Chef Henrique Fogaça

Perfil da chef Henrique Fogaça

No começo da carreira, Henrique ia de madrugada ao Ceasa comprar novos ingredientes e passava a noite toda misturando, experimentando e testando suas descobertas. Após anos de estudos e feedback dos clientes, o Chef oferece hoje pratos autorais com muita personalidade, elaborados com ingredientes de qualidade. 

Prêmio Paladar de melhor carne de porco da cidade, o prato é destaque no cardápio, uma vez que as carnes são sua especialidade. Ir até o Sal é garantia de encontrar um prato com elementos que se complementam tanto nas cores, sabores, cheiros e texturas, e a certeza que tudo foi elaborado sob um padrão, um olhar preciso e muito cuidado. 

E já que o Chef defende que comida não pode ser considerada artigo de luxo, a experiência é completa e a um preço acessível. Atenção especial às variedades de sobremesa. Ir até lá e não pedir o prato final é quase um sacrilégio.



Feira “O Mercado”, que ocorre pela primeira
vez na Região Norte do País (Foto: Intercom/Divulgação)


'Passo a Paço' começa em Manaus com arte e culinária a preço popular.
Evento conta com presença de chefs renomados como Henrique Fogaça.
Feira ocorre no Paço da Liberdade, Centro, Manaus, Brasil


"Passo a Paço", que reúne apresentações de música, teatro, além da feira nacional gastronômica "O Mercado", começou neste sábado (30) no Paço da Liberdade, Centro de Manaus. O evento conta com a presença de renomados chefs, entre eles Henrique Fogaça. Na capital, Fogaça destacou os sabores exóticos da região. Checo Gonzales também deve participar da feira.

De acordo com o diretor-presidente da Manauscult, a ideia do evento é promover a revitalização do Centro da cidade.

"Queremos fomentar o uso desse espaço para que as pessoas possam conhecer o Paço da Liberdade, um monumento histórico que conta a história do executivo municipal. Esse espaço respira cultura e tem tudo para ser o grande espaço da gastronomia em Manaus", contou.

Ao todo, o "Passo a Paço" deve reunir seis apresentações musicais durante os dois dias. Na abertura neste sábado, o cantor Nicolas Jr, animou o público ao som de músicas regionais.

Ao todo, 36 chefs de Manaus oferecem seus pratos nos stands por preços populares. 

O chef Henrique Fogaça, um dos sócios na feira "O Mercado", prestigiou os chefs da capital e afirmou que pretende trazer o evento a Manaus outras vezes.

"Esse evento é importante para a população ter acesso a uma comida mais diferenciada de chefs de cozinha, com preço acessível e unir ao entretenimento trazendo música, família. A ideia é essa!" afirmou ao G1. 

--
Público aproveitou para degustar pratos vendidos a preços populares (Foto: Intercom/Divulgação)



Chet Henrique Fogaça durante o evento em Manaus (Foto: Intercom/Divulgação)


Fogaça revelou também o gosto pela culinária amazonense. "Aqui tem uma comida bem diferenciada, a comida da Amazônia, com ingredientes muito bons, diferenciados, e com uma cozinha muito única com tambaqui, pirarucu, tucupi, jambu, que são ingredientes muito bons e que eu gosto muito", disse.

E não foi apenas comida que a feira ofereceu ao público. William Lauschner, proprietário do Porão do Alemão, apresentou drinks vendidos no tradicional bar de Manaus. Ele também lançou bebidas características do bar de Rock.

Evento terá ao menos seis atrações musicais (Foto: Indiara Bessa/ G1 AM)

"Eu acho a ideia do evento fantástica. Trazer todos esses chefs é um incentivo para revitalizar o Centro com turismo, com boa comida, com boa bebida, com essa integração de todo mundo", afirmou.

Nem mesmo com a chuva, o público deixou de prestigiar o evento. A psicóloga Bete Bonfim, de 52 anos, e filho Guilherme Bonfim, 25, aproveitaram para degustar as iguarias expostas na feira.

"Não conhecia esse espaço depois da reforma e achei que hoje seria uma boa oportunidade para conhecer. Nós visitamos todas as feiras gastronômicas que acontecem em Manaus. Ele [Guilherme] gosta de cozinhar, e é uma oportunidade de apreciar boa comida", afirmou a psicóloga.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 
colaboração: 

Luciana Nobre


http://g1.globo.com/am/amazonas/noticia/2015/05/passo-paco-comeca-em-manaus-com-arte-e-culinaria-preco-popular.html

Dead Man's Corner Museum. L'extension du musée de Saint-Côme se précise

L’extension du musée D-Day Experience qui ouvre le 4 juin retrace la vie d’un parachutiste du Jour-J. Avec en prime un vol dans un simulateur unique.

Une superproduction muséale de 2 000 m2, baptisée D-Day Experience, dans un bâtiment de 11 mètres de haut. C'est ce que propose l'extension du Centre historique des parachutistes du Jour-J, qui ouvre le 4 juin.

Elle raconte, à travers un circuit scénarisé, le parcours du colonel Wolverton, décédé dans la nuit du 5 au 6 juin 1944.
Un simulateur géant

Objets réels, hologramme… deux espaces muséaux retracent l’histoire de ce parachutiste américain. Un simulateur géant permettra de revivre comme si vous y étiez le crash d’un avion en plein Débarquement.

Ce simulateur est la carlingue d’un véritable bimoteur de la Seconde Guerre mondiale, utilisée par le réalisateur Steven Spielberg dans la série Band of Brothers (Frères d’armes).

Des vérins sont chargés de reproduire les mouvements de l’avion en vol, dont une chute à 1,2 G, avec des effets sonores et visuels réalistes.

Jeudi 4 juin, ouverture de l'extension D-Day Experience, au Centre historique des parachutistes du Jour-J. 


La carlingue du C-47 déjà impressionnante lors de son arrivée au musée de Saint-Côme-du-Mont, le 4 mars. | Archive Jérôme FOUQUET.

