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quinta-feira, 15 de outubro de 2015

Musée chorégraphique vivant - Museu de Arte Moderna de Nova York - Boris Charmatz

À l’invitation de Benjamin Millepied, Boris Charmatz transmet aux danseurs du Ballet de l’Opéra de Paris une de ses œuvres- phares, 20 danseurs pour le XXe siècle. « Exposition collective », elle permet au public de déambuler dans les espaces publics du Palais Garnier à la rencontre des danseurs de la Compagnie et de 80 solos, extraits de pièces du XXe siècle. Un moment inédit et savoureux.

Museum of Modern Art of New-York
© César Vayssié

Première de vos œuvres à entrer au répertoire du Ballet de l’Opéra de Paris, 20 danseurs pour le XXe siècle est un projet à géométrie variable. Il a connu différentes étapes publiques, notamment au MoMA à New York et à la Tate Modern à Londres. De quelles motivations ce projet répond-il ? 

Boris Charmatz : Ce projet traite de la mémoire et de l’histoire. Il propose aux danseurs et au public de se placer au niveau du travail de studio, au niveau des matériaux qui font de la danse une pratique et une pensée chevillée au corps. J'ai eu l'intuition que cette sorte de « librairie chorégraphique vivante » pouvait être adaptée au Corps de Ballet et à son répertoire.

De la Boîte-en-valise de Marcel Duchamp au Musée des aigles de Marcel Broodthaers en passant par le MOMAS de Martin Kippenberger, nombreux sont les projets d’artistes qui, au XXe siècle, ont éprouvé la nécessité de questionner la notion de « musée ». Chacun a ainsi interrogé le rôle de l’institution muséale dans son rapport à la société, aux œuvres et au public. Dans le domaine chorégraphique, ce type d’interrogation est longtemps demeuré plus lacunaire, sinon absent. Or, vous avez fait le pari de conjoindre, à votre pratique d’artiste, celle de direction d’une institution qui précisément porte ce nom de « Musée ». De quelle manière 20 danseurs pour le XXe siècle s’inscrit-il dans l’horizon de ce chantier au long cours dans lequel vous êtes engagé ?

B.C. : 20 danseurs pour le XXe siècle est l’un des protocoles de travail que nous avons inventé pour faire exister ce Musée de la danse, installé à Rennes(1). Mais nous avons aussi réalisé des expositions monographiques autour de Jérôme Bel, Xavier Le Roy, Anne Teresa De Keersmaeker, La Ribot ou prochainement Yvonne Rainer, ainsi que d’autres thématiques, telles que Krump ou Danse-Guerre. Nous avons également produit nombre d’œuvres imaginées par les artistes pour la naissance de ce musée d’un genre nouveau. Nous avons transformé la Tate Modern de Londres en Musée de la danse pour quarante-huit heures(2) avec la participation d’une centaine d’artistes, ou encore investi l’espace public(3) avec une danse conçue comme une flamme à entretenir pendant douze heures, mêlant pédagogie, transmission, chorégraphies, dance floor, folklore et art contemporain pour des foules qui fabriquaient en grande partie elles-mêmes les mouvements de cet évènement. L'invention de formats collectifs d'exposition est devenue une caractéristique de ce projet. Le Musée de la danse est un outil imaginé pour structurer ce désir nécessaire de faire se confronter ce qui habituellement ne se rencontre pas : des corps et des pensées, des amateurs et des professionnels, l’art contemporain et la danse, l’histoire et l’improvisation sauvage, le local et l’international, avec un projet dont la majeure partie des gestes est créée à Rennes avant de s’évader et de voyager ailleurs. Tant que le Musée de la danse nous aide à penser le contemporain et ses nombreuses angoisses, alors il faut continuer cette tentative qui n’a pas encore trouvé de bâtiment pérenne à sa mesure : à moins que les architectures que nous investissons de manière éphémère correspondent finalement le mieux à cet art de la danse qui est réputé si insaisissable ? Et puis, le Musée de la danse travaille avec des personnes de tous horizons confondus : architectes, artistes visuels, amateurs, enfants, danseurs au sens le plus large possible, historiens, archivistes, penseurs de tous ordres… Il fallait sans doute qu’un jour nous travaillions aussi avec le Corps de Ballet de l’Opéra de Paris. C'est d'ailleurs une situation étrange : j'ai été formé à l’École de danse de l’Opéra, et j’y suis invité à l’heure où la génération de danseurs à laquelle j’appartiens part à la retraite…


Quels principes artistiques structurent votre projet 20 danseurs pour le XXe siècle ? 

