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sábado, 13 de junho de 2015

Cyril Codina, entre vinaigrerie et musée

À l'origine, Cyril Codina est vigneron, comme l'était son père, et son père avant lui. Depuis trois générations, ils se transmettent cette terre à Ferrals, au cœur des Corbières. Il y a quinze ans, il possédait 48 hectares et produisait du vin en quantité, au sein d'une coopérative. 

Il s'en est pourtant lassé, avec la crise des années 2000-2002, et les énormes investissements qui ne produisent pas les effets escomptés. Il l'explique d'ailleurs assez simplement «C'était compliqué. J'en avais marre de faire des efforts et d'avoir l'impression de ne pas gagner ma vie». Il décide alors de tout changer, enfin presque tout, et passe du vin au vinaigre, de 48 à 5 hectares et demi. Du vin, il en fait toujours. 

Un peu de blanc, un peu de rouge de vieux Carignan et de Grenache… Ces quelques parcelles lui permettent aujourd'hui de se concentrer sur le principal de sa production, le vinaigre. Depuis dix ans déjà, il en a fait son occupation majeure, et n'a pas du tout à se plaindre de cette nouvelle orientation. «Il y a dix ans, on en a parlé avec un chef. C'est venu d'une envie de changement. On a essayé, et on a bien sûr fait plein d'erreurs. Quand je repense aux premières productions…» s'amuse-t-il. «On a surtout essayé de s'amuser, de prendre plaisir à faire des choses insolites».
28 vinaigres


Cyril Codina, au milieu des barriques de vin, indispensable à la production de vinaigre./ Photo DDM. Roger Garcia

Aujourd'hui, il fait 28 vinaigres différents, sans compter les productions spéciales, en édition limitées. Dans sa vinaigrerie, on trouve des vinaigres de vin, évidemment, mais aussi des vinaigres aromatisés, au thym, au romarin… et des vinaigres de mélange, au miel, au caramel, à la mûre… Des vinaigres doux, puissants, sucrés, acides, il y en a pour tous les goûts, pour toutes les cuisines. 

C'est d'ailleurs avec une passion débordante que Cyril parle de ses mélanges, de ses expérimentations, celles qui furent un succès, mais aussi des échecs. «Ça m'arrive encore souvent de ne pas du tout être satisfait de mon vinaigre. Dans ces cas-là, je repasse à l'aromatisation, ou alors je jette. Je ne cherche pas à produire beaucoup, mais plutôt à faire ce qui me plaît. Si le produit ne me plaît pas, je ne vends pas». Depuis peu, La famille Codina a également planté plusieurs centaines d'oliviers, dans leur jardin et alentours, pour préparer de l'huile d'olive et de la vinaigrette. 

Une production encore modeste, mais qui commence à donner de très beaux, -et de très bons ! -, résultats. «J'ai de la chance. Pour l'instant, je ne suis qu'au début de ce que je peux faire. Il nous reste encore énormément de possibilité».
Musée 1 900

Mais Cyril Codina n'a pas qu'une casquette. En plus d'être l'un des deux seuls producteurs de vinaigre artisanal de la région, il s'est lancé, avec son épouse Isabelle, au moment de son changement d'activité, dans la construction d'un musée des plus original, le musée 1 900. Entamés en 2005, les travaux se sont étalés sur plus de 3 ans, avant l'ouverture officielle. 

Situé dans le petit village de Lagrasse, classé comme l'un des plus beaux villages de France, le musée offre aux visiteurs un voyage dans le temps et un aperçu exhaustif de la vie du vigneron au début du XXe siècle. Aujourd'hui, le temps de Cyril se divise entre ses deux passions, entre ces deux lieux : la vinaigrerie et le musée. «Ils sont tout deux indissociables. J'ai ouvert le musée pour faire découvrir mes produits. Le matin je suis chez moi, à faire du vinaigre. L'après-midi je suis au musée, à proposer des dégustations».

Aujourd'hui, 30 % des personnes qui fréquentent le musée sont des habitués, qui reviennent s'approvisionner en vinaigre.