Video

--
Historie
En Normandie, le 6 juin 1944, l’objectif des opérations aéroportées des 82e et 101e divisions américaines est d'appuyer le débarquement à Utah Beach. Ils ont pour mission de couper le sud du Cotentin, en assurant les arrières de plage et les voies de communications à Carentan, et en prenant Sainte-Mère-Eglise.

La 101e Airborne est la première division américaine à débarquer en Normandie. Pour ces hommes c'est la première mission de combat. Ils doivent s'emparer des accès à la plage et du noeud de communication que constitue Carentan. Leur parachutage ne peut s'effectuer que de nuit étant donné qu'il doit précéder le débarquement sur la plage qui doit impérativement, pour cause de marée, se dérouler au petit matin. La visibilité réduite fait que tous les parachutistes ne se retrouvent pas sur la zone sélectionnée. Malgré l'utilisation du cricket, un gadget sonore utilisé pour s'identifier et se rassembler dans la nuit noire, les parachutistes dispersés dans la campagne normande ne parviennent qu'à se rassembler par petits groupes. Cette dispersion contribue à semer la confusion parmi les forces allemandes.

Conjointement à la sécurisation de la plage d'Utah, Carentan doit être prise au plus vite. Il est primordial pour les Américains de verrouiller cet accès principal et relier les plages américaines en un seul front.

Trois bataillons de la 101e Airborne, plus de 2 000 hommes, ont pour objectif de prendre le contrôle de Carentan. Pour ce faire, ils sautent sur la zone de saut "D" Saint-Côme-du-Mont (Beaumont). Ils ont pour mission de s’emparer des ponts et des écluses situés autour de Carentan. Pour un de ces trois bataillons sous le commandement du Lt. Col. Wolverton, le parachutage est un carnage et les Américains surnommeront cette zone de saut, la
"Drop Zone Maudite". De tous les bataillons engagés le 6 juin 1944, ce bataillon subira le plus grand nombre de pertes. Parmi ces hommes se trouve le peloton le plus légendaire de toute l’Armée des Etats-Unis, les célèbres “13 salopards”.


La jonction entre les troupes d'infanterie de la 4e division débarquées à Utah Beach et la 101e division aéroportée s'est opérée en début d'après-midi. Pour les premières vagues d'assaut, les efforts du Général Eisenhower pour parachuter ses divisions d'élite sur l'arrière-pays sont une bénédiction. Sans eux, rien n'aurait empêché les 6 500 parachutistes allemands du Baron Friedrich von der Heydte de rejeter les troupes débarquées à la mer. Mais rien n'est encore gagné, ceux-ci se sont repliés sur Saint-Côme-du-Mont dans l'attente de l'arrivée d'une division de Panzer Grenadier.

Cependant, les Alliés renforcent leur front plus rapidement que les Allemands. En début d'après-midi, une deuxième vague d'assaut apporte les renforts de la 101e Airborne. C'est un régiment de "Glider", des hommes de la 101e qui avaient été entraînés pour arriver en planeur ; ils arriveront cependant par mer et débarqueront à Utah Beach.

Les têtes de pont des plages de débarquement de Gold et Juno, en secteur britannique, ont réalisé leur jonction. Cependant, la jonction des deux plages de débarquement américaines présente un caractère critique suite aux difficultés rencontrées dans le secteur d'Omaha Beach et de Carentan. Contrairement aux prévisions, aucun des progrès rapides n'est réalisé.

Dans les états-majors allemands, l'annonce du débarquement en Normandie est une surprise. Sur le terrain, l’enjeu est de taille, pour les Allemands il faut absolument isoler les deux têtes de pont constituées par les Américains à Utah et Omaha Beach pour conserver une chance de rejeter les Alliés à la mer. Pour le haut commandement américain, l'anxiété est à son comble : il faut très rapidement unir ces têtes de pont en un seul front.
Pour le Général Eisenhower, Carentan, à la charnière des départements du Calvados et de la Manche, noeud de communication routier et ferroviaire entre les deux plages de débarquement américaines, devient très vite sa préoccupation principale. Conscient du danger de cette situation, il ordonne un effort concentré des troupes débarquées à Omaha et de la 101e Airborne pour s’en emparer afin de combler l’espace séparant les deux plages.

L'ennemi conscient de l’enjeu que représente le contrôle de la ville, y a envoyé dès le matin du 6, la seule unité d’élite disponible dans le secteur, les 6 500 redoutables parachutistes du 6e Rgt. du Major von der Heydte qui seront renforcés par les 12 000 hommes de la 17e Division Panzer SS.

Rommel a reçu l’ordre personnel d’Hitler de tenir la ville jusqu’au dernier et la résistance opiniâtre que les parachutistes du 6e Régiment ont assurée 6 jours durant à Carentan provoqua l’admiration du général Von Choltitz qui forgea alors l’expression : les Lions de Carentan.

L’attaque atteint son apogée quand, depuis Saint-Côme-du-Mont, le Lt. Colonel Cole emmène une charge à la baïonnette face aux mitrailleuses allemandes. Pour cet acte de bravoure à Carentan, ce Colonel recevra la plus haute distinction honorifique américaine, la Médaille d'Honneur.

Pendant ce temps, les plages sont reliées entre elles. Les plages britanniques sont reliées avec Omaha le 8 juin et enfin avec Utah le 12, grâce à la prise de Carentan.

La phase de la tête de pont s'achève avec la liaison continue des cinq plages. Débute alors la Bataille de Normandie, qui durera près de trois mois.

Museu de Erico Verissimo é tema de documentário em Cruz Alta, Rio Grande do Sul, Brasil.

A vida e a obra do cruz-altense Erico Verissimo e as relações com a casa onde nasceu e sua terra serão tema de documentário gravado no museu que leva o nome do escritor. As filmagens fazem parte de uma série de documentários produzida pelo Programa Conhecendo Museus da TV Brasil e TV Escola. O local foi escolhido pelo Portal do Instituto Brasileiro de Museus — Ibram, pois a terceira temporada tem autores como tema.

Segundo o diretor do museu, Josué Rodrigues, o roteiro inclui imagens e informações desde a importância arquitetônica da casa até os hábitos da época. “Além, é claro, da riqueza cultural de Erico, sua vida, sua trajetória, aspectos do município, obras e os costumes do povo gaúcho”, disse Rodrigues.

