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domingo, 6 de novembro de 2016

MBAM, un musée singulier. --- MBAM, a singular museum. --- BAM, um museu singular.

Inauguré vendredi en présence du premier ministre Philippe Couillard et du maire Denis Coderre, le pavillon pour la Paix, cinquième bâtiment du Musée des beaux-arts de Montréal, ne sera livré que dans deux semaines au public. Les médias, dont «Le Devoir», y ont eu accès.


Photo: Jacques Nadeau Le DevoirNathalie Bondil, directrice du MBAM


Rue Bishop, la course contre la montre semble avoir été gagnée. Promis pour être livré avant 2017, le pavillon pour la Paix Michal et Renata Hornstein est prêt à accueillir les visiteurs du Musée des beaux-arts de Montréal. 

Fort de ses 750 oeuvres historiques sur quatre étages, de ses deux niveaux voués à l’éducation et à l’art-thérapie et de son « sentier de la paix » — un parcours d’art contemporain faisant le pont entre tout ça —, le cinquième bâtiment du « campus muséal », comme aime le dire la directrice du MBAM, Nathalie Bondil, animera comme prévu le 375e anniversaire de Montréal. 

Conçu par un consortium formé d’Atelier TAG et de Jodoin Lamarre Pratte Architectes, le pavillon de la Paix abrite la collection d’art dite internationale, couvrant des siècles de peinture (surtout, mais pas seulement) du Moyen Âge aux années 2000. Il honore la mémoire de Michal et Renata Hornstein, décédés en 2016. 

Lors de la cérémonie d’inauguration, Philippe Couillard a estimé qu’il « est important de se montrer fiers collectivement avec [ce type] de projet culturel ». Il faut rappeler que la considérable contribution financière de Québec— 18,5 millions sur les 25,5 millions qu’aura coûtés l’édifice — s’inscrit comme un legs du 375e. 

Pour sa part, Denis Coderre a signalé que le MBAM permet d’asseoir, avec ce pavillon de teneur humaniste, la réputation de Montréal comme « capitale du vivre-ensemble ». Notons que la Ville a investi 4,8 millions pour l’élargissement des trottoirs autour du musée, notamment ceux de la rue Bishop, dont bénéficiera aussi l’Université Concordia. 

Il y a eu de la fierté et de l’émotion parmi ceux qui ont pris le micro, notamment Sari Hornstein, fille des mécènes à l’origine du nouvel agrandissement. « Ils ont eu un appel qu’ils n’ont pu refuser », a-t-elle dit au sujet de ses parents. La donation Michal et Renata Hornstein comporte 77 oeuvres, dont un bon lot, les peintures du siècle d’or hollandais, forme l’essentiel du 3e étage du pavillon de la Paix. 

Trois fois plus d’oeuvres 

La course contre la montre a été gagnée. Non sans effort. Une semaine avant l’inauguration officielle, les oeuvres arrivaient à peine dans les salles. Il a fallu travailler jour et nuit, selon Nathalie Bondil. Les représentants des médias ont découvert vendredi un musée tout beau tout chic, à quelques détails près. 

La veille, la directrice du musée se montrait minutieuse dans son inspection des salles. Un cartel associé à la mauvaise oeuvre aussitôt retiré, deux petites sculptures mal orientées aussitôt notées, un panneau sale photographié avec son cellulaire… 

L’oeil n’est pas seulement celui d’une patronne, mais aussi celui d’une auteure : c’est elle, l’architecte de la muséographie et du programme artistique. Certes, elle n’a pas travaillé seule, appuyée à la scénographie par Sandra Gagné, chef du service des expositions, mais elle n’a fait appel à l’équipe de conservation que parcimonieusement. 

« J’ai mis trois fois plus d’oeuvres », dit Nathalie Bondil, faisant remarquer qu’un « bond » de 150 % plus de pièces exposées a été orchestré depuis 2010. L’arrivée en 2011 du pavillon d’art canadien n’avait pas seulement libéré de l’espace. 

