Lieu d'un attentat terroriste revendiqué par le groupe djihadiste État islamique (EI) mercredi 18 mars, le Musée du Bardo, à Tunis, n'a néanmoins pas constaté de graves dégâts. L'établissement culturel rouvrira donc ses portes au public demain, comme annoncé en fin de semaine dernière.
«Au niveau du musée, il n'y a pas de vrais dégâts. Quelques éclats par-ci, par-là, mais pas grand-chose. Des choses petites, réparables. Les pièces archéologiques en elles-mêmes sont intactes», a déclaré Moncef Ben Moussa, conservateur de l'établissement culturel.
La réouverture, moins d'une semaine après cette attaque tragique ayant coûté la vie à 21 personnes, est donc maintenue. «C'est un défi mais c'est aussi un message [...]. Ce qui s'est passé nous touche tous mais nous voulons dire [que les auteurs de l'attentat]n'ont pas atteint leur objectif», a précisé Moncef Ben Moussa.
Ce responsable a par ailleurs affirmé qu'un travail avait commencé pour «renforcer la sécurité». «Cela ne veut pas dire que les mesures de sécurité manquaient, mais il y avait peut-être quelque part une faille qu'il faudrait, à cette occasion, réparer», a-t-il ajouté, alors que le chef de l'État, Béji Caïd Essebsi, a lui-même reconnu des défaillances. Un touriste français de retour de Tunis a, lui, affirmé dans un témoignage recueilli à Marseille qu'on entrait dans le musée «comme dans un moulin».
«Au niveau du musée, il n'y a pas de vrais dégâts. Quelques éclats par-ci, par-là, mais pas grand-chose. Des choses petites, réparables. Les pièces archéologiques en elles-mêmes sont intactes», a déclaré Moncef Ben Moussa, conservateur de l'établissement culturel.
La réouverture, moins d'une semaine après cette attaque tragique ayant coûté la vie à 21 personnes, est donc maintenue. «C'est un défi mais c'est aussi un message [...]. Ce qui s'est passé nous touche tous mais nous voulons dire [que les auteurs de l'attentat]n'ont pas atteint leur objectif», a précisé Moncef Ben Moussa.
Ce responsable a par ailleurs affirmé qu'un travail avait commencé pour «renforcer la sécurité». «Cela ne veut pas dire que les mesures de sécurité manquaient, mais il y avait peut-être quelque part une faille qu'il faudrait, à cette occasion, réparer», a-t-il ajouté, alors que le chef de l'État, Béji Caïd Essebsi, a lui-même reconnu des défaillances. Un touriste français de retour de Tunis a, lui, affirmé dans un témoignage recueilli à Marseille qu'on entrait dans le musée «comme dans un moulin».
fonte: @edisonmariotti #edisonmariotti http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2015/03/23/03015-20150323ARTFIG00086-musee-du-bardo-peu-de-degats-materiels-avant-la-reouverture.php
Nenhum comentário:
Postar um comentário