B.C. : Il s’agit d’une exposition collective du Musée de la danse, qui se visite comme telle : une vingtaine de danseurs interprètent et s’essaient à des gestes issus de corpus chorégraphiques du XXe siècle, et les visiteurs peuvent librement circuler à la rencontre d’environ soixante-dix solos et extraits de pièces. Le répertoire abordé dans cette version parisienne est puisé pour partie dans le répertoire des danseurs eux-mêmes ou de celui, historique, du Ballet de l'Opéra de Paris (qui ne leur est pas nécessairement familier aujourd'hui). Nous avons ensuite "greffé" un répertoire un peu plus transversal et transgressif, issu des précédentes éditions de l’exposition. Une quinzaine d’artistes ont notamment accepté de prêter leurs danses aux danseurs de ce projet. Il ne s’agit pas d’une vision exhaustive ou universitaire de la danse du XXe siècle, mais d’une sorte de « carottage » momentané, né du contexte de notre travail et des artistes qui ont eu le désir de participer à cette aventure. Nous effectuons des courts-circuits et des sauts culturels improbables : on peut tomber nez à nez avec des chorégraphies de pionniers de la danse moderne comme avec des évocations de performances des années 1970, puis passer sans transition d’un fragment de William Forsythe à une session d’improvisation ou de Voguing. Il s’agit bien de 20 danseurs pour le XXe siècle, et non de 20 chorégraphes pour le XXe siècle : ce sont les danseurs qui librement cherchent les moyens d’interpréter du jazz ou du butō, des danses de Valeska Gert, de Dominique Bagouet ou de Trisha Brown : c’est dans et par leur corps que le musée s’épanouit. Lors de précédentes éditions de ce projet, notamment à la Tate Modern ou au MoMA ou encore dans un mémorial de la Seconde Guerre mondiale à ciel ouvert à Berlin, l’exposition était visible 5 heures ou parfois plus, mais pour l’Opéra nous avons réduit cette durée à une heure trente et à trois heures les samedis. Nous dansons dans les salons et foyers publics afin de renouer « étrangement » avec la proximité historique des abonnés et des danseurs. Et surtout de nous confronter à la danse sans l’appareil habituel des spectacles de l’Opéra, dans un dénuement et une liberté qui conviennent bien aux gestes de la modernité que nous essayons d’approcher.


Jacques Drillon souligne que « c’est parce qu'on refuse à l'interprète son statut de créateur qu'on lui refuse le droit de se situer dans le cours de l'histoire(4) ». L’opus que vous présentez cette saison à l’Opéra de Paris se présente comme une riposte à cette situation. Il s’inscrit aussi dans une logique qui caractérise tout un pan de la création chorégraphique européenne depuis une vingtaine d’années. Ici et là, on a pu assister à l’émergence d’une constellation d’initiatives qui vont dans ce sens et témoignent d’une attention portée à l’histoire des œuvres ainsi qu’au rôle qu’y jouent les danseurs, et non plus seulement les chorégraphes. Vous-même avez conçu un projet qui contribue entre autres à offrir une visibilité élargie à ce type de démarche : le Musée de la danse que vous dirigez à Rennes depuis sept ans. De quelle manière 20 danseurs pour le XXe siècle procède-t-il cette dynamique élargie ?

