Ouvir o texto...

sábado, 10 de outubro de 2015

Le Pôle muséal rassemblera trois musées à deux pas de la gare LausanneL'Elysée et le musée du design, conçus par les Portugais Aires Mateus, viendront rejoindre celui des Beaux-Arts.

Avec l’annonce cette semaine du lauréat du concours d’architecture des musées de l’Elysée et du Mudac, il est désormais possible de se faire une idée globale du site du futur Pôle muséal lausannois. Baptisé «Un musée, deux musées», le projet sélectionné de l’agence Aires Mateus prévoit de réunir les deux institutions culturelles dans un seul bâtiment situé au bout de l’allée formée, d’un côté, par le Musée cantonal des beaux-arts (MCBA) imaginé le long des voies de chemin de fer par les Catalans Barozzi/Veiga et, de l’autre, par la butte ponctuée d’arcades en dessous des immeubles qui longent l’avenue Ruchonnet.



Une image de synthèse du projet «Un musée, deux musées» de l'agence Aires Mateus qui réunit le Mudac (étage du haut) et le Musée de l'Elysée (sous-sol) dans un seul bâtiment divisé horizontalement par un espace commun ouvert sur la place. «Le concept d'insérer horizontalement un espace public transparent entre deux volumes solides évoque une grande puissance», écrit l'architecte Kengo Kuma, vice-président du jury. 


L’originalité de cette réunion des deux musées – pas expressément exigée par le cahier des charges – consiste en une superposition (au Mudac l’étage supérieur et sa lumière zénithale; à l’Elysée, le sous-sol ouvert sur une grande cour en fosse) mais où le territoire, le volume de chacun, est marqué par une faille, séparant les parties en section. Ce grand rez-de-chaussée ouvert sur la place servira d’espace commun aux deux musées avec billetterie, librairie, café-restaurant.



Si la première étape du Pôle muséal, avec le MCBA, est à bout touchant, la seconde doit encore affronter les épreuves financières, parlementaires et judiciaires. L’enveloppe globale de cette deuxième phase, qui comprend l’Elysée et le Mudac ainsi que les aménagements extérieurs, s’élève à 100 millions. La clé de répartition est la suivante: 40 millions pour l’Etat de Vaud, 20 millions pour la Ville de Lausanne et 40 millions de dons privés.

De ce côté, il y a encore du pain sur la planche. Déjà plus de 30 millions de fonds privés ont été levés pour le MCBA. La suite inquiète certains. Comme le confiait le directeur du Centre Patronal, Christophe Reymond, au quotidien 24 heures en juin: «Je reste totalement acquis à ce projet, mais je me demande comment pourra être financée sa seconde partie alors que la plupart des donateurs institutionnels, des grandes entreprises et des mécènes privés ont déjà été sollicités…»

Pour les fonds publics, le Conseil d’Etat espère faire voter le Grand Conseil sur le crédit d’ouvrage de cette deuxième étape en 2017. La remise du bâtiment est planifiée à l’horizon de 2020. Mais Le syndic de Lausanne n’exclut pas d’éventuels recours contre le permis de construire: «Ce calendrier pourrait prendre 18 à 24 mois de retard selon l’acharnement judiciaire», estime Daniel Brélaz.

Le MCBA arrive, lui, à la fin des procédures. Il reste un ultime recours sur lequel le Tribunal fédéral doit encore trancher. Sa décision est attendue dans les semaines qui viennent. Devisée à plus de 83 millions, l’ardoise de cette première étape est répartie entre le Canton (44,6 mios), les dons privés (34 mios) et Lausanne (5 mios). L’inauguration du MCBA est espérée pour 2018.



Pascal Broulis, chef du Département des finances et des relations extérieures, en charge des constructions, se réjouit de «la cohérence plus forte désormais conférée au quartier». «Par sa composition, le bâtiment libère de la place sur le site et profite parfaitement des contraintes de hauteur à disposition.» Car cette double pièce qui vient compléter le projet de Pôle muséal ne devait pas seulement répondre à des injonctions muséographiques, mais aussi s’insérer dans un plan urbanistique, préservant au passage les points de vue du voisinage par sa hauteur modeste. Plusieurs accès, dont un grand escalier et une probable passerelle, ouvriront l’accès du site par le nord et l’ouest, emplacement d’un parc, ce qui aura un avantage momentané en vue des futurs travaux de la gare à l’est, et plus durable, en termes de circulation piétonne et de rapprochement ainsi opéré avec le parking de Montbenon.

Le projet des frères Francisco Xavier Mateus et Manuel Roca Mateus n’était pas le seul des 17 candidats finaux – parmi lesquels SANAA Ltd et Ateliers Jean Nouvel/Eric Maria Architectes Associés SA, tous deux dans les six propositions primées – à tenter de réunir les deux musées. Mais les architectes portugais, sélectionnés pour la Grande Mosquée de Bordeaux, se sont imposés aux 23 membres du jury par la qualité des réponses apportées à l’ensemble des exigences muséales, architecturales et urbanistiques. «Le processus de sélection a été tout à fait harmonieux, souligne Olivier Steimer, président du jury qui avait déjà occupé cette fonction pour le MCBA. Le jury a eu un vrai choix à faire face à un défi complexe, mais qui s’est cristallisé de manière évidente à la fin avec ce projet qui trouve un geste architectural réunissant les autres exigences. Il est beau et remplit tous les critères.»