Cyril Codina est producteur de vinaigre depuis près de 10 ans. Après la crise du secteur viticole en 2000, il décide de changer de production pour proposer des produits originaux, créatifs, et dont lui seul a le secret.
Une production 100 % artisanale

Cyril Codina peut parler de ses vinaigres pendant des heures, des mélanges qu'il réalise et de ce qui les a inspirés. Surtout, il expliquera comment chaque produit utilisé pour les mélanges provient de son propre jardin, comment il met lui-même le vinaigre en bouteille, et jusqu'à l'étiquette sur le flacon. «On fait tout ici, du début à la fin. On a une production modeste, mais ça nous suffit. D'ailleurs, je ne vois pas comment on pourrait faire plus, vu le temps que ça nous demande déjà».

Il racontera avec passion à qui veut l'entendre les différents procédés de fermentation, le travail de l'aromatisation… Il vous expliquera aussi avec quels mets assembler les vinaigres, quel mariage de saveurs oser pour les apprécier.
Le musée 1900, retour au siècle dernier

Ouvert en 2009, le musée 1 900 plonge le visiteur dans l'environnement naturel du vigneron au début du siècle dernier. Un instituteur, grâce à l'audioguide, raconte l'histoire de Lagrasse, décrit la vie de tous les jours. On se promène au cœur du village, on y découvre les lieux typiques et caractéristiques de cette époque : la Chapellerie, la bijouterie, la menuiserie, la maison de maître, où l'on apprend le métier de viticulteur, le pigeonnier, reproduit par un artisan au dixième près etc. Le musée est entièrement meublé grâce à la passion des parents, collectionneurs d'objets de métiers anciens, de vieux jouets et de plus de 3 000 poupées. Ces dernières sont éparpillées dans tout le musée, et tiennent le rôle des habitants, des enfants sur les bancs de l'école.

Pour compléter la visite, Cyril Codina a ouvert à l'étage une salle de spectacle, dans laquelle sont proposées deux attractions : le spectacle «quatre saisons», et un voyage dans l'ancien tramway de l'Aude reliant Lézignan-Corbières à Saint-Pierre-des-Champs, en 4D. 

Sensations garanties avec sièges vibrant pour reproduire les désagréments des trajets de l'époque, odeurs de garrigue et de moutons, éclaboussures pour les tempêtes… «J'essaye de redynamiser le musée. En pleine saison, on est parfois obligé de refuser du monde. Le reste de l'année, c'est différent». Le musée a tout de même accueilli plus de 7 000 visiteurs l'année dernière, et le livre d'or ne laisse aucune place au doute : petits et grands sont tous enchantés par la visite.

Au terme de celle-ci, le visiteur est invité à déguster les produits artisanaux de la vinaigrerie familiale.

Les gens s'arrêtent pour déguster le vinaigre

Marine, qui travaille tous les jours au musée, accueille avec Cyril Codina les visiteurs pour leur faire goûter les produits de la vinaigrerie. «Les gens viennent principalement pour le musée. Ils en ont entendu parler, mais pas particulièrement du vinaigre. Pourtant, ils s'arrêtent à 90 % pour le déguster et pour parler de la visite. Les deux sont indissociables et complémentaires».

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti  http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/31/2115283-cyril-codina-entre-vinaigrerie-et-musee.html#AH7s3mjB8Wrq7qiw.99

Le Musée d'Yverdon s'inquiète pour ses dépôts

PatrimoineLes dépôts de l'institution sont pleins et peu adaptés. A l'heure où le Canton revoit la liste de ses partenaires, la directrice tire la sonnette d'alarme.


France Terrier, directrice-conservatrice du Musée d'Yverdon. Image: Odile Meylan

Une porte qui grince et une serrure qui va mal. C’est à peu près tout ce qui protège les précieuses collections archéologiques du Musée d’Yverdon, dans une cave dont nous sommes priés de ne pas révéler l’emplacement, sécurité oblige. Les cartons – parfois à bananes – s’y empilent de manière plus ou moins ordonnée, sur de vieilles étagères métalliques encombrées.