B.C. : Je suis moi-même danseur pour d’autres chorégraphes et artistes, d’Odile Duboc ou Meg Stuart à Anne Teresa De Keersmaeker ou Tino Sehgal aujourd’hui. Et je pense, tout en respectant absolument la force des auteurs, que depuis cette expérience qui est celle du danseur, il est possible de redéfinir ce qui fait histoire, mémoire, invention et politique dans le champ de la danse. Le Musée de la danse, par le prisme des danseurs, défend une conception élargie de la danse (qui donne également son nom au concours annuel que nous avons initié en coopération avec le Théâtre de la Ville à Paris). Nous souhaitons inventer un nouveau type d’espace public par et pour la danse, qui ne soit ni une école ni un théâtre, et nous le faisons avec l’idée que tout le monde peut expérimenter avec la danse, dans une vision historique élargie dans laquelle les actionnistes viennois, Charles Chaplin, Vito Acconci et même Tex Avery ont quelque chose à nous apprendre pour inventer les gestes nécessaires d’aujourd’hui comme ceux de demain. Nous inventons ce musée en faisant un peu d'archéologie expérimentale et en travaillant surtout avec les artistes contemporains, à partir du travail de Vera Mantero ou d’Alain Buffard par exemple, également présentés dans ce projet à l'Opéra.Musée chorégraphique vivant - Entretien avec Boris Charmatz6 images


Jean-Christophe Bailly note que « tout le travail d'interprétation des œuvres du passé revient à desserrer à nouveau leur tissu ». Il ajoute qu’interpréter « c'est disjoindre, c'est rendre à la formation ce qui a été formé, c'est ne jamais écouter une réponse, c'est au contraire reformer une question, rejouer un dispositif de doute et d'aventure(5) ». À cet égard, de quelle manière travaillez-vous avec les danseurs du Ballet de l’Opéra de Paris, dont la formation, le parcours et les conditions quotidiennes de travail sont en partie distincts de ceux avec lesquels vous avez coopéré jusqu’à ce jour ?

B.C. : Il importe de préciser d’emblée que je n’ai pas choisi le groupe des danseurs avec lesquels je travaille : ils se sont portés volontaires pour ce projet car je n’ai pas souhaité procéder à une audition comme cela se pratique le plus souvent. Nous avons d’abord pas mal discuté de ce qu’ils avaient envie de danser, mais aussi de ce qui nous motivait, tous et chacun, à l’occasion de ce projet. Nous avons très vite dansé, échangé des danses, travaillé à élargir nos tissus culturels respectifs : ils m’ont convaincu de faire figurer Noureev dans ce répertoire, et accepté aussi de tenter d’apprendre du Vera Mantero ou du Mike Kelley ! Et c’est un immense plaisir de travailler avec eux, même si cela n’a absolument rien à voir avec le fait de travailler avec les artistes présents lors des autres éditions de ce projet : on ne peut pas comparer Ko Murobushi tétanisant l’atmosphère par son savoir immémorial et un danseur qui regarde quasiment pour la première fois une danse butō pour tenter d’en trouver les ressorts intimes… Cependant, c’est cet écart entre la solidité des savoirs et des techniques développée à l’Opéra et la fragilité du lien avec les modernités artistiques les plus astringentes qui fait le cœur de cet essai aujourd’hui.

20 danseurs pour le XXe siècle sera présenté, non sur la scène du Palais Garnier mais dans certains de ses espaces publics. Ce choix implique notamment un autre mode de relation des spectateurs aux danseurs, où la proximité physique joue un rôle considérable. Quelles priorités ont motivé ce choix ?


B.C. : Benjamin Millepied a été le premier spectateur de ma toute première pièce, chorégraphiée avec Dimitri Chamblas, lequel assure aujourd'hui la direction artistique de la 3e scène de l’Opéra de Paris. C’est aussi Benjamin Millepied qui m’a fait visiter l’Opéra, ou plutôt revisiter, et j’ai absolument voulu jouer en dehors de la scène, en partie sans doute parce qu’enfant et savoyard, j’ai été fasciné par cette architecture de Charles Garnier. Les salons nous permettent de fabriquer une « forêt » de gestes, dans laquelle on peut errer ou glaner ou apprendre et sentir. La proximité permet aussi de poser une question à un danseur qui vient de danser, choisir son point de vue, décider de rester avec un seul danseur à l’exclusion de tous les autres, parce qu’on veut en savoir plus, de ce corps-ci qui se permet de passer d’Isadora Duncan à Balanchine ou Nijinska. Encore une fois, c’est un musée : on croit visiter la danse, mais c’est elle qui nous visite. Elle fait du bruit, elle vacille, elle travaille et nous travaille… En dansant sur le même sol que celui que le public foule, c’est toute une politique de la danse et des corps qui se transforme.