L’enthousiasme est collectif autour de sa «faille» centrale, sorte de grand sas d’accueil pour le futur promeneur de la longue place du Pôle. «Le concept d’insérer horizontalement un espace public transparent entre deux volumes solides évoque une grande puissance, écrit l’architecte Kengo Kuma, vice-président du jury. La répartition de ces volumes entre les deux musées et l’espace public est un élément force du projet, mais qui lui confère aussi sa flexibilité par la zone d’échange nichée au cœur même de l’édifice.» Ce dispositif séduit en tout cas les deux responsables des deux institutions qui y logeront dans le futur, Chantal Prod'Hom, directrice du Mudac et coordinatrice du Pôle, ainsi que Tatyana Franck, directrice du Musée de l’Elysée, toutes deux membres du jury.

«Je suis ravie, déclare Chantal Prod’hom. Du fond de la place, ce bâtiment nous dit: viens! Sa faille centrale lumineuse possède une capacité d’attraction qui me plaît beaucoup. Il a peut-être un côté massif, mais il nous fait un grand sourire. Ce musée fait envie et c’est important.» Avec ce bâtiment doté de toutes les facilités techniques, le Mudac voit sa surface d’exposition passer à plus de 1800 m2, avec une surface équivalente pour ses dépôts. «Avec les espaces modulables que nous aurons à disposition, il sera beaucoup plus facile d’organiser nos 6 à 8 expositions annuelles et nous pourrons bien mieux mettre en valeur notre collection d’art verrier.»

Même contentement du côté de Tatyana Franck qui pointe «l’identité propre» du nouveau bâtiment. Semi-enfoui mais profitant de lumière latérale (les tirages sont souvent fragiles) grâce à une sorte de douve le long de ses murs nord et ouest formée par ses murs et celui des locaux administratif et des dépôts, le Musée de l’Elysée bénéficiera d’une surface légèrement moindre (pas tout à fait 1700 m2) que son collègue du haut mais de dépôts bien plus grands (plus de 3500 m2), susceptibles d’accueillir les nombreux fonds photographiques de l’institution – et d’en acquérir d’autres. «Nous gardons notre identité, mais l’Elysée ne sera plus une maison transformée en musée. Enfin, nous aurons un outil de travail répondant aux normes actuelles avec des réserves triplées, ce qui est important puisque nous voulons nous imposer comme pôle de compétences pour la recherche et la conservation.»

Sans même parler de l’opposition au MCBA encore pendante au Tribunal fédéral, Pascal Broulis estime avoir encore du pain sur la planche pour réaliser le Pôle muséal dans les meilleures conditions possibles. «Comme tout bébé, il faut l’accompagner avec soin pendant ses premières années. Il faudra tenir le projet financier (ndlr: 83 millions pour le MCBA, 100 millions pour l’Elysée et le Mudac), ce que nous avons fait pour le MCBA, malgré une situation où chaque année de bloquée nous coûte de l’argent. Présenter l’exposé des motifs au parlement. Collaborer avec la Ville pour ce qui est de réaménager la place du Pôle muséal: c’est un enjeu important. Et ne pas perdre de temps: il y a en ce moment un fort engouement pour ce projet chez les collectionneurs. Si nous voulons les attirer, il faut concrétiser.» (TDG)


Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 

http://www.tdg.ch/culture/Le-Pole-museal-rassemblera-trois-musees-a-deux-pas-de-la-gare/story/14147938

Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.

A Beyrouth, le célèbre musée Sursock se réinvente

Le superbe musée Sursock rouvre ses portes jeudi à Beyrouth avec l'ambition de changer le regard des Libanais sur l'art en les attirant avec des activités interactives et ludiques.



Cet hôtel particulier érigé au début du XXe siècle dans un quartier résidentiel de la capitale libanaise était fermé depuis huit ans pour d'importantes restaurations.

Il propose, pour sa réouverture, des expositions rendant hommage à l'art libanais, avec des photos sur le Moyen-Orient réunies par le collectionneur Fouad Debbas et des peintures abstraites des années 1960, l'âge d'or du pays du Cèdre.

A l'extérieur, une arche sous deux grands escaliers monumentaux s'ouvre sur une mezzanine où le musée a l'intention d'organiser des activités inhabituelles au Liban.

"Pour beaucoup de gens un musée est un lieu de visite, un espace pour le regard. Nous espérons que celui-ci sera plus que cela et qu'il y aura une place pour l'interaction", annonce le président de Sursock, Tarek Mitri.

Le musée a ainsi programmé des visites nocturnes dans les rues de la capitale guidées par des artistes locaux ou des classes de photos pour des adolescents.

Ces projets sont une nouveauté salutaire pour les Beyrouthins car leur ville ne compte qu'une poignée de musées et très peu d'espaces publics.

"Bien que nous soyons un musée, nous devons être perçus comme un espace d'échanges et de rencontres. Il manque à Beyrouth des espaces publics, des espaces où l'on peut se chamailler, où on peut s'exprimer sans que cela ne se transforme en conflit", explique la directrice du musée Zeina Arida.