« Le redéploiement de 2011 a été très important, affirme-t-elle. C’est ce qui a incité les Hornstein à faire leur donation. Quand on montre de l’amour aux collections, ça rassure les collectionneurs. » 

Mélange de trésors du MBAM, icônes comme pièces méconnues, de prêts privés ou institutionnels, cette grande exposition a de nombreuses surprises. Nathalie Bondil en est plutôt fière. La salle consacrée à l’époque romantique ne comporte, dit-elle, que des nouveautés, dont celle du grand tableau Funérailles d’un officier de marine sous Louis XVI (1836), huile d’Eugène Isabey acquise en 2013 lors d’une prestigieuse foire. 

« Il a de la gueule, hein ! » s’exclame celle qui est aussi conservatrice en chef de l’établissement. 

Un Monet restauré par là, un Sisley réévalué par ici, le verso d’un Dali enfin exposé, ailleurs plein de rapprochements inusités. Dans la salle de la Renaissance, tout en haut du pavillon, surgit un Vasari, La circoncision, prêté par l’oratoire Saint-Joseph. La grande huile sur bois a jadis appartenu au MBAM, puis été vendue aux enchères. La voilà de retour. 

« On peut raconter une histoire cohérente, pas tout, il manque des trucs, mais on raconte une histoire vraiment articulée, structurée, qui a du sens. Pour quelqu’un qui veut apprendre l’histoire de l’art, qui veut découvrir les grands mouvements, eh bien, il peut le faire ici », soutient Nathalie Bondil, devant une série de noms associés à l’histoire de l’abstraction américaine. 

À ses yeux, le MBAM peut enfin afficher l’ampleur de son identité, « un pied du côté de l’histoire de l’art anglaise, un pied du côté de l’histoire de l’art française ». 

« C’est ce que je trouve singulier dans ce musée. Et c’est ça qu’il faut montrer, finalement. Une histoire qui est particulière, [qui] ne ressemble pas à [celle] des musées américains et même du Canada. C’est une collection montréalaise. » 

Le public pourra découvrir les lieux à compter du 19 novembre. L’entrée sera libre jusqu’au 15 janvier.





Cultura e conhecimento são ingredientes essenciais para a sociedade.

A cultura e o amor devem estar juntos.

Vamos compartilhar.

O tempo voa, obras de arte são para a eternidade, sem rugas!






--in via tradutor do google
Friday inaugurated in the presence of Prime Minister Philippe Couillard and Mayor Denis Coderre, the pavilion for Peace, fifth Building Montreal Museum of Fine Arts, will be delivered in two weeks at the public. The media, including "Le Devoir" had access.

Photo: Jacques Nadeau DevoirNathalie Bondil, Director of the MMFA

Bishop Street, the race against the clock seems to have been won. Promised to be delivered before 2017, the flag for the Peace Michal and Renata Hornstein is ready to welcome visitors to the Montreal Museum of Fine Arts.

With over 750 historical works on four levels, its two levels devoted to education and art therapy and its "path of peace" - a contemporary art circuit bridging the gap between all that - the fifth building of the "museum campus" as likes to say the director of the MMFA, Nathalie Bondil will moderate as expected the 375th anniversary of Montreal.

Developed by a consortium of Atelier TAG and Jodoin Architects, the pavilion of Peace is the collection of so-called international art, covering centuries of painting (especially, but not only) from the Middle Ages to the 2000s honors the memory of Michal and Renata Hornstein, who died in 2016.

During the inauguration ceremony, Philippe Couillard said that "it is important to be proud collectively with [such] a cultural project." We must remember that the considerable financial contribution Quebec- 18.5 million on 25.5 million Aura flanks the building - registers as a legacy of the 375th.

For his part, Denis Coderre noted that the MMFA allows sit with the pavilion of humanistic content, Montreal's reputation as "the capital of living together." Note that the City has invested 4.8 million for widening sidewalks around the museum, including those of Bishop Street, which also benefit from Concordia University.

