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terça-feira, 1 de novembro de 2016

Leur mini-musée Picasso sous carton ramène au tribunal le couple Le Guennec. --- Their mini-museum Picasso in cardboard back to the court the couple Le Guennec.. --- O ex-eletricista e sua esposa, condenado no julgamento para a dissimulação de 271 obras do pintor Picasso

L’ancien électricien et sa femme, condamnés en première instance pour le recel de 271 œuvres du peintre, sont à nouveau jugés à partir de ce lundi, par la cour d’appel d’Aix-en-Provence.


Elles ont vécu cachées pendant trente-sept ans. Signées de la main de Pablo Picasso, 271 œuvres sont restées à l’abri des regards entre les années 70 et 2010, rangées au sous-sol de la maison de Pierre et Danielle Le Guennec à Mouans-Sartoux, dans les Alpes-Maritimes. Données, volées ou recelées ? 

A partir de ce lundi, la cour d’appel d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) tentera de sortir de trois décennies d’ombre autour de ces œuvres et des intentions du couple de septuagénaires, condamnés à deux ans de prison avec sursis pour recel lors de leur premier procès à Grasse (Alpes-Maritimes) en février 2015. 

Aujourd’hui, les 271 œuvres n’ont toujours pas rejoint les murs de la famille Picasso, des musées ou des galeries d’art. Elles sont placées sous main de justice : ces 180 dessins, lithographies, collages, peintures et ce carnet de 91 esquisses poursuivent une existence coincée dans un carton.

«J’attends que ce nouveau procès mette un terme à une mystification, insiste Me Jean-Jacques Neuer, l’avocat de Claude Ruiz Picasso, fils du peintre, et de la Picasso Administration, qui gère le patrimoine de la famille. La logique des époux Le Guennec était une logique de mensonge. Le but n’est pas qu’ils soient condamnés plus lourdement, mais d’enfin connaître la vérité.»


Oxygène.

Leur vérité, Pierre et Danielle Le Guennec l’ont expliquée lors de leur premier procès. Si ce carton bourré d’œuvres a atterri dans leur garage, c’est que Pablo Picasso le leur aurait donné, au début des années 70. «Un soir, Jacqueline [Picasso, l’épouse du peintre, ndlr] me tend un carton et me dit : "C’est pour vous, emmenez ça chez vous"», affirmait Pierre Le Guennec à la barre en février 2015. L’homme, aujourd’hui âgé de 76 ans, a été l’électricien de l’artiste. Pendant quinze ans, à partir de 1971, il a passé de longues heures à s’occuper du mas Notre-Dame-de-Vie à Mougins, la demeure du peintre. Un statut qui aurait permis d’établir une relation de confiance, faite d’échange de services, entre l’électricien et le «maître». 

D’un côté, Pierre Le Guennec gardait la résidence, fournissait Pablo Picasso en bouteilles d’oxygène, indispensables à sa santé. De l’autre, Jacqueline Picasso prêtera plus de 500 000 francs au couple pour l’acquisition d’une licence de taxi… Jusqu’au «cadeau» des 271 œuvres.

Des justifications bien loin de convenir aux héritiers du peintre. Ceux-ci, venus en nombre et très soudés lors de l’audience de février 2015, restent sceptiques sur l’ampleur et la nature du «don». Selon ses descendants, le maître avait l’habitude de personnaliser ses présents, les datant et signant. Ce n’est pas le cas pour celui des Le Guennec. Le bon état de conservation des œuvres, qui seraient restées tout le temps dans le sous-sol d’une maison avec pour seule protection un carton, fait douter la famille Picasso. Mais l’élément qui fait le plus sourciller les proches du peintre est le cousinage entre Pierre Le Guennec et Maurice Bresnu, alias Nounours, soupçonné d’avoir dérobé des œuvres alors qu’il était chauffeur du peintre. Pour la famille Picasso, c’est de ce possible vol que pourraient provenir les 271 œuvres, qui ont ressurgi le 14 janvier 2010.

«Foudre».

D’abord dans quatre courriers adressés à la Picasso Administration. L’électricien y fait un inventaire très précis du trésor, réclamant son authentification. A la suite de l’envoi de ces documents manuscrits, Pierre Le Guennec demande un entretien avec Claude Ruiz Picasso. Au rendez-vous, il tire une valise à roulettes. A l’intérieur, les dessins, peintures et collages dont certains sont uniques : un portrait d’Olga (la première femme de Picasso), des collages cubistes et des carnets d’étude. Le fils du peintre porte plainte le 23 septembre 2010 pour vol et recel de vol.