Le musée Sursock a ouvert ses portes en 1961, conformément à la volonté de son propriétaire Nicholas Sursock de voir sa demeure devenir un lieu d'exposition après sa mort.

"Ce musée a été très actif depuis son ouverture jusqu'au début de la guerre civile" en 1975, exposant des artistes locaux et internationaux, souligne la directrice. Il était notamment célébré pour son "salon d'automne", où concouraient les artistes présentant leurs dernières œuvres. Le musée a d'ailleurs l'intention de renouer avec cette compétition en 2016.

- L'art avec légèreté -

"Nous devons faire en sorte que l'approche à l'art contemporain soit légère. Les gens se rendent au musée pour apprendre mais aussi pour le plaisir, pas pour s'ennuyer", explique Zeina Arida.

Des classes de jardinages et des groupes de discussion, notamment sur les espaces publics, seront organisés durant les trois premiers mois.

Pour préserver l'architecture originale du bâtiment construit en 1912, les architectes ont fait creuser un sous-sol de 20 mètres, qui accueille la librairie, l'auditorium, des espaces d'exposition et des salles de conservation et de restauration.

L'une des ambitions du musée Sursock est de témoigner de "l'histoire de l'art à Beyrouth", souligne la directrice des collections Yasmine Chemal.

Ainsi l'exposition "Regards sur Beyrouth, 160 ans d'images de 1800 à 1960" retrace à travers 200 photos, peintures et dessins la transformation d'une petite ville côtière en une cité bourdonnante et cosmopolite dans les années 1960. Beyrouth reste aujourd'hui considérée comme l'une des villes les plus ouvertes et tolérantes du Moyen-Orient.

La propre architecture du musée témoigne de l’évolution de la ville, avec ses couloirs aux lignes pures irisés par des vitraux restaurés qui conduisent à des salons aux bois travaillés dans le style arabe.

"Un musée doit refléter la société dans lequel il se trouve. Il doit l'être pour rester pertinent, pour participer activement à la société civile. L'art, ce n'est pas seulement ce que vous voyez au mur. C'est aussi une manière de voir le monde", résume Nora Razian, responsable des activités au musée.



Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 

http://www.la-croix.com/Culture/Actualite/A-Beyrouth-le-celebre-musee-Sursock-se-reinvente-2015-10-07-1365681

Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.


MUSEO LOCAL: VENTAJAS Y PROBLEMAS DEL PLAN DE OBJETIVOS -- · en GESTIÓN, INSTITUCIONES,MUSEO, MUSEOGRAFÍA. ·

El establecimiento de un plan sistemático en la determinación de los objetivos que deben ayudar al museo para la consecución de su misión principal, podría ser una ventaja desde un punto de vista “ojo de águila”, o no. Recordemos aquellas famosas reuniones de puesta en común de ideas en ebullición con todos los agentes activos del museo, además de una representación de los visitantes y con líderes de opinión, recopilando conclusiones que buscaban transformarse en acciones concretas, en ocasiones demasiado concretas y restringidas – encorsetadas -, de ahí que nos podamos encontrar con un serio problema. La restricción o demasiada definición en los objetivos que se proponen y que debemos conseguir indefectiblemente, puede convertirse en una tarea imposible para todos los implicados en el proceso.


Las dificultades, cuando se trata de alcanzar un determinado objetivo complejo, nos conducirán irremisiblemente a la frustración, y la experiencia nos dice que esos objetivos complejos acaban escritos en un papel escondido en un cajón cerrado para siempre. Ese mapa de acción deja de ser un plan vivo, deja de ser una hoja de ruta que nos indique el correcto camino a seguir, es, en realidad, un dolor de muelas. Todo este proceso de la ejecución del plan de objetivos, se hace aun más difícil para aquellos que se incorporan a las labores del museo, ya pasado el proceso de defección de objetivos entre todos, comprobando, al haber fuera de su diseño, que no sienten demasiado compromiso en su cumplimiento. Se disparan las alarmas.


El problema más importante que se encontrarán aquellos que velen por la consecución del plan de objetivos del museo, es que no todos los grupos (tanto antiguos como nuevos) van a estar seguros de que esos objetivos sean verdaderamente útiles. Pueden ser una parte activa importante, pero cuando finalmente persiguen y ejecutan sus propias ideas creyendo que esas sí son las buenas, cuando van por libre, sobre todo cuando persiguen objetivos que nos están consensuados por todos, todo se va a la porra. Ese sí es un problema importante con difícil solución para el museo.