L’invitation que vous a adressée Benjamin Millepied à intervenir dans le cadre de sa première saison pour le Ballet de l’Opéra de Paris s’inscrit dans une configuration artistique partiellement distincte des projets que vous menez habituellement. Quelles ont été les motivations qui vous ont incité à répondre à son invitation ?

B.C. : Je n’avais jamais fait de projet d’envergure pour un Ballet. Mais Benjamin Millepied et Stéphane Lissner ouvrent la possibilité d’une ère nouvelle. Je suis ravi de participer à cette tentative et j’ai pensé que ce projet du Musée de la danse serait un moyen de commencer à travailler avec cette Maison, dans une confrontation entre deux visions muséales, en quelque sorte. Je ne sais pas ce que cela donnera... Les danseurs se préparent à une orgie de gestes !


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 

https://www.operadeparis.fr/magazine/musee-choregraphique-vivant

Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.

Le Musée de la Marine fera peau neuve de 2017 à 2020

Il l’avait annoncé l’an dernier, il l’a acté hier soir. Jean-Yves Le Drian a confirmé le lancement d’un vaste projet de rénovation du Musée national de la Marine. L’établissement, installé au Palais de Chaillot, à Paris, va fermer durant trois ans pour faire peau neuve. Entre 2017 et 2020, les espaces seront rénovés et réaménagés, tout en bénéficiant d’une muséographie à la pointe de la technologie. « Le nouveau musée sera un lieu vivant, interactif, porteur d’émotions et de savoirs ; il invitera au voyage ; il sera l’écrin d’un patrimoine exceptionnel, et les collections du musée seront valorisées comme jamais elles ne l’ont été ; mais il sera aussi un outil puissant de sensibilisation aux enjeux de la mer aujourd’hui et demain. Plus que jamais, venir ici sera – au cœur de Paris – une manière de prendre la mer », a expliqué le ministre de la Défense.

Olivier Poivre d'Arvor, Jean-Yves Le Drian et Vincent Campredon (© : MnM - A. FUX) 

Un investissement de 50 millions d’euros 

Comme il s’y était engagé en octobre 2014, Jean-Yves Le Drian est parvenu à mobiliser 50 millions d’euros pour ce projet d’envergure. « C’est un effort exceptionnel, dans le contexte budgétaire que nous connaissons aujourd’hui, mais qui se justifie tant par l’urgence de la rénovation que par la nécessité d’éclairer les enjeux maritimes aujourd’hui à travers ce formidable patrimoine que la mer et les marins nous ont laissé au fil des siècles ».

Vincent Campredon à la barre

Concrètement, le commissaire général de la marine Vincent Campredon, qui a pris début septembre la direction du Musée national de la Marine, pilotera le projet, en lien étroit avec Olivier Poivre d’Arvor, président du Conseil d’administration de l’établissement. Un architecte sera sélectionné l’an prochain pour diriger le chantier de rénovation. Le gros des travaux débutera en 2017 et l’établissement fermera donc ses portes pour ne rouvrir que trois ans plus tard dans sa nouvelle configuration. Celle-ci déploiera le futur projet scientifique et culturel qui sera élaboré à partir des orientations formulées par un comité présidé par l’historien Alain Cabantous et comprenant différentes personnalités du monde universitaire et culturel.

Au Trocadéro depuis 77 ans

Pour mémoire, le Musée de la Marine a été créé en 1748 et fut abrité au Louvre jusqu’en 1938, date à laquelle il déménagea au Palais de Chaillot, construit à l’occasion de l’Exposition universelle qui se déroula à Paris l’année précédente. Le bâtiment intègre une partie des structures de l’ancien Palais du Trocadéro, édifié pour l’Expo de 1878. Le Musée rassemble une collection unique de modèles de navires, d’œuvres d’art et d’objets conservés au fil des siècles.

Une nouvelle exposition

En attendant la fermeture de l’établissement, le public va continuer de profiter de ses collections et évènements. C’est d’ailleurs à l’occasion du lancement d’une toute nouvelle exposition, intitulée « Dans les mailles du filet », que Jean-Yves Le Drian s’est exprimé hier soir. A partir d’aujourd’hui et jusqu’au 26 juin 2016, le Musée national de la Marine se penche ainsi sur la passionnante histoire de la grande pêche, quand les marins partaient pendant des mois traquer la morue dans l’Atlantique nord, mais aussi le prolongement de cette époque mythique vers la problématique de la pêche durable que l’on connait aujourd’hui.  


fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 

http://www.meretmarine.com/fr/content/le-musee-de-la-marine-fera-peau-neuve-de-2017-2020

Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.