Conforme o diretor de cena, Amauri Mauro, a obra audiovisual “Conhecendo Museus” apresenta, com detalhes, os principais museus do Brasil. O documentário é uma realização do Ministério da Cultura, com participação do Ibram e do Instituto Paiva Netto. Depois da apresentação nos canais públicos, o material será disponibilizado a outros meios de comunicação.

fonte: @edisonmariotti edisonmariotti
http://www.correiodopovo.com.br/Noticias/557762/Museu-de-Erico-Verissimo-e-tema-de-documentario

Filme foi gravado na casa onde o escritor nasceu em Cruz Alta | Foto: Yoste Mastella Pereira / Divulgação / CP


Museu Erico Verissimo com monitora e divulgadora da memória da vida do autor, que muito nos representou aqui e no exterior com suas crônicas, histórias, literatura brasileira, Cruz Alta, Rio Grande do Sul, Brasil.


Museu Erico Verissimo-Histórico
O prédio que abriga o Museu Erico Verissimo foi construído em 1883. Cerca de uma década depois de sua construção, o avô de Erico, Franklin Verissimo, comprou a casa, que ficou em mãos da família até 1930, quando foi a leilão. 

Em 1968, a Prefeitura Municipal de Cruz Alta comprou o prédio com o objetivo de criar o Museu. A instituição foi inaugurada em 19 de janeiro de 1969, e funcionou como Museu Municipal até 1985. Em 1986, passou a funcionar também, a Fundação Erico Verissimo. 

Em 1984 foi tombado pelo IPHAE ( Instituto do Patrimônio Histórico e Artístico do Estado. O Museu Erico Verissimo é administrado pela Prefeitura Municipal de Cruz Alta, através da Secretaria Municipal de Cultura. 

O Museu tem caráter biográfico, conta com acervo de algumas peças utilizadas pelo escritor e doadas pessoalmente por ele ao Museu, conta ainda com a 1ª Continental adquirida pelo Escritor, e manuscritos originais de sua obra, além de poder fazer uma viagem histórica através das fotografias familiares.

Kröller-Müller: le musée qui allie Van Gogh et vélo

Le musée Kröller-Müller est l'un des plus beaux musées d'Europe. Il a en plus le bon goût de se nicher au coeur d'une superbe réserve naturelle aux Pays-Bas. Que dire de plus, si ce n'est que cela vaut assurément une petite visite.

Le jardin des statues du Kröller-Müller © ML




Muriel Lefevre





© EPA


Voici une excursion de choix pour une escapade d'un week-end. Souvent ignorés, les Pays-Bas regorgent de trésors méconnus des Belges. Parmi les pépites, on retrouve sans aucun doute le musée Kröller-Müller. Ce musée érigé en 1938 est tout simplement l'un des plus beaux d'Europe. L'écrin, oeuvre du Belge Henri Van de Velde, est à la hauteur de la fabuleuse collection glanée au fil des ans par le couple Kröller-Müller. Ces richissimes industriels ont acquis 11.500 pièces entre 1907 et 1922. Ce qui en fait l'une des plus riches collections privées au monde. Parmi les oeuvres on retrouve des Renoir, Monet, Cézanne, Seurat, Picasso, Mondrian ou encore des symbolistes belges. Mais le coeur de la collection est sans aucun doute les 90 tableaux de premier ordre et 180 dessins de Vincent Van Gogh. C'est tout simplement la deuxième plus importante collection de cet artiste après le musée d'Amsterdam. Pour ceux qui ont déjà visité le musée, sachez que pour les 125 ans de la mort de Van Gogh, l'accrochage des principales oeuvres vient d'être repensé.

Niché au coeur des landes


Si la visite du musée et de son parc de 160 statues d'envergure internationale avec des Rodin, Maillol, Dubuffet ou Permeke, pouvait à elle seule valoir le détour, la magie du lieu doit beaucoup à ce qui l'entoure. Soit les 5.500 hectares des "Hoge Veluwe", une splendide réserve naturelle qui se partage entre bruyères, landes à perte de vue et pinèdes sauvages. Celles-ci peuvent être parcourues à l'aide de l'un de 1800 vélos blancs gratuits disponibles aux trois entrées du Parc, au Centre d'informations et au musée.




Kröller-Müller © Kröller-Müller museum



Enfin, en guise de cerise sur le gâteau, en bordure de la réserve, se cache le pavillon de chasse du couple Kröller-Müller en forme de bois de cerf et dans un style typiquement art nouveau. Le mystère qui s'en dégage lui confère une aura digne d'un décor de cinéma.




Kröller-Müller © Kröller-Müller museum




Infos pratiques

- Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 10h00 à 17h00 (le jardin de sculptures : 16h30)

- Pour accéder au musée, il faut aussi payer l'entrée du Parc national De Hoge Veluwe. Le billet combiné Parc et musée revient à 17,60 euros - 8,8 euros de 6 à 12 ans - 4,40 euros de 0 à 6 ans.

- Le musée est accessible via trois entrées Otterlo, Hoenderloo et Schaarsbergen. La première étant la plus fréquentée. C'est à plus ou moins 2h30 de voiture de Bruxelles. L'adresse exacte étant Kröller-Müller Museum, Houtkampweg 6, 6731 AW Otterlo.

- Il est possible de camper dans la réserve. De nombreux logements se trouvent aux abords de la réserve. Loger dans la ville de Arnhem est également une bonne option.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti
http://weekend.levif.be/lifestyle/voyage/kroller-muller-le-musee-qui-allie-van-gogh-et-velo/article-normal-397411.html


The Chihiro Art Museum Tokyo (formerly Chihiro Iwasaki Art Museum of Picture Books) was established in 1977 to commemorate Chihiro Iwasaki (1918-1974), a Japanese artist renowned for her charming paintings and illustrations of flowers and children, which appeared widely not only in picture books, but also in illustrated magazines, textbooks, novels, calendars, and elsewhere beginning in the late 1950s.