Nadie está a salvo de que haya problemas relacionados con la consecución de objetivos definidos en un plan previo, sobre todo en el caso de planes sistemáticos, no adaptables a cualquier circusntancia y poco flexibles. Todo pasa, creemos, por diseñar una estrategia a largo plazo para generar, crear, modificar y transmitir una lógica coherente y asequible a todos, para la existencia – en algunos casos la pura supervivencia – del museo y sus miembros. La definición de objetivos razonables, realistas y asequibles entendidos por todos, que cuentan con el respaldo y colaboración de la mayoría de las fuerzas vivas del museo parten, de mano, con grandes ventajas. Algunas de estas ventajas, son:
Difundir el mensaje del museo: los objetivos son buenos para las relaciones públicas. Nos proporcionan las bases para transmitir públicamente la esencia de la misión del museo. El objetivo concreto es dejar muy claro la razón de su existencia y mostrar que se está haciendo un gran esfuerzo para ofrecer un servicio valiosísimo a la comunidad a la que pertenece y la sociedad en general.
Fijarnos en los aspectos verdaderamente importantes para el museo: los objetivos debe proporcionar un esquema previo para la investigación y recopilación de datos fundamentales para iniciar una investigación interna y diseñar un DAFO. Aquí podemos resaltar el capítulo relacionado con la búsqueda de financiación y la colaboración con otros museos.
Supervisar que todos los grupos activos del museo se guíen por un mismo plan de acción: nada de individualismos, aquí no hay espacio para la improvisación, pero sí para la flexibilidad. Esto ayuda a evitar la defensa de “intereses particulares” que poco tienen que ver con la marcha general del museo, y no digamos los fangosos planes ocultos.
Facilitar que el museo se muestre desde diversos puntos de vista: los objetivos neutrales ayudan a que las identidades se expongan desde diferentes perspectivas para que el visitante decida por sí mismo el significado de la experiencia en el museo.
Promover el consenso y la colaboración entre los grupos activos del museo: se tenderá más a colaborar en las actividades de los demás si todo el mundo es consciente de que los objetivos son bienes comunes y todos los conocen por haber formado parte en su definición.
Apoyar siempre la planificación estratégica: el futuro del museo dependerá de si tenemos una visión clara de hacia dónde vamos y cómo llegaremos hasta allí. Esto es aplicable a todos los ámbitos de la vida, dejando al margen influencias externas que varían nuestra trayectoria predefinida; es ahí donde nunca debe faltar un plan de contingencia estratégica.


Normalmente los problemas se originan a partir del establecimiento de un plan turbio, laberíntico, personalista, poco participativo, con la falta del método añadido para su correcta ejecución. Podemos definir perfectamente lo que es la costura, pero si queremos coser necesitaremos una aguja, la tela, hilo y muy buena vista; si solo disponemos de aguja e hilo, no hay zurcido para los pantalones.


El museo es en realidad lo que los agentes involucrados en su marcha quieren qué sea, lo que haya que hacer para que logre serlo, el cómo se toman las decisiones para que el fin sea más sencillo en su consecución, alcanzable para todos esos grupos activos del museo y que así acaben definiendo, con claridad meridiana, su razón de existir.


Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 


Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.

The cultural sector has faced more ‘threats’ since: in the 50s

Digitally, more accessible and humane

Those of you who read the summary of this presentation will know why I am using the image of a radio on the cover slide. A few years ago, the Kennedy Center in Washington DC was informed by a lawyer that one of his clients had left them $5,000 in his will. They did not know the person. They found out that he was a man who suffered from obesity and, due to his condition, could not get out of home. One of his greatest pleasures in life was listening on the radio to the concerts of the National Symphony Orchestra (the resident orchestra at the Kennedy Center)…




There was a time when radio was the ‘new technology’ and thus a ‘threat’ to the traditional way of attending a performance. Orchestra conductor Thomas Beecham believed that the radio would keep people away from concert halls and scolded the ‘wireless authorities’ for doing ‘devilish work’.

The cultural sector has faced more ‘threats’ since: in the 50s the ‘devil’ was probably the television; in the 90s the websites; in the 2000s the You Tube, the apps, the livestreaming of performances. There was a time when the idea of ​​putting online museum collections made museum professionals tremble, as they imagined empty rooms and people glued on their computer screens, delighted with photos of objects.

I believe that none of these or other threats were confirmed. From radio to television, from CDs to videos, from PDAs to apps that one can download on his phone, from audio guides to robots and 3D printing, new technologies have always provided opportunities for cultural institutions to overcome barriers and involve people differently - creatively and imaginatively.

There are a number of reasons why people might stay away from what cultural organizations have to offer. In this presentation we shall concentrate on access – on physical, social and intellectual barriers that digital technology can help overcome.

People may not have access to specific cultural content because of distance or because of their age, an illness or a disability that keeps them at home or confined to bed. Technology has allowed museums and other cultural institutions to make their offer accessible to those people - their followers online and offsite.

Of course, for those working with museums, the first thing that comes to mind is the Google Art Project. The opportunity to visit from one’s own home a number of museums around the world and to have a close look at their collections. Closer than we might actually have if we were physically there. I cannot forget an article I read in the Guardian when the project was launched, where Nicholas Serota, director of the Tate, confessed that it was the first time he had actually realised that in Pieter Bruegel’s “The Harvesters” there is a tiny scene in the background where a family is enjoying a rather cruel game of throwing sticks at a tied-up goose. “Next time I'm in New York I shall take a closer look", he had said at the time.

In August 2014, there was heavy traffic in Tate Britain galleries after hours. Four robots, equipped with cameras, took people from all over the world, via the internet, through the museum rooms. Live commentary on 500 years of British art was provided by Tate’s art experts. A few lucky people, chosen at random, were given the opportunity to actually control a robot themselves, navigating their own journey around the museum.

It is also thanks to robots that Henry Evans, who is quadriplegic and mute, may visit a number of museums around the world and have one-to-one tours. He can only move his head, but this allows him to access the Internet, use a voice synthesizer and also to pilot telepresence computers.