Lyallpur Museum is a heritage museum in Faisalabad, Pakistan. -- Lyallpur Museum é um museu herança em Faisalabad, Paquistão.

It has galleries which show the ancient and modern history and culture of Lyallpur/Faisalabad. It was established in 2012 by Chief Minister Punjab, Mian Shahbaz Sharif, following a proposal from Dr M Aamer Sarfraz (consultant and DME). The foundation committee consisted of Dr Aamer Sarfraz (chairman), Dr Touqeer Shah (Secretary to CM), Haseeb Athar (Secretary Education) and Saeed Wahlah (DCO) It has a Board of Governors now headed by the Commissioner. Faisalabad Division.


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FAISALABAD - Divisional Commissioner Tahir Hussain has constituted an “Antiquities Acquisition Committee” to collect, evaluate and purchase antiquities and artefacts from public which would be preserved in the newly-established Lyallpur Museum. 

This was decided in a meeting of the Board of Governors of the Lyallpur Museum here Tuesday with Commissioner Tahir Hussain in chair. 

Besides the BoG members, GC University Faisalabad Vice Chancellor Dr Zakir Hussain, DCO Naseem Sadiq, EDO Community Development Muhammad Asif Tarar, Deputy Secretary Planning Department of Information & Culture Punjab Misbahush Sharif, Lahore Museum Deputy Director Khawaja Khurshid Anwar, University of Agriculture Publications In-charge Dr Jalal Arif, DPR Faisalabad Division Dr Arif Hussain Bhatti, Faisalabad Arst Council Resident Director Tariq Javed Chaudhry, AC Revenue Mahr Shafqatullah Mushtaq, Finance Department representatives and Lyallpur Museum Curator Mian Attique Ahmad attended the meeting. 

While addressing the meeting, Commissioner Tahir Hussain emphasised the need to develop the Lyallpur Museum and said it would be enriched by more and more antiquities with a perpetual pace, so that the interest of the people visiting the museum could be maintained. He said the cultural heritage of the areas falling in Faisalabad Division was not restricted to the last century only. “Rather it encompasses the stone-ages and afterwards the extension of Harappa Civilisation, the remnants of which are also found in the region of Kamalia in Faisalabad Division,” the Commissioner directed the City District Government to handover the Coronation Library, adjacent to the Lyallpur Museum, to the museum authorities, so that sufficient space could be made available for the artefacts and antiquities. 



The meeting also decided to preserve the historic achievements of freedom fighters belonging to Faisalabad Division in the shape of short documentaries. It also decided to establish 10 thematic galleries including a separate hall for exhibition of the documentaries regarding achievements of the sons of soil from Sandal Bar area besides establishment of a separate gallery for 100 eminent scholars, scientists, philosophers, educationists and public opinion leaders from Faisalabad Division. 

Commissioner Tahir Hussain directed authorities concerned to prepare a feasibility report for designing a post-graduate diploma course in Heritage Management Sciences in collaboration with the administrations of the GC University and University of Agriculture. This course would be designed to create awareness of preserving the cultural heritage for the generations to come, the commissioner added.




Anti-dengue seminar: An anti-dengue seminar was held in Govt Degree College where Principal Muhammad Ayub Tahir urged the audience to create awareness among the people against the menace. 

He said that preventive measures should be adopted to save themselves from dengue. Health Department also displayed banners for creating awareness among the people to check its spread but has not carried out fumigation in the localities.

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FAISALABAD, Nov 30: Gulzar Palace, a historical building in Chiniot, historical mounds in Shorkot and some artifacts in Jhang will be handed over to the Lyallpur Museum.

Faisalabad Commissioner Sardar Akram Javed said this at a meeting of the Lyallpur Museum Board here on Saturday.

He said the museum was depicting the regional heritage and culture that would be introduced on national and international levels.

The meeting was informed that the museum had been affiliated with the National Fund for Cultural Heritage, Ministry of Information and Broadcasting and the National Heritage while an MoU had also been signed with the Finnish Museum Association, Finland, for technical cooperation.