D’inestimables pierres polies mises au jour sur le site des menhirs de Clendy, des ossements de bœufs, des pots vernis découverts lors des fouilles du Castrum… L’essentiel des objets retrouvés dans le sous-sol du Nord vaudois, depuis le XIXe siècle jusqu’aux années 1990, y attend des jours meilleurs. Dans des conditions inadaptées. Les soupiraux brisés font fluctuer l’humidité et la température au gré des saisons. Pire: il n’y a pas de plan d’évacuation des précieux objets, alors que la Thièle toute proche s’apprêtait à déborder la semaine dernière.

C’en est trop pour la directrice et conservatrice du musée, France Terrier, qui n’hésite plus à parler «d’urgence et de situation infiniment fragile». Si elle ne tape pas du poing sur la table, c’est sans doute à cause de l’épaisse couche de poussière.

Inventaire incomplet
Ce qui manque à l’institution, ce sont non seulement des locaux, mais surtout une vision globale des collections archéologiques. Eparpillées sur plusieurs sites (dont des dépôts à la route de Lausanne, pour les plus fragiles), elles ne sont même pas inventoriées de manière exhaustive. Tout ce qui a été retrouvé par les archéologues durant les vingt-cinq dernières années est entreposé hors d’Yverdon, faute de place. Dans les dépôts cantonaux de Lucens, de l’Université de Lausanne, voire à Cossonay et à Berne, les caisses qui attendent de regagner Yverdon occupent actuellement quelque 153 m2 dans différents dépôts, indiquait un rapport de 2012.

Pendant ce temps, des prêts s’éternisent, des objets se perdent. «Par rapport à d’autres institutions, nos locaux sont préhistoriques, ironise la directrice. Aujourd’hui, les sites s’étudient de manière diachronique, en tenant compte de toutes les époques. Nous avons besoin de tout rassembler. L’inventaire, c’est l’investissement obligatoire avant l’étude et l’exposition. Et nous sommes un musée régional, des communes comptent sur nous.»

Le musée n’est légalement que dépositaire des trouvailles faites sur l’ancien district d’Yverdon, qui restent propriétés du Canton. Avec la création du district Jura-Nord vaudois, l’institution a élargi son périmètre à 45 communes, qui détiennent des sites lacustres, des temples romains ou encore des places fortes gauloises.

Pas dans les normes
Aujourd’hui, c’est aussi la reconnaissance de la part du Canton qui inquiète. «Nous ne sommes clairement pas dans les normes, s’alarme France Terrier. Ni pour les incendies ni pour le vol ou l’hygrométrie. Même si tout n’est pas fragile, il faut un minimum de conditions pour pouvoir étudier les objets.» S’ajoute l’entrée en vigueur, le 1er mai dernier, de la nouvelle loi sur le patrimoine matériel et immatériel du canton. Dans les cinq prochaines années, l’Etat devra renouveler les conventions des musées régionaux. En clair, celui Yverdon a peur de perdre son statut.

«Il faudra établir quels sont les droits et devoirs des institutions reconnues, détaille Brigitte Waridel, cheffe du Service cantonal des affaires culturelles. Cela implique notamment d’être plus précis dans les évaluations et de passer en revue les conditions de conservation des objets dont le Canton laisse la jouissance à certains musées communaux.»

Solution commune

«Tout le monde a besoin de locaux d’urgence», temporise pour sa part la municipale socialiste Nathalie Saugy. «Ils ne sont pas les seuls. Le Musée de la Mode en cherche aussi. Il faudrait peut-être trouver une solution commune avec d’autres institutions. Le problème, c’est que les dispositions sont cantonales et c’est aux communes de se débrouiller.» L’an dernier, le Musée d’Yverdon était financé à 60% par le chef-lieu.