The Museum, financed through donations and royalties from Chihiro's artwork, was built on the site where Chihiro lived and worked from 1952 until her death in 1974. It was created in response to the strong wish of Chihiro's many devoted fans for a place dedicated to the permanent display of her art. As such, it is one of the few pioneer museums anywhere in the world to be devoted exclusively to the work of an artist who specialized in illustrations for children's books.


In the late '80s, the Museum began to expand the scope of its collection to include original artwork from significant children's book artists throughout the world, greatly enriching its various exhibitions and programs. In the early '90s, to accommodate additional artwork acquisitions and broaden its range of activities, the Museum decided to build a new facility in Matsukawa Village in Azumino, Nagano.

In the spring of 1997, in commemoration of the twentieth anniversary of the establishment of the Chihiro Art Museum Tokyo, the Chihiro Art Museum Azumino opened its doors in Nagano Prefecture. As Chihiro's parents were both from Nagano, Chihiro was very familiar with the region and held a deep affection for it as her spiritual home. The Chihiro Art Museum Azumino, surrounded by a 35,000-square-meter park, is located in Matsukawa Village, where Chihiro's parents settled after the end of World War II to devote the rest of their lives to the reclamation of uncultivated land there. In addition to displays of artwork by Chihiro Iwasaki, regular exhibits include selections from the International Collection and a display focusing on the history of picture book illustrations.

In 2002, to mark its 25th anniversary, the Chihiro Art Museum Tokyo reopened its doors following a complete renovation and now features an entirely barrier-free building offering double the public space of the former structure. The new museum is filled with Chihiro's work and Chihiro's memories.

Attendance at the Chihiro Art Museum Tokyo during its 30-year history has exceeded 2,197,000, while the number of visitors to the Chihiro Art Museum Azumino has reached 2,207,000. Additionally, the 50 traveling Chihiro Exhibitions that have been held since 1987 have recorded a cumulative attendance surpassing 2,419,000 visitors.

Both the Chihiro Art Museum in Tokyo and Azumino are operated by the Chihiro Iwasaki Memorial Foundation, which was established in June of 1976 with the aims of commemorating Chihiro Iwasaki's achievements, inheriting Chihiro's sincere wish for peace for children of the world, and contributing to the liberal and versatile cultural development of children. In addition to running the two Museums and holding exhibitions both in Japan and abroad (in North America, China, Vietnam and Korea), the Foundation has been active in conducting research, publishing books and catalogues, and promoting further cultural exchange among national and international children's book organizations.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.chihiro.jp/global/en/museum/index.html

Božidar Jakac (July 16, 1899 – November 12, 1989) was a Slovene Expressionist, Realist and Symbolist painter, graphic artist, art teacher, photographer and filmmaker. He produced one of the most extensive oeuvres of pastels and oil paintings (landscapes, vedutas and portraits), drawings and, above all, graphics in Slovenia.

He was also one of the key organizers in the establishment of the Ljubljana Academy of Fine Arts and the International Biennal of Graphic Art in Ljubljana.





Jakac was born in Novo Mesto, which was then part of Austria-Hungary. He started painting in 1910 or 1911, when he was attending the Novo Mesto grammar school, and more seriously, when he was attending the technical high school in Idrija, which he finished in 1917. As he lacked money to continue the studies, he had to set off to the Isonzo Front to fight for the monarchy. In 1918, after World War I ended, Ivan Vavpotič, his former professor, introduced him to the prominent Slovene Impressionist painter Rihard Jakopič, who exhibited Jakac's paintings and became his first true tutor.

*

From November 1919, Jakac studied painting and graphic arts at the Academy of Fine Arts in Prague (under professors Jakub Obrovský and Franz Thiele). There, he came into contact with rich artistic tradition and versatile modern art movements that expanded his artistic horizons tremendously. During that period he also visited Paris and Bremen. He finished the postgraduate studies of graphic arts under professor August Brömse.

In 1920, Jakac returned to Novo Mesto and became the bearer of The Spring of Novo Mesto, an avant-garde movement in literature and fine arts, which included also the poets Miran Jarc and Anton Podbevšek, the painter Ivan Čargo and the composer Marij Kogoj. In 1924, he settled in Ljubljana. At first, he earned his money as a woodcut illustrator at the liberal newspaper Jutro and a professor of drawing at the Second State Gymnasium in Ljubljana. Three years later he gave up his work and became an independent artist. At that time he also travelled extensively, for example to Paris, Tunisia, the Americas and Norway, and married Tatjana Gudrunova, who profoundly influenced his work. In 1932, he published his memoirs and letters from America in the book Odmevi rdeče zemlje ("The Echoes of the Red Earth"), in cooperation with his friend Jarc.


In September 1943, Jakac joined the partisan resistance in the Province of Ljubljana, where he promoted culture and education and noted the events in numerous graphics. In October 1943, he participated as a deputy at the Assembly of the Delegates of the Slovene Nation in Kočevje, which was a general constitutional convention organised by the Liberation Front of the Slovene Nation to establish the legal basis for the future political sovereignty of the Slovenes. In that year, he was also among the Slovene deputies at the second AVNOJ Conference in Jajce. At that time he contributed significantly to the establishment of Ljubljana Academy of Fine Arts, which was realised in 1945, and then served as its dean for three terms (1945–1947, 1947–1949, and later in 1959–1961) and taught graphic arts till his retirement in 1961.

In 1949, Jakac became a full member of the Slovenian Academy of Sciences and Arts. In addition, in 1963 he became a correspondent member of the Yugoslav Academy of Sciences and Arts in Zagreb and a correspondent member of the Serbian Academy of Sciences and Arts in Belgrade. He was the president of the Association of Fine Artists of Yugoslavia, a republican and federal deputy, and in 1955, the initiator of the international Biennial of Graphic Arts in Ljubljana.

Jakac died in Ljubljana in 1989 and is buried in Novo Mesto.

Work

Jakac paints Peter II of Yugoslavia in 1934 at Bled
Jakac's first steps in the arts were literary and musical in nature, since he was not sure yet which branch of the arts he preferred. However, as he discovered the fine art he was hooked on it once and for all.