The meeting approved regulations of the Lyallpur Museum and reviewed the administrative and financial matters.

Another MoU has also been signed between the Pakistan Wildlife Foundation and the Lyallpur Museum.

Museum Director Mian Atiq Ahmed said the museum had been affiliated with the GC University for launching post-graduate diploma studies in heritage management science which would provide opportunities to students of history and social sciences to learn the sustainable use of historic properties.The commissioner directed to install CCTV cameras and fire-fighting equipment for the proper security and safety of the museum.

Government College University Faisalabad Vice-Chancellor Dr Zakir Hussain, UAF VC Dr Iqrar Ahmed, Local Fund Audit Director Amir Saeed, Director Colleges Rana Munawwar Khan, officers of other departments and industrialists were also present.

fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 

----- http://www.dawn.com/news/1059686
----- http://nation.com.pk/national/29-Aug-2012/body-set-up-to-collect-artefacts

Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.


--br
Lyallpur Museum é um museu herança em Faisalabad, Paquistão. Ele tem galerias que mostram a história antiga e moderna e cultura de Lyallpur / Faisalabad. Foi criado em 2012 pelo Chefe Ministro Punjab, Mian Shahbaz Sharif, na sequência de uma proposta do Dr. M Aamer Sarfraz (consultor e DME). O comitê de fundação composta pelo Dr. Aamer Sarfraz (presidente), Dr Touqeer Shah (Secretário CM), Haseeb Athar (Secretaria de Educação) e Saeed Wahlah (DCO) Ele tem um Conselho de Governadores agora liderada pelo Comissário. Divisão de Faisalabad.

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Faisalabad - Divisional Comissário Tahir Hussain tem constituído um "Comitê de Aquisição Antiguidades" para coletar, avaliar e comprar antiguidades e artefatos do público que seria preservado no Museu Lyallpur recém-estabelecida.

Esta decisão foi tomada em uma reunião do Conselho de Governadores do Museu Lyallpur nesta terça-feira com o Comissário Tahir Hussain na cadeira.

Além dos membros Bog, GC Universidade Faisalabad Vice-Chanceler Dr. Zakir Hussain, DCO Naseem Sadiq, EDO Comunidade de Desenvolvimento Muhammad Asif Tarar, vice-secretário do Departamento de Informação e Cultura Punjab Misbahush Sharif Planejamento, Lahore Museum Vice-Diretor Khawaja Khurshid Anwar, Universidade de Agricultura Publicações Em -Charge Dr. Jalal Arif, DPR Faisalabad Divisão Dr Arif Hussain Bhatti, Conselho Arst Faisalabad Residente Director Tariq Javed Chaudhry, AC Receita Mahr Shafqatullah Mushtaq, representantes do Departamento de Finanças e Lyallpur Curador Mian attique Ahmad participou da reunião.

Apesar de enfrentar a reunião, a Comissária Tahir Hussain enfatizou a necessidade de desenvolver o Museu Lyallpur e disse que iria ser enriquecido por mais e mais antiguidade com um ritmo perpétua, para que o interesse das pessoas que visitam o museu poderia ser mantida. Ele disse que o património cultural das áreas que caem em Faisalabad Divisão não se restringiu apenas ao século passado. "Pelo contrário, abrange as pedra-idade e mais tarde a extensão de Harappa Civilização, os restos dos quais também são encontrados na região de Kamalia em Faisalabad Division", o Comissário dirigiu o Governo do Distrito City para entrega da Biblioteca Coronation, ao lado do Lyallpur Museu, às autoridades do museu, de modo que o espaço suficiente poderiam ser disponibilizados para os artefactos e antiguidades.

A reunião também decidiu manter as conquistas históricas dos combatentes da liberdade pertencentes a Faisalabad Divisão na forma de pequenos documentários. Ele também decidiu estabelecer 10 galerias temáticas, incluindo uma sala separada para a exposição dos documentários sobre as realizações dos filhos de solo da área Sandal Bar, além de criação de uma galeria separada por 100 eminentes estudiosos, cientistas, filósofos, educadores e líderes de opinião pública de Faisalabad Divisão.