«La foudre leur est tombée dessus, estime le nouveau conseil des Le Guennec, Me Eric Dupond-Moretti. L’objectif est qu’ils soient relaxés : quand on est malhonnêtes, on ne va pas voir la famille Picasso pour l’expertise. Quand on est assis sur des millions, on ne travaille pas jusqu’à la fin de sa vie.» Ces arguments, les époux Le Guennec et leur conseil devront les développer devant le clan Picasso. «Je serai certainement plus serein qu’au premier procès», anticipe Pierre Le Guennec. L’électricien et son épouse feront une nouvelle fois face à une famille unie autour d’un dessein commun, celui de la maîtrise de son patrimoine.

Mathilde Frénois




Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.

A cultura e o amor devem estar juntos.

Vamos compartilhar.

O tempo voa, obras de arte são para a eternidade, sem rugas!







--in via tradutor do google
Their mini-museum Picasso in cardboard back to the court the couple Le Guennec.

The former electrician and his wife, convicted at trial for concealment of 271 works of the painter, are again judged from Monday, by the Court of Appeal of Aix-en-Provence.

They lived hidden for thirty-seven years. Signed by the hand of Pablo Picasso, 271 works have remained out of sight between the 70 and 2010 rows in the basement of the house of Peter and Danielle Le Guennec in Mouans-Sartoux in the Alpes-Maritimes. Data, stolen or harbored?

From Monday, Aix-en-Provence Appeal Court (Bouches-du-Rhône) will try out three decades of shade around the works and intentions of the couple in their seventies, sentenced to two years suspended sentence for receiving stolen goods at their first trial in Grasse (Alpes-Maritimes) in February 2015.

Today, 271 works have still not joined the walls of the Picasso family, museums or art galleries. They are placed under court: these 180 drawings, lithographs, collages, paintings and 91 sketches of this diary pursue an existence trapped in a box.

"I expect that this new trial for an end to a hoax, insists Jean-Jacques Neuer, the lawyer Claude Ruiz Picasso, son of the painter, and the Picasso Administration, which manages the family heritage. The logic of the spouses Le Guennec was a logical falsehood. The goal is not that they are more heavily condemned, but to finally know the truth. "

Oxygen.

Their truth, Pierre and Danielle Le Guennec have explained in their first trial. If this box full of pieces landed in their garage is that Pablo Picasso would have given them, in the early 70s "One evening, Jacqueline [Picasso, the painter's wife, note] hands me a card and said: "This is for you, take it home, '" stated Pierre Le Guennec to the bar in February 2015. the man, now aged 76, was the electrician of the artist . For fifteen years, from 1971 he spent long hours caring mas Notre-Dame-de-Vie in Mougins, the home of the painter. A status that would have established a relationship of trust, made of exchange of services between the electrician and the "master".

On the one hand, Pierre Le Guennec guarded residence, provided Pablo Picasso oxygen bottles, essential to its health. On the other, Jacqueline Picasso lend more than 500 000 francs couple for acquiring a taxi license ... Until the "gift" of 271 works.

Justifications far to agree to the heirs of the painter. These, came in numbers and very welded at the hearing in February 2015, are skeptical about the extent and nature of the "gift." According to his descendants, the master used to customize its present, dating and signing them. This is not the case for that of the Guennec. The good state of preservation of the works, which would have remained all the time in the basement of a house with only a carton protection, makes us doubt the Picasso family. But the element that makes the most eyebrows relatives of the painter is the kinship between Pierre Le Guennec and Maurice Bresnu, aka Teddy, suspected of stealing works driver while the painter. For the Picasso family is this possible theft that could come from the 271 works that resurfaced January 14, 2010.

"Lightning".

First four letters to the Picasso Administration. The electrician there is a very precise inventory of the treasure, claiming authentication. Following the sending of these manuscripts, Pierre Le Guennec request an interview with Claude Ruiz Picasso. At the appointment, he pulls a suitcase with wheels. Inside, drawings, paintings and collages, some of which are unique: a portrait of Olga (Picasso's first wife), Cubist collages and study books. The son of the painter a complaint Sept. 23, 2010 for robbery and theft of stolen goods.

"The lightning struck at them, said the new board of Le Guennec, Mr. Eric Dupond-Moretti. The objective is that they are relaxed: when we are dishonest, we will not see the Picasso family for expertise. When sitting on millions, we do not work until the end of his life. "These arguments, spouses Le Guennec and their counsel should develop before the Picasso clan. "I'll definitely be more serene than in the first trial," anticipates Pierre Le Guennec. The electrician and his wife will again face a family united around a common purpose, that of control of his heritage.

Mathilde Frénois






















--br via tradutor do google
Seu mini-museu Picasso em cartão de volta para o tribunal que o casal Le Guennec.

