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domingo, 12 de junho de 2016

Museo de la Moda, Chile - Exhibición "Marilyn." Toda la belleza y el glamour de Marilyn Monroe.

Marilyn.

Se exhiben más de 200 artículos de la colección del Museo de la Moda, entre objetos personales, libros, discos, reconocimientos, adornos de su casa y, por supuesto, trajes emblemáticos, en la más grande muestra sobre Marilyn Monroe que se haya realizado en Chile. 

La exhibición da cuenta del éxito de Marilyn Monroe en los medios y por ende en la audiencia, siendo rostro de portadas de revistas, afiches y calendarios, causando gran fervor entre sus fans, que le escribían cartas sin parar. 



Con esta exposición mostramos a una Marilyn Monroe que la gente no está acostumbrada a ver; sus constantes ganas de aprender y estudiar, su inquietud intelectual, su desarrollo cultural y su sencillez en la intimidad de su hogar. “Marilyn” también muestra algunos vestidos icónicos, como el de terciopelo de seda rojo, modelo sirena, strapless, que la actriz usó en 1956 para asistir al estreno de la obra de teatro “Panorama desde el puente”, de Arthur Miller, quien entonces era su marido. Así como los que utilizó en películas que protagonizó, entre ellas Vidas rebeldes (1961), Los hombres las prefieren rubias (1953), Niágara (1953) y La comezón del séptimo año (1957). 

La exposición estará abierta todo el año (2016), de martes a domingo; los días de semana de 10 a 18 horas y fines de semana de 10 a 19 horas. Valor de la entrada: general, $3.000; niños (hasta 12 años) y tercera edad, gratis; estudiantes, 50%. Consultas a Boletería al número 2 2218 5500. Para visitas de grupos, instituciones o colegios, escríbenos a museo@museodelamoda.cl




Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti

https://twitter.com/museodelamoda

Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.

A cultura é o único antídoto que existe contra a ausência de amor

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A museóloga Maria Luiza Clapis foi nomeada nova diretora do Museu Histórico de Ribeirão Preto, ( São Paulo, Brasil ).

O nome de Maria Luiza está na edição desta quarta-feira (8) do Diário Oficial e a especialista assumirá o cargo nesta manhã. Além da direção do Museu Histórico, ela também acumula a função no Museu do Café e tem como principal desafio driblar o abandono dos centros culturais. O prédio do Museu histórico, por exemplo, está prejudicado por cupins e infiltrações.


Doutora em museologia pela Universidade Jean Moulin, de Lyon, na França, Maria Luiza tem experiência com trabalho em projetos de museus franceses e brasileiros, entre eles o Museu Paulista, da USP, e o Musée des Confluences. No currículo da especialista há também trabalho com movimentos sociais, incluindo o Museu do MST.


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Capacitação

Université Jean Moulin Lyon 3
 –  (1 mês)Lyon, França
Formação dispensada: ferramentas digitais (bureau virtuel, recursos documentais, plataformas pedagógicas)

Estágio no setor de exposição

Musée Africain
 –  (7 meses)Lyon, França
- Colaborou no planejamento e produção da exposição "Missionnaires en Afrique : histoire d’une rencontre entre civilisation", na comunidade de Saint-Hilaire-La-Croix.
- Realizou pesquisa documental, dando apoio às atividades de expografia e produção de textos para a exposição

Estágio no Serviço de Exposição

Musée des Confluences
 –  (3 meses)Lyon, França
- Participou da elaboração do projeto museográfico da exposição "Quem somos nós?" com foco na definição do discurso expositivo.
- Realizou pesquisa documental
- Colaborou na apresentação e discussão do projeto com a equipe de curadoria, profissionais de cenografia, especialistas/pesquisadores e responsáveis das coleções.

Estágio

Musée Africain
 –  (4 meses)Lyon França
- Realizou pesquisa sobre a religião tradicional africana "Vodun"
- Selecionou e estudou objetos do acervo relacionados ao tema
- Elaborou ficha técnica dos objetos, bem como diagnóstico do estado de conservação dos mesmos.
- Elaborou uma proposta de exposição sobre esse tema que resultou no trabalho de conclusão de graduação: "Estudos para projeto expográfico no Museu Africano de Lyon: as religiões tradicionais africanas Vodun e Orisa".

Estágio no Serviço de Objetos e no Serviço de Museografia e Comunicação Visual

Museu Paulista da Universidade de São Paulo
 –  (2 meses)São Paulo, Brasil
- Participou da motagem da exposição "Cartografia de uma História. São Paulo Colonial : mapas e relatos."
- Inteirou-se das atividades nas reservas técnicas, do Sistema Documental e realizou catalogação de objetos do acervo no Banco de Dados Informatizado.
- Inteirou-se das atividades do Laboratório de Conservação e Restauração de Têxteis e do Serviço Educativo.




Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti

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Biomimétisme : Un robot tisse une somptueuse canopée au musée Victoria & Albert

Si la nouvelle canopée de Châtelet-Les-Halles en impressionne certains, attendez de voir celle du Musée V&A. A l’occasion de sa Saison de l’Ingénierie, le Musée londonien célèbre les héros ordinaires que sont les êtres vivants, avec une sublime canopée bio-inspirée.