There was pride and emotion among those who took the microphone, including Sari Hornstein, daughter patrons behind the new expansion. "They got a call that they could not refuse," she has said about her parents. The donation Michal and Renata Hornstein has 77 works, a good lot, the paintings of the century Dutch Golden, form the bulk of the 3rd floor of the Pavilion of Peace.
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Three times more works

The race against time was won. Not without effort. A week before the official opening, the works were barely in theaters. We had to work day and night, according to Nathalie Bondil. Media found on Friday a beautiful museum while all chic, few details.

The day before, the museum's director showed in his careful inspection of the rooms. A cartel associated with poor work immediately removed two small sculptures misdirected once noted, a panel dirty photographed with his cell ...

The eye is not only that of a boss, but also a writer: it is the architect of the museum and the art program. Certainly, she did not work alone, leaning on set design by Sandra Gagné, head of the exhibitions department, but has appealed to the conservation team sparingly.

"I put three times more works," says Nathalie Bondil, noting that a "bond" 150% more exhibits was orchestrated since 2010. The arrival in 2011 of the Canadian art pavilion n had not only released from the space.

"The 2011 redeployment was very important, she says. This is what prompted the Hornstein to make their donation. When we show love to collections, it reassures collectors. "

MBAM mixture of treasures icons as unknown pieces of private or institutional loans, this major exhibition has many surprises. Nathalie Bondil is rather proud. The room dedicated to the romantic era does not, she says, as new products, including that of the large painting Funeral of a naval officer under Louis XVI (1836), Eugène Isabey oil acquired in 2013 at a prestigious fair.

"It has the mouth, huh! "Exclaims one that is also chief curator of the institution.

Monet restored there, a Sisley revalued here, the back of a Dali finally exposed, also full of unusual comparisons. In the Renaissance room at the top of the pavilion, emerges a Vasari, Circumcision, on loan from the Saint Joseph's Oratory. The large oil on wood once belonged to the MMFA and was auctioned. The're back.

"You can tell a coherent story, not all missing stuff, but it really tells a story articulated, structured, that makes sense. For someone who wants to learn art history, who wants to discover the great movements, well, he can do it here, "says Nathalie Bondil, before a series of names associated with the history of abstraction US.

In his eyes, the MMFA can finally show the breadth of his identity, "one foot on the side of the history of English art, one foot on the side of the history of French art."

"That's what I find strange in this museum. And that's what we have to show, finally. A story that is special, [which] is not like [the] American museums and even Canada. It is a collection Montreal. "

The public will discover places as of 19 November. Admission will be free until January 15.














--br via tradutor do google
Sexta-feira inaugurada na presença do primeiro-ministro Philippe Couillard eo prefeito Denis Coderre, o pavilhão para a Paz, quinto edifício do museu de Belas Artes de Montreal, será entregue em duas semanas no público. Os meios de comunicação, incluindo "Le Devoir" teve acesso.

Foto: Jacques Nadeau DevoirNathalie Bondil, Diretor do MMFA

Bishop Street, a corrida contra o relógio parece ter sido vencida. Prometido para ser entregue antes de 2017, a bandeira para o Michal e Renata Hornstein Paz está pronto para receber os visitantes do Museu de Belas Artes de Montreal.

Com mais de 750 obras históricas em quatro níveis, seus dois níveis dedicada à educação e arte terapia e seu "caminho da paz" - um circuito de arte contemporânea fazendo a ponte entre tudo isso - o quinto edifício do "campus museu", como gosta de dizer o diretor do MMFA, Nathalie Bondil vai moderar como esperado o 375 aniversário da Montreal.

Desenvolvido por um consórcio de Atelier TAG e Jodoin Architects, o pavilhão da Paz é a coleção da chamada arte internacional, que abrange séculos de pintura (especialmente, mas não só) a partir da Idade Média até a década de 2000 homenageia a memória de Michal e Renata Hornstein, que morreu em 2016.