The Metropolitan Opera is celebrating this year 10 years of live high definition transmissions, which brought its performances to thousands more people in cinema rooms all over the world, beating the distance, but also at a more affordable price. The National Theatre in London and other cultural organisations followed suit. People inquired after these transmissions said that they opted for the cinema either because the performance was sold out or because they lived far from London or because they wanted to convince a friend who doesn’t normally go to the theatre (cinema tickets are cheaper). The majority of the people inquired, 75%, stated that they wouldn’t mind paying more the next time to watch the performance live at the National Theatre. The National Theatre also offers a special service for schools: through “National Theatre. On demand. In schools” teachers can stream its productions direct to their classrooms for free (read NESTA's Beyond Live report)

In addition, technology has helped cultural institutions to deal with barriers in their own space and make their offer more accessible to visitors with disabilities.

A traditional visit to a museum is not very interesting for a blind person, when objects are usually behind glass or cannot be touched, when descriptions are only written (but not in braille) or when audioguides do not include audiodescription. A number of museums, like the Metropolitan Museum of Art, have digitalized their audiodescribed tours, so blind visitors can actually upload the app on their own cell phone for free or use one of the devices available at the museum, and listen to comprehensive descriptions of the objects exhibited in whichever order they wish. And not just that. Thanks to a network of wireless audio beacons at key destinations in the museum, blind and visually impaired people may navigate in the space independently. Furthemore, 3D printing allows museums to make affordable copies of exhibits that may be touched by blind people, thus going beyond the description and completing the experience.

Another important development is the use of digital technology for the production of enhanced content, richer and more detailed, which allows people to personalize their visit and have access to information and knowledge according to their interests and needs, both onsite and offsite.

One of the projects we can learn a lot from, is Brooklyn Museum’s Ask app. An app that allows visitors to ask museum staff any question regarding the objects exhibited and get answers in real-time using their own cell phones. The museum can answer the question and also make some suggestions – since a network of beacons allows it to identify the visitors’ location; at the same time, it can evaluate the efficiency of its written communication (panel and label texts), as repeated questions by visitors point to failures, omissions and possible improvements. We can learn a lot about this project, because the Brooklyn Museum has shared on their blog all phases of developing, testing and launching the app.

But, of course, this is a rather sophisticated and expensive project. The Brooklyn Museum has got generous financial support to develop it. A less sophisticated project, which had the same objective (answering people’s questions), was “125 questions for the Van Gogh Museum”. In order to celebrate the 125th anniversary of the painter’s death, the Museum invited people to submit their questions online and selected 125 of them. Apart from the buzz the initiative created, widely shared and commented on different social media, I believe that the museum managed to get – in a less sophisticated and expensive way – valuable feedback on people’s questions, doubts and interests regarding Van Gogh.

Moving beyond questions and answers, a basic but truly necessary interaction, museums have been also investing on:

augmented reality apps

online games and contests – have a look at “An #etsie from your selfie” (Rijksmuseum) or the photo contest “A girl with a pearl earring in a reproduction of your home” (Mauritshuis)

videos with high quality images that allow to explore the collections in different ways – have a look at the Metropolitan Museum’s “82nd and 5th” project

digitalization of museum libraries and publications

downloadable audio and visual guides

and, of course, there’s Google Glass too…


And for those who tend to think that digital technology and apps in particular are nothing but a quick and superficial encounter, something that doesn’t really allow people to engage intellectually, how about the Wellcome Collection’s Mindcraft, an immersive and interactive tool that describes the history of hypnotism over the course of a six-chapter digital story? As Danny Birchall, Digital Manager at London’s Wellcome Collection, puts it, “[…] if museums can deliver snacks, why not three-course meals?

The possibilities are infinite. And one we should also touch upon is that of involving people creatively with museum collections. While some museums feel terrified with open access rules, others find enormous benefits in encouraging people to use and re-use creatively the content available, from the production of educational materials to merchandising – like toilet paper. In my opinion, the Rijksmuseum and its Rijksstudio are definitely blazing a trail.


The last point I would like to make relates to humanizing cultural organizations. And I don’t mean in some “pervert” way of technology and machines substituting human relationships and encounters. What I mean is turning them into something more than scary buildings reserved for the “initiated”. 

Showing that there are people working behind the walls, people who are interested in connecting with other people and share their passion, experience, knowledge, values, ideas, but also their daily work behind-the-scenes, which is what attracts, I believe, a wider and curious audience. 

Digital technology has allowed cultural institutions to do this in a less institutionalized manner, with a sense of humour and with the aim of creating connections, being more open and becoming more relevant.

A couple of years ago, the Royal Opera House invited people to join them for a day behind the scenes through YouTube. The New York City Ballet did a series of videos with Sarah Jessica Parker and talked about everything: dancers, choreographers, shoes, make-up, injuries, all aspects of being a part of a major dance company. The Whitney Museum has a series of videos online, called Whitney Stories, where members of staff talk about their work (my favourite is that of Vincent Punch, a museum guard who takes photos of visitors). Finally, the Metropolitan Museum Director, Thomas Campbell, shares his love and very special view of the Met with approximately 16.000 people on Instagram, while other museum directors are very active on Twitter or Facebook.