Virtuoses insoupçonnés de l’architecture, les insectes sont en réalité de véritables maîtres de la conception architecturale. Robustesse, finesse et souplesse sont les trois mots qui décrivent le mieux les compétences du règne animal. Le Musée Victoria & Albert a donc naturellement souhaité faire part de leurs majestueux travaux, trop souvent laissés dans l’ombre en leur consacrant une exposition.



Avec l’installation Elytra Filament Pavilion, le Musée s’inscrit das l’ère du temps, avec une prise de conscience du formidable savoir-faire de la nature et du vivant. Trop longtemps, l’Homme a puisé dans son propre génie pour élever encore et toujours son confort de vie. Aujourd’hui, de nombreux chercheurs s’en retournent à la Nature, mère de nombreuses merveilles d’ingéniosité, souvent insoupçonnées et inégalées. C’est ce qu’on appelle lebiomimétisme. Car les animaux et leurs capacités sont le résultat de près de quatre milliards d’années d’évolution. Ceux qui ont survécu jusqu’ici détiennent sans aucun doute des facultés uniques qui leur ont permis de se distinguer des autres espèces. Comme l’être humain qui ne s’est pas privé de profiter de son intelligence, les animaux savent également tirer profit de leurs savoir-faire innés. Car chaque animal ou insecte possède une compétence qui lui est propre et qui est en soi extraordinaire. La peau du requin a inspiré quantités d’ingénieurs en aérodynamique et aérospatial. Le saut de la sauterelle inspire les ingénieurs en micro-systèmes. La chenille construit son nid avec du fil robuste et inspire l’impression 3D… Et ainsi de suite.


Du 18 mai au 6 novembre, le Musée V&A célèbre la saison de l’ingénierie en partenariat avec Volkswagen. Le lieu culturel explore de nombreux exemples de l’inventivité du règne animal. Mais ce que nous avons retenu, c’est bel et bien la somptueuse canopée Elytra Filament. Cette canopée biomimétique a été conçue par les architectes allemands Achim Menges et Moritz Dorstelmann, l’ingénieur Jan Knippers et l’ingénieur du climat Thomas Auer. Les deux premiers président des instituts de recherche à l’Université de Stuttgart et prônent vigoureusement les avantages du biomimétisme, de la robotique et des nouveaux matériaux dans la conception de nouvelles architectures. La Canopée Elytra Filament est le fruit de la rencontre entre ces différents savoirs.


Le design de l’installation est inspirée des structures légères que l’on peut trouver dans la nature, comme les nids ou les toiles d’araignées. Mais aussi et surtout comme les ailes du scarabée volant Elytra qui a donné son nom à l’exposition. En tout et pour tout, elle s’étend sur plus de 200 m² et pèse moins de 2,5 tonnes. L’installation rend également hommage aux serres de l’ère Victorienne, chères au musée.





Conçue par les ingénieurs, mais fabriquée par un robot. Cette initiative rappelle un important message que les auteurs ont souhaité véhiculer : grâce aux nouvelles technologies, cette immense structure a pu être fabriquée sur place. Et ce grâce à un robot Kuka tisseur. Le projet a donc conjugué l’architecture aux nouvelles technologies de la robotique et de la Data. Le principe directeur du projet ? Utiliser “moins de matériaux” pour “plus de formes“. L’idée étant de s’inspirer des structures en fibres de la nature pour concevoir des structures artificielles à la fois robustes et légères. La canopée n’est ainsi constituée que de deux matériaux, celui qui habite la toiture et celui que l’on trouve dans la structure. Les deux variantes sont toutes deux constituées de fibres de verres transparentes et de fibres de carbone. Exit les moules et autres processus de fabrication complexes. Ici, c’est le robot qui s’est chargé du tissage, réduisant drastiquement les pertes de matériaux. Pour concevoir chaque cellule de la canopée, le robot tisse les fibres de verres sur un cadre fait de fibres de carbone. Le processus étant entièrement numérisé, il est très facile pour les ingénieurs de varier la forme, la densité et l’orientation des cellules selon leur bon vouloir et donc d’adapter la structure générale au fil du temps et de l’espace. Avec ce matériau composite, la structure ne pèse que 9 kg au m².

En outre, la structure principale est évolutive. La canopée est un espace dynamique qui s’adapte à son environnement, “responsive” comme on dit dans le milieu du numérique. Elle a été installée fin mai, à la charnière entre le printemps et l’été et ne sera démontée que fin novembre. Inutile de rappeler combien la nature évolue durant cette période. Aussi, grâce à un travail de collecte de données sur les plantes environnantes, la canopée est supposée évoluer pour être en symbiose totale avec le jardin du Musée. Parcourue de bout en bout de fibres optiques, la canopée est ainsi capable de s’étirer ou de se contracter au besoin grâce aux efforts du robot qui sera toujours sur place pour répondre à la demande. Un suivi au millimètre des activités naturelles et humaines permet au Musée d’adapter sa canopée au besoin et donc gérer ses ressources avec parcimonie et économie.





Fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti


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--br via tradutor do google
Biomimética: Um robô tece um magnífico dossel no Victoria & Albert Museum

Se o novo dossel Châtelet-Les-Halles, em alguns impressionante, esperar para ver o Museu V & A. Por ocasião da sua temporada de Engenharia, os heróis comuns famoso museu de Londres são seres vivos com sublime copa bio-inspirado.

virtuoso insuspeita da arquitetura, os insetos são realmente verdadeiros mestres de projeto arquitetônico. Robustez, flexibilidade e fineza são as três palavras que melhor descrevem as habilidades do reino animal. O Victoria & Albert Museum tem, naturalmente, deseja compartilhar seu trabalho majestoso, muito frequentemente deixado nas sombras por dedicar uma exposição.

Com a instalação Élitros Filament Pavilion, o das Museum se encaixa na era do tempo, com a consciência do tremendo conhecimento da natureza e os seres vivos. Muito tempo, o homem tem desenhado em seu próprio gênio para elevar ainda mais sua vida e sempre conforto. Hoje, muitos pesquisadores estão voltando a Natureza, mãe de muitas maravilhas do engenho, muitas vezes inesperadas e sem precedentes. É chamado de biomimética. Porque os animais e suas habilidades são o resultado de quase quatro bilhões de anos de evolução. Aqueles que sobreviveram até agora prender, sem dúvida, faculdades exclusivas que lhes permitem distinguir-se de outras espécies. Como o ser humano que não foi privado de desfrutar de sua inteligência, os animais também pode tirar proveito de suas habilidades inatas. Para cada animal ou inseto tem uma habilidade própria e é, em si extraordinário. A pele do tubarão inspirado quantidades de engenheiros em aerodinâmica e aeroespacial. gafanhoto de salto inspirar engenheiros em microssistemas. A larva constrói seu ninho com arame robusto e inspira impressão 3D ... E assim por diante.



A partir de 18 maio - 6 novembro, o Museu V & A comemora a estação de Engenharia em parceria com a Volkswagen. O centro cultural explora muitos exemplos da inventividade do reino animal. Mas o que nós escolhemos é de fato o sumptuoso copa Élitros filamento. Esta copa biomimética foi projetado por arquitetos alemães Achim Menges e Moritz Dorstelmann, engenheiro janeiro Knipper e engenheiro Clima Thomas Auer. Os dois primeiro presidente de institutos de pesquisa da Universidade de Stuttgart e vigorosamente defender os benefícios da biomimética, robótica e novos materiais na concepção de novas arquiteturas. Canopy Élitros Filament é o resultado do encontro entre os vários conhecimentos.

A concepção da instalação é inspirado estruturas leves que podem ser encontrados na natureza, tais como ninhos ou teias de aranha. Mas especialmente como as asas de Élitros besouro voando que deu seu nome à exposição. Ao todo, que abrange mais de 200 m² e pesa menos de 2,5 toneladas. A instalação também presta homenagem às estufas da era vitoriana, queridos para o museu.







Projetado por engenheiros, mas fabricados por um robô. Esta iniciativa faz lembrar uma mensagem importante que os autores queria transmitir: graças às novas tecnologias, esta estrutura enorme poderia ser fabricado localmente. E com um robô Kuka tecelão. O projeto, portanto, combinado arquitetura para novas tecnologias de robótica e de dados. O princípio orientador do projeto? Use "menos material" para "mais formas." A ideia é aprender com estruturas em fibra de natureza para projetar estruturas artificiais tanto robustos e leves. A copa é assim constituído que de dois materiais, um que vive no telhado e a encontrada na estrutura. Ambas as variantes são ambos formados por fibras transparentes de fibras de vidro e carbono. moldes de saída e outro processo de fabricação complexa. Aqui é o robô que é responsável pela tecelagem, reduzindo drasticamente a perda material. Para projetar cada célula do dossel, o robô tece fibras de vidro em um quadro feito de fibras de carbono. O processo é totalmente digital, é muito fácil para os engenheiros para variar a forma, a densidade e a orientação das células à vontade e, assim, de se adaptar a estrutura geral ao longo do tempo e espaço. Com este material compósito, a estrutura pesa apenas 9 kg por m².

Além disso, a estrutura principal é escalável. A copa é um espaço dinâmico que se adapta ao seu ambiente, "sensível", como dizem no meio da digital. Foi instalado no final de maio, na interface entre a primavera eo verão e será removido como final de novembro. Desnecessário lembrar como a natureza evolui durante este período. Além disso, graças a um trabalho de recolha de dados sobre as plantas ao redor, o dossel é suposto a evoluir para ser em total harmonia com o jardim do Museu. Viajou desde uma extremidade da fibra óptica, o dossel é capaz de esticar ou contrato como necessários graças ao robô esforços que estará sempre à disposição para atender a demanda. A atividades naturais e humanos acompanhamento milímetros permite que o museu para adaptar a sua copa quando necessário e, portanto, gerir os seus recursos com moderação e economia.