Comissário Tahir Hussain dirigido autoridades interessadas para preparar um relatório de viabilidade para a criação de um curso de pós-graduação em Ciências de Gestão do Património em colaboração com as administrações da Universidade GC e University of Agriculture. Este curso, que se destina a criar a consciência da preservação do património cultural para as gerações vindouras, o comissário acrescentou.
Seminário anti-dengue: Um seminário anti-dengue foi realizada em Govt Degree College, onde Muhammad Ayub principal Tahir instou a audiência a criar consciência entre as pessoas contra a ameaça.
Ele disse que devem ser adoptadas medidas preventivas para salvar-se da dengue. Departamento de Saúde também exibidos banners para criar consciência entre as pessoas para verificar a sua propagação, mas não levou a cabo a fumigação nas localidades.

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Faisalabad, 30 de novembro: Gulzar Palace, um edifício histórico em Chiniot, montes históricos em Shorkot e alguns artefatos em Jhang será entregue ao Museu Lyallpur.

Faisalabad Comissário Sardar Akram Javed disse isso numa reunião do Conselho Museum Lyallpur aqui no sábado.

Ele disse que o museu foi representando o património regional e cultura que seria introduzido em níveis nacional e internacional.

A reunião foi informado que o museu tinha sido filiado ao Fundo Nacional de Património Cultural, Ministério da Informação e Radiodifusão e do Património Nacional, enquanto um memorando de entendimento também havia sido assinado com o finlandês Museum Association, na Finlândia, para a cooperação técnica.

A reunião aprovou os regulamentos do Museu Lyallpur e avaliaram as questões administrativas e financeiras.

Outra MoU também foi assinado entre a Fundação Vida Selvagem Paquistão eo Museu Lyallpur.

Museu Director Mian Atiq Ahmed disse que o museu tinha sido filiado à Universidade GC para o lançamento de estudos de pós-graduação em ciência da gestão do património que proporcionaria oportunidades para estudantes de história e ciências sociais para aprender o uso sustentável da histórica comissário properties.The direcionado para instalar câmeras de CCTV e equipamentos de combate a incêndios para a segurança adequada e segurança do museu.

Governo College University Faisalabad Vice-Chanceler Dr. Zakir Hussain, UAF VC Dr Iqrar Ahmed, Local Fund Director de Auditoria Amir Saeed, diretor Faculdades Rana Munawwar Khan, oficiais de outros departamentos e industriais também estavam presentes.

Yalutorovsk Museum, Yalutorovsk is a town in Tyumen Oblast, Russia.

Yalutorovsk museum complex incorporating memorial houses of Decembrists is by right considered one of the major sights in the town. It was opened in 1927 on the basis of the amateur historic group of enthusiasts, and now the museum is well known in Russia. Initially the museum contained paleontologic and archaeological excavations made near Yalutorovsk, and pre-revolution and soviet periods of the town history. The employees of the museum have discovered unknown facts of the Decembrists stay in Yalutorovsk and found the houses they lived in.








Since 1934 till 1947 the museum was headed by Igor Ozolin, whose selfless work facilitated a lot creation of the Decembrists museum. It was he who found in 1935 a sealed bottle left by Muravjev-Apostol a hundred years ago. This was a pre-cause for organizing the Decembrists museum in Yalutorovsk. During the World War II the operation of the museum was suspended, and evacuated people from Leningrad were located in the house. In 1946 the museum continued its work, and became known far outside Siberia. Over the years the exposition was supplemented with newly found exhibits. Found was a tomb of a Decembrist Yantaltsev, and the house of Yakishkin was incorporated within the museum territory. Since 1960 till 1990 the museum was headed by Nikolai Zubarev who did a lot to development of the museum. He also systematized the data related to culture and history of Yalutorovsk. In 1970 he wrote a book on history of Yalutorovsk. The activities of the museum have made for the fact that Yalutorovsk has been enlisted among the historic centers of Russia.


In 1990 great amount of work was accomplished on revising historical heritage of the town, and unknown data became available to public. Among the published works at that period a particular stress should be laid upon the book ‘History of Yalutorovsk since ancient times till today’ by a museum employee Albina Bolotova. The book was recommended as a manual on local history for schoolchildren. In 1993 the museum was the first in Siberia to accept the exhibition of the Decembrists’ relics out of the funds of the State Museum on History. Descendents of the Decembrists from all over the world visited the museum.