In his teenager years, he created watercolors of scenes from nature and of the Novo Mesto landscape, distinguished by reduced Realism, Mood Impressionism and the exploration of light effects, as well as by discovery and establishment of his pastel technique.

After the departure to Prague he progressed rapidly in his artistic development and incorporated many of the elements of Cubism, Expressionism and Abstract art in his works. Although he liked to picture the landscape of the Czech lands, he preferred the poetic landscape of his home region Lower Carniola (Dolenjska), full of shades and veiled atmosphere.

On his travels abroad in the 1930s, Jakac photographed and painted what he saw, giving his work an important documentary value. His art slowly transformed itself into lyrical realism.

Jakac was an excellent portraitist who depicted a number of prominent Slovenes and Yugoslavs, friends and very often also himself. In 1940 he painted a portrait of the Slovenian poet France Prešeren, which became one of the emblematic rafigurations of the national poet. In the 1970s, his portraits were used in a series of Yugoslav postage stamps.

After the war Jakac continued to paint landscapes of the dynamic Lower Carniola. Some of Jakac's best works (The Teran Vine, The Last Stars) originate from his late period, when he created symbolistically-charged colored woodcuts.

Jakac was essentially a black-and-white artist. His favourite painting technique was chalk pastel, which appealed to him due to its mellowness and the possibility for quick painting during his numerous travels.

Jakac was also one of the pioneers of the Slovene cinema. He produced several black-and-white documentary vedutas of Novo Mesto, which made him the first Slovene master of camera.

Today, many of the works of Jakac are permanently exhibited in Božidar Jakac Gallery in Kostanjevica na Krki and in Jakac House in Novo Mesto. His films are kept by the Archives of the Republic of Slovenia.

Awards and commemorations[edit]
Jakac received numerous local and foreign awards for his work. The most prestigious of them was the AVNOJ Award, which he won in 1967. He was also awarded the Prešeren Award four times: for his drawings collection Po sledovih 4. in 5. ofenzive ("Following the Traces of the 4th and 5th Offensive") in 1947, for his sepia drawing Portret Otona Župančiča ("A Portrait of Oton Župančič") in 1948, for his illustrative cycle XIV. divizija na Štajerskem ("The XIVth Division in Lower Styria") in 1949, and for his rich exhibition activity in the past years and a vivid fine art presence in the Slovene and Yugoslav cultural space in 1980.

Jakac was named the honorary academician of Accademia dell'Arte del Disegno in Florence (1965) and a full member of European Academy of Arts, Sciences and Humanities in Paris (1982). In 1959, he was the first person bestowed the title of the honorary freeman of Novo Mesto.

Since June 2012, a bronze bust of Božidar Jakac, work of the academic sculptor Drago Tršar, stands in front of the University of Ljubljana.




fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti
colaboração: 
Lojzka Špacapan

Trem do Impressionismo leva turistas de Paris até Giverny e Rouen. Por meio dele, os turistas podem fazer o mesmo trajeto que pintores como Monet, Pissarro, Renoir ou Berthe Morisot, realizavam em busca de paisagens que foram imortalizadas nas pinturas deste movimento do final dos anos 1800.

O Trem do Impressionismo sai todos os sábados e domingos da estação de Saint-Lazare, em Paris, em direção a Giverny e a Rouen, na região da Normandia.





A companhia nacional de trens da França, a SNCF, em parceria com a região da Normandia, lançou recentemente o Trem do Impressionismo. 


Durante toda a alta temporada na Europa, aos sábados e domingos, vagões especialmente decorados com reproduções de obras impressionistas saem da estação Saint-Lazare, no norte de Paris, em direção à estação de Vernon-Giverny e também a cidade de Rouen, ambas na região da Normandia, norte da França. O objetivo da companhia férrea era estabelecer uma linha direta da capital francesa até os dois destinos, muito visitados durante a primavera e o verão europeus, em trens que tiveram seu interior e exterior totalmente redecorados.


"Essa é uma espécie de homenagem que fizemos aos pintores impressionistas porque a primeira linha de trem na França era muito utilizada por eles. Então, os vagões foram decorados com reproduções de obras de propriedade do Museu d'Orsay. Ao entrar no trem, mergulhamos no universo e na época dos impressionistas", explica a diretora geral da SNCF, Bénédicte Tilloy.

Pacotes turísticos

A SNCF também propõe a descoberta de Giverny e Rouen através de dois pacotes. Para Rouen, os turistas podem comprar passagens de ida e volta no Trem do Impressionismo que dão direito à entradas ao museu de Belas Artes da cidade. O pacote Giverny oferece, além das passagens de trem, bilhetes para o ônibus que faz o trajeto da estação de Vernon até a cidade onde viveu Monet, entradas para a casa e os jardins do pintor e também ao Museu dos Impressionismos. A grande vantagem é não precisar passar pela longa fila de espera para essas atrações. 

Para o diretor do Museu dos Impressionismos, Frédéric Frank, a descoberta de Giverny por meio do trem é especial. "Há toda uma história por trás desses caminhos de ferro. Giverny ficou famosa graças a Claude Monet. Mas ele descobriu essa cidade graças ao trem. Ou seja, há uma relação especial entre esse modo de transporte e os pintores dessa época", avalia.

No roteiro dos turistas brasileiros

Giverny é um destino que atrai turistas de todo o mundo e que frequentemente faz parte do roteiro dos turistas brasileiros que visitam a França. Nessa pequena cidade da região da Normandia, a pouco mais de uma hora a noroeste de Paris, Monet viveu 43 anos, até sua morte, em 1926, aos 86 anos. Na casa mantida até hoje pela Fundação Monet, o artista cultivou um jardim de flores e um jardim aquático, imortalizado na célebre série de pinturas Nymphéas.

Os jardins, aliás, são a parte de Giverny que mais encantam os turistas. É o caso da estudante de Medicina de Santa Catarina, Fernanda Tasso Borges Fernandes, que conta o que mais chamou sua atenção na residência de Monet: "Gosto muito de natureza. Como me falaram que Giverny era interessante tanto culturalmente quanto pelos jardins, eu resolvi conhecer".