O ex-eletricista e sua esposa, condenado no julgamento para a dissimulação de 271 obras do pintor Picasso, são novamente julgada a partir de segunda-feira, pelo Tribunal de Recurso de Aix-en-Provence.

Eles viviam escondidos por trinta e sete anos. Assinado pela mão de Pablo Picasso, 271 obras mantiveram-se fora da vista entre as linhas 70 e 2010 no porão da casa de Pedro e Danielle Le Guennec em Mouans-Sartoux nos Alpes Marítimos. Dados, roubado ou abrigou?

A partir de segunda-feira, Aix-en-Provence Tribunal de Recurso (Bouches-du-Rhône) vai experimentar três décadas de sombra em torno das obras e intenções do casal em seus setenta anos, condenado a dois anos pena suspensa para receber bens roubados em seu primeiro julgamento em Grasse (Alpes Marítimos) em fevereiro de 2015.

Hoje, 271 obras ainda não aderiram às paredes da família Picasso, museus ou galerias de arte. Eles são colocados sob tribunal: estes 180 desenhos, litografias, colagens, pinturas e 91 desenhos de este diário perseguir uma existência presa em uma caixa.

"Eu espero que este novo julgamento por fim a um hoax, insiste Jean-Jacques Neuer, o advogado Claude Ruiz Picasso, filho do pintor, e da Administração Picasso, que gere o património da família. A lógica dos cônjuges Le Guennec era uma falsidade lógico. O objetivo não é que eles são mais fortemente condenado, mas para finalmente saber a verdade ".

Oxigênio.

A sua verdade, Pierre e Danielle Le Guennec ter explicado em seu primeiro julgamento. Se esta caixa cheia de peças desembarcou em sua garagem é que Pablo Picasso teria dado a eles, no início dos anos 70. "Uma noite, Jacqueline [Picasso, esposa do pintor, nota] me entrega um cartão e disse: "Isto é para você, levar para casa '", afirmou Pierre Le Guennec para o bar em fevereiro de 2015. o homem, agora com 76 anos, era o eletricista do artista . Por quinze anos, desde 1971 ele passou longas horas cuidando mas Notre-Dame-de-Vie, em Mougins, a casa do pintor. Um status que teria estabelecido uma relação de confiança, feito de troca de serviços entre o eletricista eo "mestre".

Por um lado, Pierre Le Guennec vigiado residência, desde garrafas de oxigênio Pablo Picasso, essenciais para a sua saúde. Por outro lado, Jacqueline Picasso emprestar mais de 500 000 francos casal para a aquisição de uma licença de táxi ... Até o "dom" de 271 obras.

Justificativas longe de concordar com os herdeiros do pintor. Estes, veio em números e muito soldada na audiência em fevereiro de 2015, é cético sobre a extensão ea natureza do "dom". De acordo com seus descendentes, o mestre usado para personalizar o seu presente, namorando e assiná-los. Este não é o caso para a do Guennec. O bom estado de conservação das obras, que teriam permanecido todo o tempo no porão de uma casa com apenas uma proteção de caixa, nos faz duvidar da família Picasso. Mas o elemento que faz a maioria das sobrancelhas parentes do pintor é o parentesco entre Pierre Le Guennec e Maurice Bresnu, também conhecido como Teddy, suspeitos de roubar obras condutor enquanto o pintor. Para a família Picasso é este roubo possível que poderia vir de 271 obras que ressurgiu 14 de janeiro de 2010.

"Lightning".

Primeiras quatro letras para a Administração Picasso. O electricista há um inventário muito precisa do tesouro, alegando autenticação. Na sequência do envio desses manuscritos, Pierre Le Guennec solicitar uma entrevista com Claude Ruiz Picasso. Na consulta, ele puxa uma mala com rodas. No interior, desenhos, pinturas e colagens, alguns dos quais são exclusivos: um retrato de Olga (primeira esposa de Picasso), colagens cubistas e livros de estudo. O filho do pintor uma queixa 23 de setembro de 2010 por roubo e furto de bens roubados.

"O raio atingiu a eles, disse que o novo conselho de Le Guennec, o Sr. Eric Dupond-Moretti. O objetivo é que eles estão relaxados: quando somos desonestos, não vamos ver a família Picasso para a perícia. Ao sentar-se em milhões, não trabalhar até o final de sua vida. "Esses argumentos, cônjuges Le Guennec e seus advogados devem desenvolver antes do clã Picasso. "Eu definitivamente estarei mais sereno do que no primeiro julgamento," antecipa Pierre Le Guennec. O eletricista e sua esposa voltarão a enfrentar uma família unida em torno de um objetivo comum, o de controle de sua herança.

Mathilde Frenois

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