Technology is a means, it is not in itself a threat or an opportunity. There are two things that I believe are crucial for museums, and cultural organizations in general, when building their strategies:

They shouldn’t be doing it because everybody else does it. It is necessary to consider the institution’s resources – human, financial, technical – in order to build a realistic plan that will help reach the objectives efficiently.

They should consider the specificities of every medium and choose the platform, language and tone that better suits the institution’s brand, its identity. Not every medium suits every institution and it’s not all about sharing our calendar of events - it can and should be more exciting than that for everyone!

Having said that, there is no doubt in my mind that digital technology – used with appropriate technical knowledge and a sensitivity for the specificities of the cultural sector – offers considerable advantages for overcoming physical, social and intellectual barriers. We shouldn’t be afraid of it: it doesn’t have a life of its own and it isn’t trying to take our friends away from us. It actually makes them wish they were closer when they are not. And it can answer their specific needs when they are here. Technology can – and does - help us become more accessible and build a more humane and sustainable relationship with people.

Presentation at the Congress of Digital Humanities
 in Portugal, Universidade Nova de Lisboa, 8. 10. 2015


Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 

http://musingonculturextra.blogspot.pt/2015/10/digitally-more-accessible-and-humane_8.html

Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.



--br
O sector cultural tem enfrentado mais "ameaças" desde: na década de 50

Digitalmente, mais acessível e humana

Aqueles de vocês que ler o resumo desta apresentação vai saber por que eu estou usando a imagem de um rádio na cobertura deslizante. Há alguns anos, no Kennedy Center em Washington DC foi informado por um advogado que um de seus clientes lhes deixara US $ 5.000 em sua vontade. Eles não sabiam a pessoa. Eles descobriram que ele era um homem que sofria de obesidade e, devido ao seu estado, não podia sair de casa. Um de seus maiores prazeres da vida estava ouvindo no rádio para os concertos da Orquestra Sinfônica Nacional (a orquestra residente no Kennedy Center) ...

Houve um tempo em que o rádio era a "nova tecnologia" e, portanto, uma "ameaça" para a forma tradicional de assistir a uma performance. Maestro de orquestra Thomas Beecham acreditava que o rádio iria manter as pessoas longe de salas de concerto e repreendeu as autoridades wireless 'para fazer' trabalho diabólico ".

O sector cultural tem enfrentado mais "ameaças" desde: na década de 50

o "diabo" foi provavelmente a televisão; na década de 90 os sites; na década de 2000 o You Tube, os aplicativos, a Transmissão de performances. Houve um tempo em que a idéia de colocar coleções de museus on-line efectuadas profissionais de museus tremer, como eles imaginavam salas vazias e as pessoas coladas em suas telas de computador, encantado com fotos de objetos.

Eu acredito que foram confirmados nenhuma destas ou outras ameaças. Do rádio para a televisão, a partir de CDs de vídeos, a partir de PDAs para aplicativos que um pode fazer o download em seu telefone, a partir de guias de áudio para robôs e impressão em 3D, as novas tecnologias têm sempre proporcionou oportunidades para as instituições culturais para superar as barreiras e envolver as pessoas de forma diferente - de forma criativa e imaginativamente.

Há uma série de razões pelas quais as pessoas podem ficar longe do que as organizações culturais têm para oferecer. Nesta apresentação vamos concentrar-se no acesso - sobre barreiras físicas, sociais e intelectuais que a tecnologia digital pode ajudar a superar.

As pessoas podem não ter acesso ao conteúdo cultural específico por causa da distância ou por causa de sua idade, uma doença ou uma deficiência que os mantém em casa ou confinado à cama. A tecnologia tem permitido museus e outras instituições culturais para tornar a sua oferta acessível para as pessoas - seus seguidores on-line e off-site.

Claro que, para aqueles que trabalham com museus, a primeira coisa que vem à mente é o Google Art Project. A oportunidade de visitar a partir de sua própria casa uma série de museus ao redor do mundo e ter um olhar mais atento sobre as suas colecções. Mais perto do que poderia realmente ter se estávamos fisicamente lá. Eu não posso esquecer um artigo que li no The Guardian, quando o projeto foi lançado, onde Nicholas Serota, diretor da Tate, confessou que era a primeira vez que ele tinha realmente percebi que em Pieter Bruegel "As ceifeira" há uma pequena cena em o fundo onde a família está desfrutando de um jogo bastante cruel de atirar paus em um ganso amarrado. "Da próxima vez que estou em New York Vou dar uma olhada", ele disse na época.

Em agosto de 2014, houve trânsito intenso nas galerias Tate Britain após horas. Quatro robôs, equipados com câmeras, levou pessoas de todo o mundo, através da Internet, através das salas do museu. Comentário ao vivo em 500 anos de arte britânica foi fornecido por especialistas em arte Tate. Algumas pessoas de sorte, escolhidos ao acaso, foi dada a oportunidade de realmente controlar um robô-se, navegar sua própria viagem ao redor do museu.

É também graças a robôs que Henry Evans, que é tetraplégico e mudo, pode visitar uma série de museus ao redor do mundo e têm um-para-um passeios. Ele só pode mover a cabeça, mas o que lhe permite aceder à Internet, use um sintetizador de voz e também a pilotar computadores de telepresença.