Já o que mais emocionou a paulistana Tamara Rocha, que mora em Paris, foi ver as paisagens que tanto admira nas obras do artista. "Encontrar aqui o que vemos nas pinturas do Monet é como uma volta ao passado, ou como se estivéssemos sonhando", descreve.



O Trem do Impressionismo sai todos os sábados e domingos da estação de Saint-Lazare, em Paris, em direção a Giverny e a Rouen, na região da Normandia.Daniella Franco/RFI


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.portugues.rfi.fr/geral/20150529-trem-do-impressionismo-leva-turistas-de-paris-ate-giverny-e-rouen

MUSEO, MADELMANS Y OTROS OBJETOS -- · en CREACIÓN, DISEÑO, MUSEO,MUSEOGRAFÍA, MUSEOLOGÍA, OPINIÓN, PATRIMONIO. ·

Cualquier objeto, dependiendo de la forma en que lo mostremos al público, de la escenificación que seamos capaces de crear para él, puede convertirse en una pieza única, algo realmente mágico, o sencillamente solo un aburrido objeto más de tantos. Pasar de objeto del deseo a un trozo de materia anodina, dependerá de la forma en la que se muestre al visitante. Esta evidencia es algo que los especialistas de mercadotecnia de las tiendas de marca y grandes superficies saben muy bien. Puede ocurrir también que la torpeza en la forma de exhibir provoque que una pieza de extraordinario valor sucumba finalmente vencida por la mediocridad y el aburrimiento en su forma de mostrarse públicamente. El lenguaje expositivo siempre será determinante en el éxito o fracaso del museo.


Esta enorme capacidad mercadoténica de los especialistas de la compra por impulso debería tenerse mucho más en cuenta en los planteamientos museográficos de los museos y salas de exposiciones. Por lo general, solemos aceptar las obvias consideraciones de lo establecido, es decir, en el montaje de una exposición tendemos a colocar las piezas más relevantes en los espacios más importantes, despreciando los lugares de tránsito o comunes; pero, siendo obvio este planteamiento, no siempre es el acertado. Es primaria la observación y estudio del objeto, así como de los otros dos factores decisivos , la relación entre espacio y el espectador (visitante). Cada elemento con el que trabajamos tiene importancia. Por ello, ahí es donde se sitúa el reto de este planteamiento.


Podemos hacer un ejercicio trabajando con objetos irrelevantes desde un punto de vista de valor material y, sin embargo, la experiencia de estos años me muestra la enorme capacidad del objeto para construir una identidad propia y convertirse en fuente del análisis dependiendo de como lo mostremos. Trabajamos con pequeños muñecos, madelmans y figuras de acción, por ejemplo, juguetes estridentes por lo general, o joyas a escala natural que son verdaderas baratijas. Se trata de alimentar un diálogo creíble entre el objeto y el espacio donde será colocado; ejercicio que reclama un estudio pormenorizado de todos los elementos que forman parte de la ecuación. Este ejercicio-juego suele provocar la sonrisa del receptor, que se genera a partir de la naturaleza un tanto ridícula del objeto, sin embargo, tras un debate posterior, se descubre el enorme potencial de cada elemento por muy ridículo que sea el objeto, hasta el punto de que muchos de los objetos colocados cobran una espléndida apariencia.


Muchas presentaciones llevan a inducir al espectador a que se encuentra ante una obra de valor, siendo todo lo contrario, porque el modo de expresar determinados significados, por ejemplo, el lujo o el glamour con unas joyas de plástico, es el mismo que podrían mostrar los responsables de una joyería de alto nivel.

“Bansky throwing flowers”, The Gadget Flow

La lectura de la realidad es ambigua dependiendo de como se muestre, en que condiciones. Si cogemos las baratijas y se las ponemos a una famosa modelo y las muestra en una pasarela, esa quincalla pasa de ser objeto sin valor a piezas interesantes, que captarán la atención e incluso podrán convertiste en objetos de culto. Se trata de generar una historia, creando estímulos en el visitante-espectador que no se terminen en el expositor o vitrina, sino que haya un apoyo de significados que extienda el interés en la lectura comprensible del objeto. No todos los museos disponen de espacios como para “sacralizar” un objeto colocándolo en el centro de la sala templo del saber y nada más. No todos los museos disponen de la atmósfera del British, el Louvre, Pérgamo, etcétera. Los objetos necesitan jugar con la magia para atraer las miradas y el interés del público, de otra manera pasarán absolutamente desapercibidos.


ANÉCDOTA:

Mientras J.J. Abrahams rodaba la película de la factoría Spielberg “Super 8″, al director le regalaron una caja enfundada en papel y que nunca llegó a abrir. Aquella caja guardó unas enormes connotaciones de misterio y valor para su entorno de trabajo; el mismo lo convirtió en algo inaccesible, algo que siempre respetó poniéndolo encima de la mesa de sus reuniones de producción, reportando a aquel objeto envuelto una personalidad desbordante, mítica, llena de lecturas y de ilusión. La llamaba «la caja del misterio». 

Fotografía principal y redes sociales: Wes Anderson Palettes

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti Espacio Visual Europa (EVE)

Sinagoga Mare, prima casă evreiască de rugăciune din România -- Great Synagogue, the first Hebrew prayer house in Romania

Sinagoga Mare din Iași este un lăcaș de cult evreiesc din municipiul Iași, localizat pe Str. Sinagogilor nr. 1, în centrul orașului. Ea a fost construită în perioada 1657-1671, fiind cel mai vechi edificiu de cult mozaic de pe teritoriul României.




Sinagoga Mare din Iași a fost inclusă pe Lista monumentelor istorice din județul Iași din anul 2004, 

De asemenea și obeliscul ridicat în memoria victimelor Pogromului de la Iași din 28-29 iunie 1941, aflat în fața Sinagogii Mari din Iași, a fost inclus pe Lista monumentelor istorice din județul Iași din anul 2004. Sinagoga Mare din Iași a fost construită între anii 1657-1671 pe un loc al Mănăstirii Aron Vodă, fiind considerată cel mai vechi lăcaș de cult evreiesc păstrat în România.