In 1996 the Yalutorovsk museum was re-organized into the museum complex with three subsidiaries: ‘Museum of local lore’, ‘Historical-memorial museum’, and ‘Museum of Nature’. The museum has started up some original exhibition projects such as ‘Bread and Butter in Siberia’ that reveals the history of industrial traditions of the town through non-conventional approaches. Director of the museum Pavel Beloglazov wrote and published an album ‘Yalutorovsk: a trace in history’ that contains the most valuable historic data, rare illustrations and documents.





Since several years Tyumen Research Centre of Siberian branch of Russian Academy of Science (SB RAS) has been working on creation of an extraordinary research and information project named “Way to Siberia”. Its main objective is to reconstruct the first itineraries of Siberia development and to carry out integrated study of its cultural and historical heritage. Collected facts, illustrations and research results are placed on the web site of the project created for popularization of history and cultural of the towns, which played an important role in the process of Siberia development.

Besides cultural and historical significance, the itineraries presented in the project had an important influence on development of natural sciences. The process of development of this severe area merged into the kingdom of permafrost and rich in unique natural resources had served as a source of research studies and discoveries unprecedented by their scale. The history of the Russian Academy of Science is also closely connected with this process. A whole constellation of distinguished Russian and European scientists followed “the way to Siberia” including teams of researchers headed by V. Bering, G.F. Miller and I.G. Gmelin. The investigations carried out in the Urals and in Siberia by Petr Pallas, Alexander von Gumbolt and many other scientists of the XVIII–XIX centuries made an inestimable contribution into development of the Earth science.



Short-terms plans of “Way to Siberia” project development include collection, presentation and integrated study of new data on historical and cultural heritage of the Russian North. Special place is reserved for integration of knowledge on academic branches aimed at the study of relevant natural-science and humanitarian problems of the northern territories.



Vladimir P. Melnikov,
The academician of the Russian Academy of Science

The Museum of Srem, Vuka Karadžića, Sremska Mitrovica

The Museum of Srem is a cultural institution, founded in 1885, which researches the material culture of a great heritage, both in Sremska Mitrovica and entire Srem, and displays its artifacts on permanent and occassional exhibitions.


The museum is organized to function as a complex consisting of the archaeology, history, history of art and ethnology department, and it also has collections of the artifacts of nature and numismatics. It is interesting that the museum consists of two buildings that date back from the 18th century – Brigadirquartier and the mansion of the Bajić family.



There is ‘The Centre for the Archaeological Research and Documents of Sirmium’ within the museum, together with the permanent exhibition of artifacts up to the 14th century which includes the lapidarium. 

In lapidarium, there are the remains of a villae urbanae and its room with apse and a beautiful floor mosaic with geometrical ornaments can be seen there. Such a finding on the very site of a museum is extremely rare in the world.


Some of the artifacts of tangible culture kept in the Museum of Srem are:
The skull of a giant deer from the late Pleistocene that belongs to the species Megaloceros giganteus (Blum), which has been protected by law as a unique artifact of nature;

The sundial with the sculptures of Atlas, Heracles and Ifikles;
Olearum;
Small Roman sculptures (the statues of Mercury, Lares, Apollo);
Roman surgical instruments;
The fragments of the fresco of Harpocrates;
The rare gold coins of Constantine the Great;
The gold reliquary;
The Avar gold belt set from the 7th century;
The collection of icons and civic portraits from the period between the 17th and 20th century;
The collection of manuscripts from the monasteries of Fruska Gora

The opening hours of the museum: 

The Museum of Srem is open on two locations.

The Museum of Srem is open on two locations.

The first location is at Trg Svetog Stefana 15, where the permanent exhibition of the museum is situated together with the lapidarium and it is open -

on weekdays from 7 a.m. to 8 p.m., except on Mondays when it is open until 3 p.m.

on Saturdays and Sundays from 7 a.m to 3 p.m.

The second location is in the street Vuka Karadžića 3, where thematic exhibitions are held and it is open from 7 a.m. to 3 p.m. on weekdays.




fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti 

http://tosmomi.rs/en/turisticka-ponuda/kultura/muzej-srema

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