France Terrier rêve de louer quelque 500 m2 dans le Village des anciens ateliers Leclanché. Un peu trop grand pour les seules collections. On recherche donc des colocataires, qui restent difficiles à trouver. Pour le musée, ce serait 50 000 à 100 000 francs de plus pour son budget annuel, d’un demi-million. La directrice espère aussi pouvoir dynamiser davantage son musée avec un tournus des pièces exposées, explorer d’autres thématiques d’expositions temporaires et mettre en avant les points forts des collections.

Des collections qui ont été classées en note «A» par la Confédération, soit d’une «importance nationale». (24 heures)


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 
http://www.24heures.ch/vaud-regions/nord-vaudois-broye/musee-yverdon-sinquiete-depots/story/19992921

Museu de Arte Sacra de Paraty, Rio de Janeiro, Brasil, será reinaugurado depois de 4 anos

O Museu de Arte Sacra de Paraty (MAS) será reaberto neste sábado (13), após passar por ampla reforma. Fechada desde 2011, a instituição ganhou novo projeto de iluminação, teve a estrutura do telhado e da rede elétrica recuperada, parte dos objetos litúrgicos foram restaurados e a fachada e o interior foram pintados. 

Fechado desde 2011, museu passou por 
ampla reforma e será reaberto neste sábado (13)

As obras fazem parte do processo de requalificação do conjunto arquitetônico de Santa Rita, iniciado em 2006, e contaram com apoio da Caixa e da Petrobras.

As comemorações da reabertura do museu começam às 19h30, com missa na Igreja Matriz de Nossa Senhora dos Remédios. Às 20h30, será realizada procissão solene, com a presença da comunidade local e de irmandades religiosas. A imagem de Santa Rita, que ficou na Igreja Matriz durante a reforma, será levada ao MAS, juntamente com a imagem de Santo Antônio. 

Antes da entrada das imagens no museu, o Mastro de Santa Rita da Festa de 2015 será erguido no Largo de Santa Rita. Às 20h50, será realizada a solenidade de reabertura, que contará com as presenças do ministro da Cultura, Juca Ferreira, do presidente do Instituto Brasileiro de Museus (Ibram), Carlos Roberto Brandão, da presidenta do Instituto do Patrimônio Histórico e Artístico Nacional (Iphan), Jurema Machado, e do prefeito de Paraty, Carlos José Gama Miranda. A solenidade de reabertura contará com apresentações artísticas da Banda Santa Cecília e do Coral da Universidade do Rio de Janeiro (Unirio).

Sobre o Museu

O Museu de Arte Sacra de Paraty funciona na centenária Igreja de Santa Rita, construída em 1722 e tombada pelo Iphan em 1962. Reúne um diversificado e precioso acervo com importantes relíquias histórico-religiosas, provenientes de irmandades religiosas e das igrejas de Nossa Senhora dos Remédios, Nossa Senhora do Rosário, Nossa Senhora das Dores e dos Passos da Paixão, além de capelas da zona rural. Além da guarda e conservação das coleções, o museu promove a pesquisa e a divulgação do testemunho histórico, cultural e religioso da comunidade paratiense.

Nas coleções de imaginária e de prataria dos séculos 17 a 19, destacam-se as imagens da padroeira de Paraty, Nossa Senhora dos Remédios; o Grupo da Sagrada Família, com rara iconografia de Nossa Senhora da Expectação; as alfaias expostas em caixa-forte; as coroas e os cetros usados nos cortejos das festas do Divino Espírito Santo e de Nossa Senhora do Rosário e São Benedito; e a custódia que conduz o Santíssimo Sacramento na procissão de Corpus Christi.

Apesar de estar no museu, parte dos objetos retoma seu uso originário ligado às práticas e tradições religiosas ao serem devolvidos às irmandades religiosas, que os carregam nas procissões em dias festivos pela cidade.




Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti MinC

Castration Affected Skeleton Of Famous Opera Singer Farinelli, Archaeologists Say

In a small city just above the heel of Italy’s boot,Carlo Broschi was born in 1705. Better known asFarinelli, his stage name, he became the greatest opera singer of the 18th century, performing all overEurope. This was the height of popularity of castrati, men who had been castrated as boys, before their voices changed. Farinelli is said to have had a rich soprano voice, with a range that would make any modern-day diva jealous.