Deoarece cărturarul moldovean Dimitrie Cantemir (1673-1723) menționează în lucrarea sa "Descrierea Moldovei" (1714-1716) că evreii "pot să–și facă sinagogă oriunde voiesc, însă nu de piatră, ci numai de lemn", este posibil ca Sinagoga Mare din Iași să fi fost construită la început din lemn, așa cum a fost și cazul multor biserici ortodoxe înainte de a fi clădite de zidărie. De asemenea, nu era voie ca lăcașele de cult mozaic să fie mai înalte decât Catedrala Mitropolitană, și cum legile mozaice spun că sinagoga trebuie să fie cea mai înaltă clădire din cartier, sinagoga a fost zidită în pământ.

În perioada regimului comunist (1948-1989), marea majoritatea a sinagogilor din Iași au fost dărâmate pentru a se construi blocuri pe terenurile respective. În prezent, este singurul lăcaș de cult evreiesc din Iași în care se mai oficiază slujbe religioase. De mulți ani, comunitatea evreilor din Iași nu mai are rabin, slujbele religioase fiind oficiate de un membru al comunității care cunoaște legea iudaică.

Avariată de cutremurul din 4 martie 1977, Sinagoga Mare din Iași a fost reparată din inițiativa șef-rabinului dr. Moses Rosen, președintele Federației Comunităților Evreiești din România și cu purtarea de grijă a lui Simion Caufman, președintele Comunității Evreilor din Iași. Deasupra intrării au fost amplasate două plăci de marmură, una cu inscripție în limba română și cea de-a doua cu inscripție în ebraică. Pe placa cu inscripție în limba română sunt scrise următoarele:

„Spre amintire veșnică. Această sinagogă terminată în 1671 urmașă a sinagogii din 1580 a fost restaurată în urma cutremurului din 4 martie 1977 din inițiativa Eminenței Sale dl. dr. Moses Rosen, șef rabinul cultului mozaic și președinte al Federației Comunităților Evreiești din România și prin munca și abnegația d-lui farmacist dr. Caufman Simion președinte al Comunității Evreilor din Iași.”

Sinagoga Mare din Iași este construită în prezent din piatră și cărămidă, având ziduri cu grosime de 1 metru. Înălțimea sa este de 22 m (parterul se află parțial îngropat în sol), iar ferestrele sunt ușor arcuite în ogivă și de mici dimensiuni.



Edificiul prezintă elemente de amenajare și decorație care aparțin și ritului sefard și celui așkenad. Se remarcă în stilul arhitectonic și decorativ al sinagogii influențe ale clădirilor de cult similare din Boemia, Polonia și Rusia. În sinagogă se intră printr-o tindă cu etaj a cărei pardoseală se află cam la 1 metru sub nivelul străzii. Din tindă se coboară câteva trepte pentru a se pătrunde în sala principală în stil baroc, alcătuită din două nave boltite despărțite printr-un arc central, sub care se află amvonul încadrat de candelabre. Deasupra tindei se află un etaj cu mansardă pentru femei. Altarul (misrah) este confecționat din lemn sculptat și aurit și despărțit de restul sălii printr-un grilaj de fier. 

Sala principală are formă de corabie în partea de vest, în timp ce în partea de est se află o mare cupolă emisferică cu Steaua lui David în vârf. Acoperișul sinagogii este din tablă.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti ro.wikipedia.org/
Colaboração: Gabriela Mangirov


--in

Great Synagogue, the first Hebrew prayer house in Romania

Great Synagogue of Iasi is a Hebrew place of worship in Iasi, located on Str. Synagogues no. One in the center. It was built between 1657-1671, it is the oldest religious edifice in Romania mosaic.

Great Synagogue of Iasi was included on the list of historical monuments in the county of Iaşi in 2004,The obelisk erected in memory of the victims of the Iasi pogrom of 28-29 June 1941 in front of the Great Synagogue of Iasi, was included on the list of historical monuments in the county of Iaşi in 2004. The Great Synagogue in Iasi was built between 1657-1671 on a place of Aron Voda Monastery, considered the oldest place of worship in Romania preserved Hebrew.

As Moldovan scholar Dimitrie Cantemir (1673-1723) mentions in his "Description of Moldova" (1714-1716) that Jews "can do their synagogue anywhere they desire, but not of stone, but only wood", it is possible Synagogue Great in Iaşi have been built at the beginning of wood, as was the case with many Orthodox churches before being built of masonry. It also was not allowed as places of worship mosaic to be higher than the Metropolitan Cathedral, and how the Mosaic laws say that the synagogue should be the tallest building in the neighborhood synagogue was built in the ground.

During the communist regime (1948-1989), the great majority of synagogues in Iasi were demolished to construct buildings on those lands. Currently, the only place of worship in the Hebrew University of Iaşi longer officiate religious services. For many years, the Jewish community of Iasi has no rabbi, religious services were officiated by a community member who knows Jewish law.

Damaged by the earthquake of March 4, 1977, the Great Synagogue of Iasi initiative was repaired by Chief Rabbi dr. Moses Rosen, president of Hebrew Communities Federation of Romania and care of Simeon Caufman, president of the Jewish Community in Iasi. Above the entrance they were placed two marble tiles, one with an inscription in Romanian and the second with the inscription in Hebrew. On board inscription in Romanian are written the following:

"To the eternal memory. This synagogue completed in 1671 follower synagogue was restored in 1580 after the earthquake of March 4, 1977 His Eminence Mr. initiative. dr. Moses Rosen, Chief Rabbi of the Jewish faith and president of Hebrew Communities Federation of Romania and the work and dedication of Mr. Pharmacist Dr. Caufman Simion president of the Jewish Community in Iasi. "

Great Synagogue of Iasi is currently built of stone and brick, with wall thickness of 1 meter. Its height is 22 m (ground floor is partially buried in the ground), and the windows are slightly arched and small warhead.