Durante a cerimônia de inauguração, Philippe Couillard disse que "é importante para se orgulhar coletivamente com um projeto [tal] cultural." Devemos lembrar que a contribuição financeira considerável Quebec- 18,5 milhões em 25,5 milhões Aura flancos do edifício - registros como um legado do 375.

Por sua parte, Denis Coderre observou que o MMFA permite sentar-se com o pavilhão de conteúdo humanista, a reputação de Montreal como "a capital de viver juntos." Note-se que a cidade tem investido 4,8 milhões para alargamento de calçadas ao redor do museu, incluindo os de Bishop Street, que também beneficiam de Concordia University.

Havia orgulho e emoção entre aqueles que tomaram o microfone, incluindo Sari Hornstein, patronos filha por trás da nova expansão. "Eles tem uma chamada que não podia recusar", ela disse sobre seus pais. A doação Michal e Renata Hornstein tem 77 obras, um bom monte, as pinturas do século de ouro holandês, formam a maior parte do 3º andar do Pavilhão da Paz.

Três vezes mais obras

A corrida contra o tempo estava ganha. Não sem esforço. Uma semana antes da abertura oficial, as obras foram mal nos cinemas. Tivemos de trabalhar dia e noite, de acordo com Nathalie Bondil. Mídia encontrado na sexta-feira um belo museu, enquanto todos os chiques, alguns detalhes.

No dia anterior, o diretor do museu mostrou em sua inspeção cuidadosa dos quartos. Um cartel associado com o trabalho pobres imediatamente removido duas pequenas esculturas extravio observou certa vez, um painel sujo fotografado com seu celular ...

O olho não é apenas a de um chefe, mas também um escritor: é o arquiteto do museu e do programa de arte. Certamente, ela não trabalhava sozinho, inclinando-se no projeto conjunto por Sandra Gagné, chefe do departamento de exposições, mas apelou à equipe de conservação com moderação.

"Eu coloquei três vezes mais obras", diz Nathalie Bondil, observando que a "ligação" 150% mais exposições foi orquestrada desde 2010. A chegada em 2011 da arte canadense pavilhão n tinha libertado não só a partir do espaço.

"O 2011 reafectação foi muito importante, diz ela. Isto é o que levou o Hornstein para fazer a sua doação. Quando mostramos amor a coleções, ele tranquiliza colecionadores. "

mistura MBAM de tesouros ícones como peças desconhecidas de empréstimos privados ou institucionais, este grande exposição tem muitas surpresas. Nathalie Bondil é bastante orgulhoso. A sala dedicada à era romântica não faz, ela diz, como novos produtos, incluindo a da grande Funeral pintura de um oficial da Marinha sob Louis XVI (1836), óleo de Eugène Isabey adquiriu em 2013 a um feira de prestígio.

"Ele tem a boca, huh! "One exclama que também é curador-chefe da instituição.

Monet restaurado ali, uma Sisley reavaliado aqui, a parte de trás de um Dali finalmente exposta, também cheia de comparações incomuns. Na sala de renascimento na parte superior do pavilhão, emerge uma Vasari, circuncisão, por empréstimo do Oratório de São José. A grande óleo sobre madeira pertenceu ao MMFA e foi leiloada. O estiver de volta.

"Você pode contar uma história coerente, não todo o material em falta, mas realmente conta uma história articulado, estruturado, que faz sentido. Para alguém que quer aprender a história da arte, que quer descobrir os grandes movimentos, bem, ele pode fazê-lo aqui ", diz Nathalie Bondil, antes de uma série de nomes associados à história de abstração EUA.

A seus olhos, a MMFA pode finalmente mostrar a amplitude de sua identidade, "um pé no lado da história da arte Inglês, com um pé no lado da história da arte francesa."

"Isso é o que eu acho estranho neste museu. E é isso que temos de mostrar, finalmente. Uma história que é especial, [que] não é como [o] museus americanos e até mesmo no Canadá. Ela é um conjunto de Montreal. "

O público vai descobrir lugares a partir de 19 de Novembro. A admissão será livre até 15 de janeiro.


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