Farinelli died in 1782, and after his original grave was destroyed in the Napoleonic wars, his remains were transferred to La Certosa cemetery in Bologna in 1810. There he rested until anthropologists excavated his grave in 2006, searching for additional information about his life. There are very few skeletons of individuals known to have been castrated, so anthropologist Maria Belcastro and colleagues sought to learn about Farinelli the person and the castrato.

The bones that survived the move to Bologna and the interment of Farinelli’s great-niece in the same grave decades later were few and not particularly well-preserved. Their demographic assessment was based on the fragmentary remains: the skeleton was male based on a narrow sciatic notch and absence of a preauricular sulcus; fused cranial sutures, dental wear, and degenerative changes in the vertebrae suggest advanced age-at-death, or over 60; and the length of the ulna revealed him to be quite tall, perhaps 6’3”.
Farinelli
Carlo Broschi, better known as Farinelli, seated at center in this painting
 by Jacopo Amigoni, circa 1750-1752. (Image from user Sailko at Wikimedia Commons.)


Immediately, Belcastro and colleagues noticed some interesting differences in Farinelli’s skeleton compared to the bones of other adult males. For one thing, he was much taller than average, with very long limb bones. His bones also maintained some lines of epiphyseal fusion. As children grow, their long bones form from three or more parts: a tube-like shaft and two end plates. Normally, when growth stops in late adolescence, the bone parts join together and fuse; the line of fusion eventually disappears in early adulthood. Both Farinelli’s abnormal height and his lack of fused bones are likely related to growth delays caused by his castration. Further, the researchers discovered osteoporosis and a condition called hyperostosis frontalis interna, both of which are generally much more common in older, post-menopausal women. These may also be related to the abnormal hormonal changes caused by castration.


Farinelli’s teeth provide additional information about his daily life, unrelated to his status as a castrato. Using CT scans, the researchers were able to virtually reconstruct his jaw. There was some chipping of his molars, possibly related to diet. Farinelli wrote that he was a fan of “mortadella, macaroni with courgettes, quince jelly, and chocolate,” Belcastro and colleagues say in their most recent article, and this soft diet may explain his relatively unscathed teeth, especially considering he lived to be 77 years old. It is also possible that Farinelli, who was frequently around the upper social classes, took care of his dental health, possibly with a toothbrush, which was a new, elite instrument in the late 18th century.

Heavy wear on his upper and lower front teeth reveal Farinelli had an overbite. While overbites are certainly not rare, Belcastro and colleagues suggest it may be related to castration if the mandible did not grow as much as the rest of the skull did. Further contributing to this diagnosis of problematic overbite is the fact that Farinelli complained during his lifetime of chronic stomachache. The researchers think that that problem may be related to his overbite and small jaw, which made him unable to chew food sufficiently. The overbite “did not likely affect Farinelli’s ability as a singer,” they write, “but may have generated some gastrointestinal disorders which were worsened by the high levels of stress related to his professional activity.”


There is, unfortunately, no recording of Farinelli at the height of his fame, although a 1994 movie imagines what he may have sounded like. The major events in Farinelli’s life are well-known, but Belcastro and colleagues have added their anthropological expertise to explore to more mundane parts of his life and to contribute to osteological knowledge of the effects of castration on the skeleton.

When my osteology students learn about traits that help figure out the sex of a skeleton, at least one always asks what effects sex reassignment surgery might have on the human skeleton, and I admit I don’t really know. But with more research along the lines of Belcastro and colleagues’ work, we may find out.



fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti
 http://www.forbes.com/sites/kristinakillgrove/2015/06/01/castration-affected-skeleton-famous-opera-singer-farinelli/?linkId=14646114

The Çengelhan Rahmi M Koç Museum is fortunate to be housed in a splendid, historical building just outside the entrance to the Citadel, at the heart of old Ankara.