O Metropolitan Opera está comemorando este ano 10 anos de emissões em alta definição ao vivo, que trouxeram suas performances para milhares de pessoas em salas de cinema de todo o mundo, superando a distância, mas também a um preço mais acessível. O Teatro Nacional de Londres e outras organizações culturais seguiram o exemplo. As pessoas perguntam por estas transmissões disse que optou pelo cinema ou porque o desempenho foi vendido para fora ou porque viviam longe de Londres ou porque queriam convencer um amigo que normalmente não ir ao teatro (bilhetes de cinema são mais baratos). A maioria dos inquiridos, 75%, afirmaram que não se importam em pagar mais da próxima vez para assistir ao vivo desempenho no Teatro Nacional. O Teatro Nacional também oferece um serviço especial para as escolas: através de "Teatro Nacional. Sob demanda. Nas escolas "os professores podem transmitir suas produções diretamente para suas salas de aula para livre (leia relatório Beyond Live NESTA)

Além disso, a tecnologia tem ajudado as instituições culturais para lidar com os obstáculos em seu próprio espaço e tornar a sua oferta mais acessível aos visitantes com deficiência.

A tradicional visita a um museu não é muito interessante para uma pessoa cega, quando os objetos são geralmente atrás de um vidro ou não pode ser tocado, quando as descrições são apenas escrito (mas não em braille) ou quando audioguides não incluem audiodescrição. Um número de museus, como o Metropolitan Museum of Art, já digitalizou seus passeios audiodescribed, para que os visitantes cegos pode realmente fazer o upload do aplicativo em seu próprio telefone celular de graça ou usar um dos dispositivos disponíveis no museu, e ouvir as descrições abrangentes de os objetos expostos em qualquer ordem que desejar. E não apenas isso. Graças a uma rede de faróis de áudio sem fio em destinos chave no museu, as pessoas cegas e deficientes visuais podem navegar no espaço de forma independente. Furthemore, impressão 3D permite museus para fazer cópias acessíveis de exposições que podem ser tocadas por pessoas cegas, indo assim além da descrição e completar a experiência.

Outra evolução importante é o uso da tecnologia digital para a produção de conteúdo avançado, mais rica e detalhada, que permite às pessoas para personalizar sua visita e ter acesso a informações e conhecimentos de acordo com seus interesses e necessidades, tanto no local e externo.

Um dos projetos que podemos aprender muito com, é Pergunte app do Brooklyn Museum. Um aplicativo que permite que os visitantes para pedir o pessoal do museu qualquer pergunta sobre os objetos expostos e obter respostas em tempo real utilizando seus próprios telefones celulares. O museu pode responder à pergunta e também fazer algumas sugestões - desde uma rede de beacons permite identificar a localização dos visitantes; ao mesmo tempo, ele pode avaliar a eficiência de seus (textos do painel e do rótulo) de comunicação escrita, como repetidas perguntas por visitantes apontar para falhas, omissões e possíveis melhorias. Podemos aprender muito sobre este projeto, porque o Brooklyn Museum compartilhou em seu blog todas as fases de desenvolvimento, testando e lançando o aplicativo.

Mas, evidentemente, esta é um projecto bastante sofisticado e caro. O Museu do Brooklyn tem generoso apoio financeiro para desenvolvê-lo. Um projeto menos sofisticada, que tinha o mesmo objetivo (respondendo às perguntas das pessoas), foi "125 perguntas para o Museu Van Gogh". Para celebrar o 125º aniversário da morte do pintor, o Museu convidou as pessoas a apresentarem as suas perguntas on-line e selecionados 125 deles. Além do zumbido a iniciativa criado, amplamente partilhada e comentada em diferentes meios sociais, eu acredito que o museu conseguiu - de uma forma menos sofisticado e caro - um valioso feedback das pessoas sobre questões, dúvidas e interesses sobre Van Gogh.

Indo além perguntas e respostas, uma interação básico, mas realmente necessário, os museus têm também vindo a investir em:

aplicativos de realidade aumentada
jogos e concursos online - dê uma olhada no "An #etsie do seu selfie" (Rijksmuseum) ou o concurso de fotografia "Uma menina com um brinco da pérola em uma reprodução de sua casa" (Mauritshuis)
vídeos com imagens de alta qualidade que permitem explorar as coleções de diferentes maneiras - dê uma olhada no projeto do Museu Metropolitan "82 e 5"
digitalização de bibliotecas museus e publicações
download de áudio e guias visuais
e, claro, há o Google de vidro também ...

E para aqueles que tendem a pensar que a tecnologia digital e aplicativos em particular, são nada mais que um encontro rápido e superficial, algo que realmente não permitir que as pessoas se envolvam intelectualmente, como sobre a da Coleção Wellcome Mindcraft, uma ferramenta imersiva e interativa, que descreve o história do hipnotismo ao longo de uma história digital de seis capítulo? Como Danny Birchall, Gerente Digital na Wellcome Collection, em Londres, diz, "[...] se os museus podem entregar lanches, por que não refeições de três pratos?