The building design and decoration issues of belonging and Sephardic rite and the aşkenad. It is noted in the synagogue's architectural style and decorative building components similar cult of Bohemia, Poland and Russia. The synagogue is entered through a porch with floor to floor which is located about 1 meter below street level. From the porch descend a few steps to enter the main hall Baroque vaulted consists of two vessels separated by a central arch, below which lies the pulpit framed by chandeliers. Above the porch floor is a loft for women. Shrine (misrah) is made of carved wood and gilt and separated from the rest of the room by an iron railing.
The main hall is shaped like a boat in the west, while in the east is a large hemispherical dome with the Star of David on top. Synagogue roof is tin.






Tairawhiti Museum and art gallery has a reputation as one of the very best, most innovative regional museums in New Zealand.

In recent years we have undergone significant change including major building extensions, redevelopment of all exhibition spaces, and the establishment of a broadly representative Board of Trustees.


Our vision is to become an integral part of the community of the Tairawhiti through building strong and enduring relationships with community groups. Our role extends beyond our own four walls to the most remote parts of the region. 

Statements 

Vision - To stimulate passion for the stories of Te Tairawhiti.

Mission - Tairawhiti Museum is a gateway/waharoa and resource for the art, culture and heritage of our communities.

The following is a list of some of our more significant achievements in recent years;
Completion of Te Moana maritime museum and refurbishment of historic buildings
Signing of C.Company agreement and construction of new C.Company gallery

Establishment of outreach Education Service
Development of new constitution and Board of Trustees
Tourism surveys finding the museum the most popular tourist attraction in the region
Winning the inaugural Supreme Tourism Award

Rebranding and renaming of the organization

Hosting very successful Maori cultural festivals
Hosting of Prime Minister Helen Clark
Hosting of Prime Minister John Key

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.tairawhitimuseum.org.nz/about-us/defaultasp.asp

Hours - Open 7 Days.
Monday - Saturday, 10am - 4pm
Sunday and Public Holidays 1:30pm - 4:00pm
Closed - Easter Friday and Christmas Day and Boxing Day

O Museu de Arte do Espírito Santo (Maes), em Vitória, Espirito Santo, Brasil, realiza série de debates sobre arte

Encontros acontecem em quintas alternadas, às 19h, no Maes.
Alunos de pós-graduação apresentam os trabalhos ao público.

Museu promove série de encontros
(Foto: Divulgação/ Secult)

O Museu de Arte do Espírito Santo (Maes) realiza o projeto Colóquios de Pesquisa em Arte, em Vitória, que promove 10 encontros ao longo do ano, sempre às 19h e em quintas-feiras alternadas.

O primeiro encontro acontece no dia 11 de junho, com palestra da professora Stela Martis. O segundo é no dia 26, com apresentação do projeto de pesquisa 'A Criação e Atuação da Galeria De Arte e Pesquisa da Ufes e sua Proposta de Atualização das Linguagens das Artes Plásticas (1976-1980)', da aluna pesquisadora Magna Silva Rosa.

O projeto conta com a apresentações de pesquisas realizadas por alunos do Programa de Pós-Graduação em Artes (PPGA) e do Programa de Pós-Graduação em Educação (PPGE) da Ufes.

Além disso, serão debatidos temas relacionados à história, teoria e crítica da arte, o ensino da arte e as relações entre espaço e pensamento. 

Serviço
11/06 - 19h: Abertura do projeto Colóquios de Pesquisa em Arte, com palestra da professora Stela Maris.

25/06 - 19h: Apresentação do projeto de pesquisa “A Criação e Atuação da Galeria De Arte e Pesquisa da Ufes e sua Proposta de Atualização das Linguagens das Artes Plásticas (1976-1980)”, da aluna pesquisadora Magna Silva Rosa, professora orientadora: Almerinda Lopes.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://g1.globo.com/espirito-santo/noticia/2015/05/museu-realiza-serie-de-debates-sobre-arte-em-vitoria.html

O Museu Correios apresenta 78 obras de Rembrandt e a Figura Bíblica, em Brasília,Goias, Brasil.

Mostra com gravuras do artista holandês pode ser vista até o dia 7 de junho


Ao todo, exposição apresenta 78 
gravuras de RembrandtDivulgação

A mostra traz ao público uma seleção de 78 obras do artista Rembrandt Van Rijn, divididas em dois módulos: a primeira parte é dedicada a uma cronologia da vida e obra do artista, ilustrada com gravuras em diversos temas.

A segunda parte é dedicada aos temas bíblicos e religiosos, que compõem a parte mais numerosa dentre os temas do artista e recebem destaque nesta montagem. A exposição inédita na cidade tem entrada gratuita e patrocínio Correios e Governo Federal.

As 78 obras, produzidas em água-forte, buril e ponta-seca: sendo 52 delas de temas bíblicos/religiosos abrangendo o Velho e o Novo Testamento, três paisagens, 11 retratos (sendo quatro autorretratos), três nus, três cenas alegóricas e seis gravuras de temas diversos. A exposição chega ao Distrito Federal após ter sido apreciada por mais de 28 mil pessoas no Rio de Janeiro.


Na exposição, o público poderá conhecer um momento histórico muito específico e importante, o qual influenciou o artista na criação de suas obras e que faz parte do contexto que permite a percepção do por que Rembrandt tornou-se um dos maiores nomes do mundo da Arte: a Holanda, recém-libertada da Espanha e convertida ao protestantismo, passava por um momento de grande crescimento econômico. Na mostra também será possível conhecer um pouco mais sobre a técnica da gravura realizada pelo artista para a concepção das obras expostas.

fonte: @edisonmariotti #edisonmarioti http://noticias.r7.com/distrito-federal/brasilia-de-graca-exposicao-reune-78-obras-de-rembrandt-no-museu-dos-correios-29052015

Serviço:
Exposição “Rembrandt e a figura bíblica”
Abertura para convidados e lançamento do catálogo: 26 de março de 2015, às 19h
Visitação: Até 7 de junho de 2015
Horário: terça a sexta, das 10 às 19h. Sábados e domingos, das 12h às 18h.
Local: Museu Correios - SCS quadra 4, 256 - Asa Sul, Brasília - DF, 70304-915.
Entrada Franca
Acesso para pessoas com deficiência