This building is itself an icon of commercial archaeology, which makes it all the more appropriate that it now hosts our collections of industrial exhibits.



The Çengelhan

The Çengel Han [Çengel: hook, Han: caravanserai] was built in 1522 during the reign of Kanuni Sultan Süleyman by Damat Rüstem Paşa who was married to the Sultan’s daughter Mihrimah Sultan. Though it was built close to 500 years ago, the Çengel Han Still stands and is one of the few buildings of the Han district of Ankara to have retained its original form. 

The Çengel Han functioned as a typical Anatolian Caravanserai: in other words it was an Inn with a market place in the courtyard. This particular Han was amongst the foremost in Ankara, which in the 16th and 17th centuries was a crossroads for international trade. It was one of the four largest (and most expensive) Hans of the period, with over 26 rooms for the inn side of the business. During the first half of the 20th century the Han was still a bustling centre for trade and had shops that sold a vast range of goods, including textiles, mohair, wool, rope, vegetables, grains, hardware, rawhide and even carriage harnesses. However, with the gradual march of progress, the Han fell into disuse and ended up as a tannery, warehouse and store selling mohair, wool and rawhide before being finally abandoned at the end of the 1990s.

Surmounting the entrance to the Çengel Han is the ceiling with pointed vaults. Its supporting walls are built using a Roman technique in which three rows of brick are then alternated with a lager layer of rough- hewn stone. Its roof is covered with traditional Turkish clay roofing tiles rings the rectangular courtyard to form the traditional Han floor plan.




The Restoration

Mr Rahmi M. Koç created the Rahmi M. Koç Foundation for Museology and Culture in 1990 to encompass his Museum in Istanbul and further developments such as the Han, and it is to this philanthropic vehicle that Government has kindly permitted the building to be leased from the Turkish Ministry of Foundations. In 2003 extensive restoration of the Çengel Han was begun by Çengel Han Hotel Keeping, Tourism, Construction and Restoration Inc. This restoration period lasted until 2005 and throughout the two-year process enormous care and attention has been paid to the preservation of the original state of the building. This extended to glassing the entire courtyard area. In April 2005 the Museum was opened to the public as an affiliate of the Rahmi M. Koç Foundation for Museology and Culture.


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.rmk-museum.org.tr/

Zia Memorial Museum - One of the most remembered war heroes and politicians in the history of Bangladesh is Lieutenant General Ziaur Rahman.

Born on 19 January 1936, Zia went on to establish the Bangladesh Nationalist Party and became the President of Bangladesh on 21 April 1977. Tragedy struck the country when Ziaur Rahman was assassinated in 1981. In honor of this revered man, the Zia Memorial Museum was established to keep his memory and contributions to Bangladesh alive. The Zia Memorial Museum is more than just a journey through the life of the late President Rahman, it is also a significant architectural piece of history.




The building that now houses the Zia Memorial Museum was previously known as the Old Circuit House. It was constructed on a hill in the city of Chittagong in the year 1913, and is a wonderful building that boasts unique South East Asian features. Used as a palatial structure as living quarters for government officials, the building was later renovated into a museum, opening its doors in 1993. Visitors to the museum will find a wide variety of memorabilia and art that totals over seven hundred exhibits.




Zia Memorial Museum consists of twelve galleries, of which all of them are dedicated to the memory of President Ziaur Rahman. Items found in these galleries include portraits of the president, the actual microphone and transmitter over which the president delivered his Declaration of Independence speech, the table and chair from where he ruled the country, personal effects, documents, souvenirs and gifts he received during his reign from diplomats and officials. In the last gallery visitors will be able to view a reconstruction of his untimely death. The museum has also been fitted with a breathtaking library and a conference room that is equipped with the latest technology for use in presentations and meetings. As the president was murdered in this building, the museum has become an extraordinary monument to his life. Visitors will find the Zia Memorial Museum to be a spectacular attraction in Chittagong, which not only retraces the life of this unforgettable leader, but the colorful history of Bangladesh.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://bangladeshmuseum.gov.bd/