As possibilidades são infinitas. E uma também devemos abordar é a de envolver as pessoas de forma criativa com coleções de museus. Enquanto alguns museus sentir aterrorizado com as regras de acesso aberto, outros acham enormes benefícios em incentivar as pessoas a usar e re-uso criativamente o conteúdo disponível, a partir da produção de materiais educativos ao merchandising - como papel higiênico. Na minha opinião, o Rijksmuseum e sua Rijksstudio são, definitivamente, abrindo caminho.



O último ponto que gostaria de fazer refere-se a humanizar as organizações culturais. E eu não quero dizer de alguma forma "pervertido" de tecnologia e máquinas que substituem as relações humanas e encontros. O que quero dizer é transformá-los em algo mais do que edifícios assustadores reservados para o "início".

Mostrando que há



pessoas que trabalham por trás das paredes, as pessoas que estão interessadas em se conectar com outras pessoas e compartilhar sua paixão, experiência, conhecimento, valores, ideias, mas também seu trabalho diário por trás das cenas, o que é o que atrai, creio eu, um mais amplo e público curioso.


A tecnologia digital permitiu que as instituições culturais para fazer isso de uma forma menos institucionalizado, com um senso de humor e com o objectivo de criação de conexões, sendo mais abertos e cada vez mais relevante.



Um par de anos atrás, a Royal Opera House convidou as pessoas a se juntar a eles para um dia nos bastidores através do YouTube. O New York City Ballet fez uma série de vídeos com Sarah Jessica Parker e falou sobre tudo: dançarinos, coreógrafos, sapatos, maquiagem, lesões, todos os aspectos de ser uma parte de uma grande companhia de dança. O Museu Whitney tem uma série de vídeos on-line, chamado Histórias Whitney, onde os membros da equipe falar sobre seu trabalho (o meu favorito é o de Vincent Punch, um guarda do museu que leva fotos de visitantes). Finalmente, o Metropolitan Museum Director, Thomas Campbell, compartilha seu amor e vista muito especial do Met, com cerca de 16.000 pessoas no Instagram, enquanto outros diretores de museus são muito ativos no Twitter ou Facebook.

A tecnologia é um meio, não é em si uma ameaça ou uma oportunidade. Há duas coisas que eu acredito que são cruciais para museus e organizações culturais em geral, quando a construção de suas estratégias:

Eles não deveriam estar fazendo isso porque todo mundo faz isso. É necessário considerar os recursos da instituição - humanos, financeiros, técnicos -, a fim de construir um plano realista que irá ajudar a alcançar os objetivos de forma eficiente.

Eles devem considerar as especificidades de cada meio e escolher a plataforma, linguagem e tom que melhor se adequa a marca da instituição, a sua identidade. Nem todos os ternos de médio a cada instituição e não é tudo sobre o compartilhamento de nosso calendário de eventos - que pode e deve ser mais emocionante do que para todos!
Dito isto, não há nenhuma dúvida em minha mente que a tecnologia digital - usado com conhecimentos técnicos adequados e uma sensibilidade para as especificidades do sector cultural - oferece vantagens consideráveis ​​para ultrapassar as barreiras físicas, sociais e intelectuais. Não devemos ter medo dele: ele não tem uma vida própria e não está tentando tirar nossos amigos longe de nós. Ele realmente faz-los gostaria que eles estivessem mais perto quando eles não são. E ele pode responder às suas necessidades específicas, quando eles estão aqui. A tecnologia pode - e faz - nos ajudar a tornar-se mais acessível e construir um relacionamento mais humano e sustentável com as pessoas.



Apresentação no Congresso de Humanidades Digital em Portugal, Universidade Nova de Lisboa, 8. 10. 2015

Amber Museum - Rivne, Ukraine

The museum is open at the basis of Rivne amber factory (the only company of its kind in the country) and placed in the House of Scientists, which itself is a kind of masterpiece of the beginning of the XX century. 



Among the exhibits there are pieces of amber under 40 million years old, which were found in the Rivne region. In addition to the stones themselves, you can see the decorations are made with its use. Among the collection is a disc amulet 2,500 years old, which considered the oldest amber decoration in Ukraine. There is also a wild amber stone weighing 2 kg, but the most valuable exhibits are those stones, which can be seen fossilized insects.

--
The Amber Museum in Rivne region has opened to the public. The museum at the Amber of Ukraine public enterprise was established long ago. But only official delegations could attend it. Nowadays the museum of the 'sun stone' is removed outside the entity, making it available for public and with no admission fee.

Oleksy Hubanov, Deputy Head of the Regional Administration, at the official opening ceremony stressed that it is the first signs that will make a Rivne region unique amber treasure popular. Implementation of other image projects is scheduled for the coming future. They have been kept in secret so far.

The experts of the enterprise are ready to hold excursions, showing visitors both ancient and modern jewelries, which are offered for sale.

West Ukraine's Rivne region is the only one in the country which has amber deposits, those discovered make up 210 tons and those promising amounts to 1,400 tons.

Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti
http://ua.igotoworld.com/en/poi_object/69599_muzey-yantarya-v-rovno.htm
http://ukraine.ui.ua/en/dostoprimechatelnosti-ukrainy/dostoprimechatelnosti-rovno/muzey-yantarya
http://www.ukrinform.net/rubric-ukrnews/1013365-amber_museum_in_rivne_region_opens_for_attendants_192643.html

Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.